Chroniques de San Francisco, Tome 7 : Michael Tolliver est vivant

Ce n'est pas mon tome préféré... Mais ça reste une bonne lecture

Ce septième tome est certes différent des autres, mais j'ai beaucoup apprécié qu'on ait le point de vue exclusif de Michael. C'est un personnage que j'adore, et j'ai trouvé sympathique de pouvoir être spectatrice de ses pensées, de voir son évolution.

Confirme la tendance (Si on lit mes critiques des tomes précédents): Le livre de trop.

J'ai beaucoup apprécié le goût doux-amer de ce livre regrettant cependant d'avoir commencé par le tome 7.

Déception...l'excitation, l'humour et les retournements de situation tant aimés dans les tomes précédents, ne se retrouvent pas dans celui-ci.

On comprend bien que les héros ont vieillis et sont certainement plus sages mais est-ce une raison pour les rendre ennuyeux ?

Un autre morceau d'un saga admirable, l'esprit reste le même et tout simplement je suis fan !

C'est vrai c'est loin d'être le meilleur bouquin de toute la série mais j'ai retrouvé avec grand plaisir les habitants de Barbary Lane. Le style est moins corrosif et je m'attendais à quelque chose de plus original.

Whaou, je l'ai fini !

Malheureusement, mon Whaou n'est pas positif mais représente plutôt le défi que je me suis lancé de réussir à finir ce livre.

Pour reprendre mon évaluation, je dirais : sans intérêt !

L'histoire ? Il n'y en a pas vraiment, c'est du "blabla" au réel sens du terme. Les personnages ont perdu ce qui faisait leurs charmes...

J'avais apprécié, même beaucoup apprécié les livres précédent mais là, je reprendrais "Marie31" : "c'est le livre de trop"

Même les personnages ont l'air de s'ennuyer...

Un peu d'émotion à la fin mais, c'est la nostalgie des tomes précédent qui nous la procure.

"Les amis de Michael se sont perdu" nous dit la couverture, la série également...

Je déconseille fortement, il vaut mieux rester sur de bons souvenirs.

Dans cette saga, c'est le livre de trop. Dommage !