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Le scintillant virage des eighties a été pris, au 28 Barbary Lane. Mary Ann se lance en quête d'un public à échelle nationale, Mme Madrigal et Mona arpentent Lesbos, Michael affronte la grande maladie du siècle. Mais il n'est pas si facile d'aller de l'avant quand débarque l'irrésistible Burke Andrew, venu proposer la frénésie de Big Apple à nos résidents de la côte ouest.
Une épaisse couche de rosée recouvrait la terrasse, et il se souvint de Charlie Rubin, qui avait une fois qualifié ce phénomène de "sueurs nocturnes". Plus bas, dans les jardins environnants, l'humidité, sur les larges feuilles vertes, suggérait trompeusement que c'en était fini de la sécheresse. Seul le jardin de leur voisin récemment décédé disait la vérité, avec sa fougère géante aussi nue qu'un crucifix dans la lumière ambrée du matin.
Michael leva les yeux, contempla le paysage par-dessus la rambarde et laissa errer son regard vers la vallée en contrebas, où des milliers de fenêtres s'embrasaient au soleil levant. Quelque fois - pas ce matin pourtant - , il apercevait d'autres hommes debout sur d'autres terrasses, admirant comme lui la vallée.
Ce qu'il aimait surtout dans cette vue, c'était les arbres : les cyprès souffreteux, les bananiers plantés dans les cours, les peupliers alignés en ordre de marche sur la crête la plus proche comme autant de points d'exclamation. Bien sûr il y en avait - en particulier les cyprès - qu'on ne pouvait vraiment distinguer qu'avec des jumelles mais, malgré tout, il savait qu'ils étaient là.
Soudain une bande d'une quarantaine de perroquets vint se percher sur le figuier sans fruits de la maison voisine. Tandis qu'ils jasaient et battaient des ailes, il resta immobile se demandant s'il devait réveiller Thack pour qu'il pût admirer ce spectacle : il n'avait jamais vu ces oiseaux si près de la maison.
L'humour des premiers tomes s'est évaporé, et on s'en rend compte dans ce tome-ci. Cependant, à force de s'attacher aux personnages, il est toujours aussi agréable de suivre le cours de leur vie, et les évènements qu'ils vivent sont captivants malgré leur différence avec les romans précédents. En même temps, ils ont tous grandi, et il est fascinant de suivre leurs évolutions, dans leur comportement et leur façon de penser... Je lirai le roman suivant sans hésitation.
Les épisodes des chroniques de san francisco se lisent à grande vitesse.
On connait les personnages et on les aime. C'est comme une série qu'on suit avec sympathie parce qu’on s'est attaché aux personnages.
Cette fois l'histoire s'est plus recentrée sur Mary Ann et Mme Madrigal. Toujours aussi agréable mais beaucoup moins de surprises que dans les précédents.
Peut-être un peu de lassitude?
Le livre pris seul n''a aucun intérêt, le seul but de le lire est d'avoir suivi toute la saga.
Fin des années 80 ... et fin de la série ( enfin presque). Pour être franc ils vont tous me manquer: Mme Madrigal et ses sticks qui remontent le moral,Mona, Michaël qui semble se trouver entre de bonnes mains, Brian ...
ils ont vieillit mais sont toujours les mêmes leur parcours les éloigne loin et pourtant ils sont si proche ;la SIDA est passe par là mais barber y lane reste toujours cet havre et paix et si tout recommencer la saga prendra t elle fin ....l aventure est au bout de ce livre
Résumé
Le scintillant virage des eighties a été pris, au 28 Barbary Lane. Mary Ann se lance en quête d'un public à échelle nationale, Mme Madrigal et Mona arpentent Lesbos, Michael affronte la grande maladie du siècle. Mais il n'est pas si facile d'aller de l'avant quand débarque l'irrésistible Burke Andrew, venu proposer la frénésie de Big Apple à nos résidents de la côte ouest.
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