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— Et que veut exactement Alimini ?

Alimini ? Beurk. Quel surnom ridicule.

— J’ai dit : donne-moi tes clés.

Vu son comportement, je n’avais aucune raison de me montrer gentille.

— Et si tu m’appelles une autre fois « Alimini », je t’en colle une — c’est le genre de truc qui te branche, à ce qu’on m’a dit.

Soudain soupçonneux, il a répondu du tac au tac :

— Et pourquoi ?

— Parce que je déteste ça.

— Pas le nom. Les clés.

— Mais enfin ! Pour te poignarder avec, voilà pourquoi !

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Perdre un être aimé est comme perdre un membre : on reste à jamais conscient de ce qui nous manque, de ce qui a disparu à jamais.

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— Mon chou, ça crève les yeux : ce type-là veut te tremper dans du lait et te dévorer au petit déjeuner. Avec des céréales.

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De toute façon, garder ses organes sur soi est totalement ringard, non ?

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Une partie de moi s'accrochait à l'idée que tout cela n'était peut-être qu'un mauvais rêve dont je finirais par sortir en me réveillant.

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Ce sera notre merveilleux secret à toutes les trois. Tu es mon Alice Rose, elle sera mon Emma Lys, et à vous deux vous êtes mon plus beau bouquet.

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– Mais… peut-être que je ne saurai pas m’y prendre, et nous ne nous connaissons pas très bien, et tu ne… et je ne… nous ne devons pas…

Les mots se précipitaient hors de ma bouche, mais rien de cohérent n’en sortait.

– Je crois que je. Et que tu. Et que nous pouvons.

Là-dessus, il a incliné la tête et a posé ses lèvres sur les miennes. J’en ai eu le souffle coupé.

Soudain, il n’y a plus eu que Cole, cet instant, sa bouche… son goût. Menthe et cerise. Sa chaleur qui m’envahissait. Sa force qui m’entourait. Je me suis retrouvée prisonnière de ses bras comme le matin même sur le parking, contre la Jeep. Alors je me suis laissée aller à mes sensations, et j’ai tout oublié à l’exception de Cole.

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J’ai survécu à la première heure en dépit d’un instant d’humiliation. Le « professeur », si ce terme peut s’appliquer à un tel individu, m’a obligée à rester debout devant les autres élèves pour parler de ma petite personne et expliquer pourquoi j’étais en retard. Apparemment, ceci était inadmissible – surtout pour le premier cours de l’année, et en particulier envers les nouveaux qui auraient dû savoir lire un plan.

Mon avis sur la question : M. Trondhal – que j’appellerai désormais et pour toujours M. Troudbal – avait fumé la moquette. Mais qu’importe ? J’ai survécu à l’épreuve sans trop de dommages, car un garçon super-mignon aux grands yeux marron de cocker me regardait avec un sourire encourageant ; lorsque Troudbal s’est enfin retourné vers le tableau, ce même garçon a déclenché une tempête de rires en agitant de haut en bas son poing à demi fermé, le signe universel pour « on s’en tape », ce qui a détourné l’attention générale.

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(Fin du tome 1)

Tout au fond de moi, je savais que lutter contre les zombies serait dorénavant ma seule satisfaction, le sel de ma vie. Quand la fin viendrait, je pourrais partir en paix, sachant que j'avais fait tout mon possible pour marcher dans la lumière. Et Cole serait à mes côtés. Nous étions indissolublement liés.

Le reste ne comptait pas.

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— Quoi que tu fasses, ne regarde pas en haut. Je vais passer à la phase deux. La phase trois viendra ensuite très vite, et tu n’auras plus rien à faire. Alors tiens-toi prête.

Avec une force de caractère dont je ne me croyais pas capable, je suis parvenue à la regarder elle et non pas les garçons à l’étage.

— Je suis prête, mais j’ai un mauvais pressentiment sur ta façon d’agir.

— Je comprends. Mais, moi, je sais que j’ai raison. Alors on y va !

Avec ses manières de chaton sexy, elle s’est mise à danser autour de moi, avant de faire signe de l’index à un groupe de danseurs inconnus, mais super-mignons.

Phase deux : allumer le feu de la jalousie.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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