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- As-tu emporté des vêtements de sports ? m'a demandé Cole.

Je me suis mordu les lèvres en pensant à ma tenue jean-chemisier. Il ne faudrait que quelques minutes avant qu'ils soient trempés de sueur. De quoi aurais-je l'air, à côté de ma rivale ?

- Non, désolé.

Cole a eu l'air de jubiler intérieurement.

- Pas de souci. Je t'ai acheté quelque chose. Les vestiaires sont par là. J'ai disposé tout ce dont tu as besoin dans ton casier.

J'ai un casier ?

[...]

A l'intérieur, j'ai découvert une brassière de sport bleue et le short le plus court et le plus moulant que j'aie jamais vu, ainsi que des chaussettes et une paire de chaussure de sport.

Le feu aux joues, j'ai entrepris de me changer. Au moins, il ne m'avait pas acheté de sous-vêtements...

Lorsque je suis retournée dans la salle je me sentais nue comme un vers. On pouvait voir mon ventre et mes jambes. Cole, qui m'attendait près du distributeur d'eau, m'a détaillée des pieds à la tête avant de pousser un sifflement admiratif.

[...]

- Super!

La jubilation dans sa voix se doublait à présent d'un intérêt évident.

- Je n'aime pas ta façon de jouer à la poupée, ai-je grommelé en m'efforçant de faire descendre mon short sur mes cuisses.

Il a pouffé de rire.

- Moi si ! Mais si ça peut t'aider à te sentir mieux, je peux me déshabiller aussi.

- Pas la peine.

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Page 387-388

-Je ne peux pas te promettre que tu seras sélectionnée comme chauffeur si on a besoin de se tailler en vitesse, m'a dit Cole, mais avec quelques leçons de plus tu pourras faire la course avec ma grand-mère. Si elle est en trottinette.

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— Tu veux que je mette une chemise ? m’a-t-il demandé, une pointe d’amusement dans la voix.

Je ne rougirai pas.

— Non.

S’il décidait un jour de ne plus jamais porter de haut, il rendrait un fier service à l’humanité, mais je n’allais pas lui dire ça maintenant.

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Il a allumé la radio, et une chanson de Since October s’est élevée des haut-parleurs tandis qu’il démarrait sur les chapeaux de roue, brûlant tant de gomme que la fumée a envahi l’habitacle. D’accord. Message reçu. Il voulait jouer au jeu du silence.

Prépare-toi à perdre, Cole Holland !

Le vent me fouettait les cheveux. Je contemplais son profil. On distinguait une légère bosse sur son nez, comme s’il avait été cassé plus d’une fois. La coupure sur sa lèvre avait un peu cicatrisé, et le bleu sur sa joue avait disparu. Menton en avant, il avait une expression si butée que je me sentais désolée pour tous ceux qui un jour avaient voulu s’opposer à lui.

Au bout d’environ dix minutes, alors que nous nous trouvions environnés d’arbres et de collines, il a coupé la musique et m’a lancé un regard de biais.

— Qu’est-ce qu’il y a ?

Voilà. J’avais gagné.

— Je regarde, c’est tout.

Il a secoué la tête.

— Ce garçon. Justin.

Comme il n’ajoutait rien, j’ai répliqué :

— Eh bien quoi ?

— Tu sors avec lui ?

[...]

— Non. En quoi ça te regarde, de toute façon ?

J’ai perçu la note d’espoir dans ma propre voix et me suis renfrognée. Traduit en langage de mec, je venais de dire quelque chose comme : « Oh s’il te plaît, dis-moi que TU veux sortir avec moi, s’il te plaît s’il te plaît s’il te plaît je t’en supplie. »

Fort heureusement, il a ignoré ma remarque pour me demander :

— Comment es-tu rentrée chez toi hier soir ?

— A pied.

Il m’a lancé un regard assassin.

— Ne refais plus jamais ça, tu m’entends ? Ces bois sont dangereux !

Je n’ai pu retenir un gloussement.

— D’abord, tu parles comme mon grand-père. Ensuite, je trouve ça trop mignon que tu veuilles me dicter ma conduite. Pourquoi m’étais-je donc sentie désolée pour ceux qui le défiaient ? Il avait besoin qu’on s’oppose à lui, oui !

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Une pléiade de beaux mecs en sueur et armés : je venais d’entrer dans le rêve de toutes les filles.

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-Quand tu seras prête à aller plus loin, nous le saurons tous les deux.

Il a roulé sur le côté et m’a attiré contre lui.

-Et… si je veux attendre le mariage ?

- Es-tu en train de me demander de t’épouser ? m’a-t-il demandé en riant.

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- Tout le monde a peur de toi, ai-je remarqué.

- Je sais. Et j'aime ça. De cette façon, personne ne me pose de questions. Ils s'attendent au pire de ma part et se tiennent à distance. Tu devrais en prendre de la graine.

- Elle est bonne! Mais je n'ai pas peur de toi, et ça n'arrivera jamais.

Si l'on exceptait les fois où... eh bien, où il m'avait fait peur.

- C'est ce que tu dis toujours. Mais je te ferai changer d'avis, crois moi.

Malgré son ton menaçant, il m'a tenu la porte pour que j'entre dans la maison.

- Tu comptes me terrifier par ta galanterie ? J'attends de voir.

- Petite rigolote.

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Enfin, je commençais à m’abandonner à la musique. Comme d’eux-mêmes, mes bras se sont dressés au-dessus de ma tête, et j’ai fermé les yeux. Je me suis mise à onduler et tournoyer — avant de me heurter à un torse musclé. Encore ces garçons ! ai-je pesté intérieurement. J’ai rouvert les yeux, bien décidée à envoyer paître celui qui avait décidé de me suivre. Je…

Je n’aurais jamais dû douter de Kat.

Une paire d’yeux violets me fixait intensément, et ils brûlaient d’une colère à peine dissimulée. Des mains puissantes se sont posées sur ma taille et m’ont attirée, attirée tout près, jusqu’à ce qu’un souffle à peine nous sépare.

— Dansons.

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— Alors ? a relancé Kat.

Mais Cole ne me quittait pas des yeux.

— Ali, a-t-il dit.

Il n’a prononcé que ce mot, mais… sa voix m’a bouleversée. Basse, profonde, éraillée — j’avais l’impression que mon prénom venait de passer dans un hachoir à viande. Et c’était troooop sexy. Cela dit, comment se faisait-il qu’il ait bel et bien la même voix que celle que j’avais entendue dans mes hallucinations ?

— C’est moi, suis-je parvenue à répondre d’une voix étranglée. Pourquoi ?

Question idiote, je le savais.

Dieu merci, il a ignoré ma remarque, pour lancer à l’intention de Kat :

— Il faut que tu lèves un peu le pied avec Frosty. Il est complètement à ta botte, et tu le fais trop souffrir.

Elle lui a lancé un regard plein de colère et d’agressivité.

— Il mérite de souffrir. Il n’avait qu’à garder son pantalon sur lui, cet été.

Les mots ont claqué comme un fouet.

— C’est ce qu’il a fait, a rétorqué Cole avec une confiance inébranlable.

— Oh que non.

— Si.

— Non !

— Si, a-t-il répété, très calme face à l’énervement progressif de Kat.

Au lieu de suivre ces échanges comme sur un court de tennis, j’ai continué à fixer Cole : il ne m’avait pas quittée des yeux et je n’avais pas la force de rompre le charme.

— Non, non et non ! a crié Kat en tapant du pied.

Enfin, il a tourné la tête uniquement vers elle, me libérant de l’emprise quasi surnaturelle de son regard.

— On a cinq ans ou quoi ?

— Six, a répondu Kat du tac au tac.

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" Les monstres en veulent à ta chair, à tes organes », l’avais-je entendu répéter maintes et maintes fois, et j’ai eu l’impression de replonger dans le passé. « S’ils te voient, ils te pourchasseront. Et s’ils t’attrapent, ils te dévoreront. »Je me suis souvenue qu’une fois je lui avais répondu :

— Comment le sais-tu ?

Je ne croyais pas à ses histoires ; j’espérais qu’il s’emmêlerait dans ses réponses, et que je pourrais ainsi lui démontrer à quel point il se trompait.

— Et toi, ils t’ont déjà poursuivi ?

— Quelquefois. Mais ils ne m’ont jamais rattrapé.

— Mais alors, comment sais-tu qu’ils te dévoreraient ?— Crois-moi, je pouvais sentir leurs intentions maléfiques… comme si elles émanaient de leur corps.— Mais, papa, on ne peut pas…

— Si, on peut. Et plus encore, j’ai trouvé il y a quelques années un livre qui explique tout sur eux.

— Et tu crois tout ce que dit ce livre ?Il devait s’agir d’une œuvre de fiction… Un instant, mon père était resté songeur.

— Pas tout à fait, avait-il admis. Parce qu’il dit que les armes à feu ne peuvent pas blesser les monstres, or les armes à feu sont efficaces pour tout. Et j’ai parlé avec d’autres personnes dans le même cas que moi…

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