Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 476
Membres
1 012 320

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

"Nihal sentit les larmes lui monter aux yeux. Ce n'était pas seulement parce que, après des années de vie paisible et heureuse. Ils se disputent pour la première fois. C'était parce qu'elle se sentait incomprise par Livion, alors qu'elle avait toujours cru qu'il était justement le seul être capable de partager ses pensées et ses sentiments. Et voilà qu'il la traitait comme une gamine prétentieuse !"

Afficher en entier

Elle n'avait plus aucune force. Elle voulait seulement se laisser flotter les yeux fermés. Se reposer. Oublier.

Tout à coup,elle sentit qu'on l'attrapait par le bras.

"Voilà. C'est fini,pensa-t-elle. Enfin,c'est fini."

Quelqu'un la transportait sur la berge, quelqu'un dont elle ne distinguait pas le visage.

-Nihal!

Une voix qui semblait venir de très loin.

-C'est moi, Sennar!

La jeune fille entrouvrit les yeux.

-Livon... Livon est mort, murmura-t-elle.

Et puis se fut comme dans son rêve. Elle se laissa tomber en arrière, et l'obscurité l'enveloppa.

Afficher en entier

Sennar s'en alla sans se retourner, les joues baignées de larmes. Il n'avait pas pleuré depuis la mort de son père.

Afficher en entier

Pendant cette discussion, Astrea n'avait casse d'observer Nihal .Elle la fixait avec une telle curiosité que la jeune fille se sentit mal a l'aise. Mais...Cette jeune qui fait partie de ta suite, Soana n'est-elle pas...

Afficher en entier

"Il n'y a pas au monde un trésor assez précieux pour racheter une vie"

Afficher en entier

"Une arme n'est pas seulement un objet: pour un guerrier, son épée est un de ses membres. C'est une compagne fidèle qu'il n'échangerait contre aucune autre au monde: ils sont inséparables. Et, pour un armurier, une épée est comme un enfant. De même que la Nature donne vie aux créatures de ce monde, l'armurier forge la lame avec le feu et le fer"

Afficher en entier

chapitre 1

SALAZAR

Le soleil inondait la plaine. C’était un automne particulièrement clément : l’herbe, encore d’un vert vif, ondulait autour des murs de la cité comme les vagues d’une mer tranquille.

Installée sur la terrasse au sommet de la tour, Nihal goûtait le vent du matin. C’était le point le plus élevé de Salazar, et c’est de là qu’on jouissait du plus beau panorama de la vallée qui se déroulait sur des milles et des milles, à perte de vue. La cité, avec ses cinquante étages d’habitations et de boutiques, dominait cette étendue sans limites : une unique tour, immense, qui abritait une métropole de quinze mille personnes, entassées sur ses mille pieds de hauteur.

Nihal aimait rester ici seule, laissant la brise jouer avec ses longs cheveux.

Elle s’asseyait sur une pierre les jambes croisées, les yeux fermés, son épée de bois à la taille, comme le font les vrais guerriers. Quand elle était ainsi tout là-haut, elle se sentait apaisée. Elle pouvait se concentrer sur elle-même, sur ses pensées les plus secrètes et sur cette vague mélancolie qui l’étreignait parfois, ce long murmure qui s’élevait de temps à autre du fond de son âme.

Mais ce jour-là, Nihal était d’une tout autre humeur. C’était un jour de bataille, et elle regardait la plaine comme un capitaine pressé de se jeter dans la mêlée.

C’était un petit groupe de gamins de dix à quinze ans. Tous des garçons, sauf elle.

Tous assis, sauf elle, debout au milieu d’eux. Elle était leur chef. Elle, une adolescente mince et élancée, avec de longs cheveux bleus flottant autour de sa tête, des yeux violets pleins de vie, et de grandes oreilles pointues. Malgré son air fluet, les gamins étaient suspendus à ses lèvres.

— Aujourd’hui, nous combattrons pour prendre les maisons abandonnées, dit-elle. Les fammins y règnent en maîtres. Ils ne savent rien de nous, et ils ne s’attendent pas à notre arrivée. Nous les aurons par surprise et les vaincrons avec nos épées.

— Quel est le plan ? demanda un petit garçon grassouillet.

— Nous descendrons en rangs serrés jusqu’à l’étage au-dessus des boutiques, puis nous couperons par les conduits de manutention, derrière le mur ; de là, nous déboucherons directement dans leur cachette. Nous les attaquerons par-derrière : si nous ne nous faisons pas remarquer, ce sera un jeu d’enfant. Je partirai en tête du groupe avec l’escadron d’attaque.

Plusieurs de ses compagnons hochèrent la tête d’un air décidé.

— Puis viendront les archers.

Trois garçons approuvèrent, la fronde à la main.

— Et, pour finir, les fantassins. Vous êtes prêts ?

Un chœur enthousiaste lui répondit.

— Alors, allons-y !

Nihal leva son épée en l’air et se jeta dans le passage qui conduisait de la terrasse à la tour, suivie par le reste de la bande.

La petite troupe marcha en rangs serrés à travers les corridors qui parcouraient le cercle intérieur de Salazar, sous les regards mi-amusés, mi-agacés des habitants de la ville qui connaissaient bien les batailles épiques de Nihal et de sa bande.

— Bonjour, général !

Nihal se retourna. Un petit être, à peine aussi haut qu’elle, trapu et le visage mangé par une épaisse barbe, lui faisait face : un gnome. Il la salua d’une révérence cocasse.

Nihal arrêta ses soldats et s’inclina à son tour.

— Toujours à la chasse aux ennemis ? demanda le personnage.

— Toujours. Aujourd’hui, nous devons faire déguerpir les fammins.

— C’est ça, comme tous les jours… À ta place, par les temps qui courent, je ne prononcerais pas ce nom avec autant de désinvolture. Même pour jouer !

— Nous, on n’a pas peur ! hurla un garçon au fond.

Nihal sourit d’un air effronté :

— En effet, nous n’avons pas peur. D’ailleurs, de quoi te soucies-tu ? Les fammins ne sont sympathiques à personne, et puis la Terre du Vent est encore libre.

Le gnome éclata de rire et lui dit en clignant de l’œil :

— Fais comme tu veux, général. Bonne bataille !

Ils descendirent un à un les étages de la tour, au pas cadencé et en rang, comme de vrais soldats. Ils passèrent devant les maisons et les boutiques, parmi le mélange incroyable de races et de langues de la population de Salazar, suivant à chaque niveau les longs corridors, éclairés à intervalles réguliers par le soleil qui tombait des fenêtres ouvertes sur le jardin central.

Toutes les tours de la Terre du Vent possédaient un profond puits qui avait une double fonction : éclairer les habitants de la cité, et accueillir une petite zone cultivée, composée de nombreux potagers et de quelques vergers.

Nihal s’engagea avec assurance dans une ruelle parallèle, où elle ouvrit une vieille porte vermoulue. Derrière, l’obscurité était totale.

— Nous y voilà !

La jeune fille prit un air solennel :

— À présent, nulle place pour la peur. Comme d’habitude. Notre devoir ne nous permet pas de faiblir.

Les autres acquiescèrent avec sérieux et se glissèrent dans la galerie.

Afficher en entier

Nihal est une jeune fille très étrange : oreilles pointues, cheveux bleus, yeux violets...tout la distingue des autres habitants du Monde Émergé.

Fille d'un célèbre armurier, elle passe son temps à jouer à la guerre avec une bade de garçons. Mais la nuit des voix plaintives et des images de mort hantent l'esprit de Nihal. Et lorsque que le terrible Tyran envahit la Terre du Vent, elle comprend que ses cauchemars son en fait des souvenir de sont peuple qui a été exterminer pas le Tyran. Peu de temps après la mort de son père la joie et le bonheur l'on quitté. Pendant son long et pénible voyage, Nihal fait de nombreuse rencontres. Dont : Ido. Oraf. Sennar et bien d'autre encore. Le seul souvenir qui lui restera de son père est le dernier cadeau qui lui a offert. Une épée en cristal noir. Le matériaux le plus dur qui soit connue du monde émergé.

Afficher en entier

"Nihal et Sennar scrutaient l'horizon, mais l'éclat du soleil couchant les aveuglait. La même peur sourde grandissait en eux, la même crainte.

Et puis, ils comprirent.

Une armée, une immense armée de guerriers noirs comme la nuit. Sennar attrapa Nihal par les épaules et l'obligea à l'écouter.

- C'est le Tyran, Nihal! C'est le Tyran qui vient s'emparer de Salazar! Nous devons prévenir la population, nous devons dire à tout le monde de fuir...

Mais Nihal le regardait avec des yeux vides. L'écho des voix résonnaient toujours dans son esprit. Les vociférations de l'armée étaient de plus en plus proches, de plus en plus menaçantes.

- Tu as compris ce que je viens de dire, Nihal? Cours!

Et Nihal courut. Elle se jeta dans la trappe qui menait à l'intérieur de la tour. Puis elle se précipita dans les escaliers en essayant de chasser de son cœur la peur glaciale qu'elle venait d'éprouver. Elle hurla de toute la force de ses poumons.

- Le Tyran arrive! Son armée est à nos portes!"

Afficher en entier

"Nihal et Sennar scrutaient l'horizon, mais l'éclat du soleil couchant les aveuglait. La même peur sourde grandissait en eux, la même crainte.

Et puis, ils comprirent.

Une armée, une immense armée de guerriers noirs comme la nuit. Sennar attrapa Nihal par les épaules et l'obligea à l'écouter.

- C'est le Tyran, Nihal! C'est le Tyran qui vient s'emparer de Salazar! Nous devons prévenir la population, nous devons dire à tout le monde de fuir...

Mais Nihal le regardait avec des yeux vides. L'écho des voix résonnaient toujours dans son esprit. Les vociférations de l'armée étaient de plus en plus proches, de plus en plus menaçantes.

- Tu as compris ce que je viens de dire, Nihal? Cours!

Et Nihal courut. Elle se jeta dans la trappe qui menait à l'intérieur de la tour. Puis elle se précipita dans les escaliers en essayant de chasser de son cœur la peur glaciale qu'elle venait d'éprouver. Elle hurla de toute la force de ses poumons.

- Le Tyran arrive! Son armée est à nos portes!"

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode