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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2015-01-05T14:02:00+01:00

C'est moi qui suit le papillon, lui la flamme, et je vais me brûler. Je le sais.

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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2015-01-05T14:01:46+01:00

La relation que me propose Christian ressemble plutôt à une offre d'emploi, avec des horaires, une description de poste, et une procédure de règlement des griefs assez radicale. Ce n'est pas ainsi que j'envisageais ma première histoire d'amour.

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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2015-01-05T14:01:18+01:00

Je vais prendre un café avec Christian Grey... Et en plus, je déteste le café.

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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2015-01-05T14:01:08+01:00

J'aime cet homme. J'aime sa passion, j'aime l'effet que j'ai sur lui. J'aime qu'il soit venu de si loin pour me voir. J'aime qu'il tienne à moi... car il tient à moi. C'est tellement inattendu, tellement satisfaisant. Il est à moi, et je suis à lui.

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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2015-01-05T14:00:49+01:00

- Tu es très belle, Anastasia. J'ai hâte d'être en toi.

Ben merde alors. Quels mots. Quel séducteur. J'en ai le souffle coupé.

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Extrait ajouté par Rat-de-bibliotheque 2014-12-29T16:30:41+01:00

Samedi au magasin, c'est l'enfer. Nous sommes assiégés de bricoleurs qui veulent redonner un coup de frais à leurs maisons pendant les vacances d'été. Mais ça se calme vers l'heure du déjeuner, et Mme Clayton me demande de vérifier des commandes tandis que je grignote discrètement un bagel derrière la caisse. Ma tâche consiste à vérifier les numéros de catalogue par rapport aux articles commandés ; mon regard va du carnet de commandes à l'écran de l'ordinateur pour m'assurer que les entrées correspondent. Tout d'un coup, je ne sais pas pourquoi, je lève les yeux... et je me retrouve prisonnière du regard gris de Christian Grey.

Crise cardiaque.

— Mademoiselle Steele. Quelle agréable surprise. Alors là... Qu'est-ce qu'il fout ici, avec ses cheveux en bataille et sa tenue de baroudeur, gros pull irlandais, jean et bottes de randonnée ? Je pense que ma bouche s'est ouverte. Ni mon cerveau ni ma voix ne fonctionnent.

— Monsieur Grey.

Voilà tout ce que j'arrive à articuler. Un sourire erre sur ses lèvres et ses yeux pétillent comme s'il savourait une plaisanterie connue de lui seul.

— J'étais dans le coin, j'avais besoin de faire quelques achats. Je suis ravi de vous revoir, mademoiselle Steele, m'explique-t-il d'une voix veloutée comme du chocolat noir.

Je secoue la tête pour me ressaisir. Mon coeur bat la chamade, et sous son regard scrutateur, j'ai viré au rouge pivoine. Mes souvenirs ne lui rendaient pas justice. Non seulement il est beau, mais il représente le summum de la beauté masculine. Et il est là, devant moi. Chez Clayton's. Allez savoir pourquoi. Mes fonctions cognitives se rétablissent enfin et mon cerveau se rebranche sur le reste de mon corps.

— Ana. Mon nom, c'est Ana. Que puis-je faire pour vous, monsieur Grey ?

Il sourit encore comme s'il gardait un mystérieux secret connu de lui seul. J'inspire profondément en me réfugiant derrière ma façade « je suis une pro du bricolage. » Allez, je vais m'en sortir.

— J'ai besoin de quelques articles. Tout d'abord, des liens de serrage en plastique, murmure-t-il d'un air à la fois détaché et amusé.

Des liens de serrage en plastique ?

— Nous en avons différentes tailles. Voulez-vous les voir ? fais-je d'une petite voix tremblante.

Reprends-toi, Steele. Un léger froncement de sourcils déforme le joli front de Grey.

— S'il vous plaît. Montrez-les-moi, mademoiselle Steele.

Je tente d'adopter une allure nonchalante en contournant le comptoir, mais en réalité je m'efforce de ne pas m'étaler, car mes jambes ont soudain pris la consistance de la gelée.

Heureusement que j'ai passé mon plus beau jean ce matin.

— Ils sont au rayon des accessoires électriques, allée huit.

Ma voix est un peu trop guillerette. Je le regarde et le regrette aussitôt. Qu'est-ce qu'il est beau.

— Après vous, dit'il avec un signe de sa main aux longs doigts manucures.

Mon coeur menace de m'étouffer - parce qu'il est dans ma gorge, en train d'essayer de me sortir par la bouche -tandis que je me dirige vers le rayon des accessoires électriques. Que fait-il à Portland ? Pourquoi est'il ici, chez Clayton's ? D'une portion minuscule et sousemployée de mon cerveau - sans doute située à la base de mon bulbe rachidien, là où se niche ma conscience -une pensée surgit : Il est venu te voir. Impossible ! Pourquoi cet homme superbe, puissant, sophistiqué, voudrait-il me voir ? C'est une idée grotesque, que je chasse de mon esprit à coups de pied.

— Vous êtes à Portland pour affaires ?

Je couine comme si j'avais le doigt coincé dans une porte. Merde ! Du calme, Ana !

— Je suis venu visiter le département agroalimentaire de la Washington State University, qui est situé à Vancouver. Je subventionne des recherches sur la rotation des cultures et la science des sols.

Tu vois ? Il n'est pas du tout venu te voir, ricane ma conscience. Je rougis de ma stupidité.

— Ça fait partie de vos projets pour nourrir la planète ?

— Plus ou moins, reconnaît-il avec un sourire en coin.

Il examine la sélection d'attaches en plastique. Qu'est-ce qu'il peut bien vouloir en faire ? Je ne le vois pas du tout en bricoleur. Ses doigts caressent les différents emballages et, sans savoir pourquoi, je suis obligée de détourner le regard. Il se penche pour choisir un paquet.

— Ceux-là, ça ira, m'annonce-t-il avec son sourire qui dit « j'ai un secret ».

— Autre chose ?

— Je voudrais du gros scotch. Du gros scotch ?

— Vous faites des rénovations ?

Les mots me sont sortis de la bouche avant que je n'aie pu les retenir. Il doit sûrement payer des gens pour faire ça.

— Non, pas de rénovations, réplique-t-il avec un petit sourire en coin.

J'ai l'impression qu'il se moque de moi.

— Par ici. Cet article se trouve au rayon décoration. Je jette un coup d'oeil par-dessus mon épaule tandis qu'il me suit.

— Vous travaillez ici depuis longtemps ?

Je m'empourpre. Pourquoi donc a-t'il cet effet sur moi ? J'ai l'impression d'être une godiche de quatorze ans. Regarde devant toi, Steele !

— Quatre ans.

Je lui montre les deux largeurs de gros scotch que nous avons en stock.

— Celui-ci, dit Grey d'une voix douce en désignant le plus large.

Quand je le lui remets, nos doigts s'effleurent très brièvement. Une fois de plus, un courant me traverse comme si j'avais touché un fil électrique, pour me parcourir le corps jusqu'au ventre. Je m'efforce désespérément de reprendre pied.

— Ce sera tout ?

J'ai la voix rauque et haletante. Ses yeux s'agrandissent légèrement.

— Il me faudrait aussi de la corde.

Sa voix est aussi rauque que la mienne.

— Par ici.

Je baisse la tête pour dissimuler mon visage empourpré.

— Vous cherchez quoi, au juste ? Fibre synthétique, naturelle ? De la ficelle, des câbles?

Je me tais en voyant son expression, ses yeux qui s'assombrissent... Oh la vache.

— Je prendrai cinq mètres de corde en fibre naturelle.

Rapidement, les doigts tremblants, je mesure la corde au mètre sous son regard gris brûlant. Je n'ose pas le regarder. Plus gênée, ce serait impossible. Tirant mon cutter de la poche arrière de mon jean, je coupe la corde, l'enroule et l'attache avec un noeud coulant. Par miracle, je parviens à ne pas m'amputer un doigt avec mon cutter.

— Vous étiez scoute quand vous étiez petite ? me demande-t-il, ses lèvres ourlées et sensuelles retroussées par un sourire.

Ne regarde pas sa bouche !

— Les activités de groupe, ça n'est pas mon truc, monsieur Grey.

Il hausse un sourcil.

— Et c'est quoi, votre truc, Anastasia ? me demande-t-il d'une voix douce, avec, de nouveau, son sourire «secret».

Aucun son ne sort de ma bouche. Je vacille sur des plaques tectoniques en mouvement. Du calme, Ana, me supplie à genoux ma conscience.

— Les livres.

Je chuchote, mais ma conscience hurle : Vous ! C'est vous, mon truc ! Je la fais taire d'une gifle, atterrée par sa folie des grandeurs.

— Quelles sortes de livres ?

Il penche la tête sur l'épaule. Pourquoi ça l'intéresse ?

— Eh bien, vous savez, comme tout le monde. Les classiques. Surtout la littérature anglaise.

Il se caresse le menton de l'index et du pouce en réfléchissant à ma réponse. Ou alors, il s'ennuie ferme et il essaie de le cacher.

— Vous avez besoin d'autre chose ?

Il faut que je détourne la conversation - ces doigts sur son visage sont captivants.

— Je ne sais pas. Que pourriez-vous me recommander ?

Ce que je pourrais vous recommander ? Mais je ne sais même pas pourquoi vous achetez tous ces trucs !

— Pour bricoler ?

Il hoche la tête, l'oeil malicieux. Mon regard dérive vers son jean moulant.

— Une salopette.

C'est à ce moment-là que je comprends que je ne filtre plus les mots qui me sortent de la bouche. Il hausse le sourcil, encore une fois amusé.

— Pour ne pas salir vos vêtements. Je désigne son jean d'un geste vague.

— Je pourrais les enlever, ricane-t-il.

— Euh.

Mes joues s'empourprent tellement que je dois être de la couleur du Petit Livre rouge de Mao. Tais-toi. Tais-toi TOUT DE SUITE.

— Alors je prends une salopette. Il ne manquerait plus que je salisse mes vêtements, ironise-t-il.

Je l'imagine tout d'un coup sans son jean, et je m'efforce de chasser cette image importune.

— Autre chose ?

J'ai encore couiné en lui tendant une salopette bleue.

— Et votre article, ça avance ?

Ouf. Enfin une question facile, dénuée d'allusions et de sous-entendus troublants... une question à laquelle je peux répondre. Je m'y agrippe comme à une bouée de sauvetage et j'opte pour l'honnêteté.

— Ce n'est pas moi qui l'écris, c'est Katherine. Mlle Kavanagh. Ma colocataire. C'est elle, la journaliste. Elle en est très contente. Elle est rédactrice en chef du journal des étudiants, et elle était catastrophée de ne pas pouvoir faire l'entretien elle-même.

J'ai l'impression d'être revenue à l'air libre - enfin, un sujet de conversation normal.

— La seule chose qui l'ennuie, c'est de ne pas avoir de photo originale de vous.

— Quelle sorte de photo veut-elle ?

Je n'avais pas prévu cette question. Je secoue la tête, car je l'ignore.

— Eh bien, je suis dans le coin. Demain, peut-être...

— Vous seriez prêt à faire une séance photo ?

Je couine toujours. Katherine serait au septième ciel si je lui arrangeais le coup. Et comme ça, tu le reverras demain, me susurre, tentatrice, une voix inconnue. Je chasse cette pensée - c'est idiot, ridicule...

— Kate en serait ravie - si nous arrivons à trouver un photographe.

Je suis tellement contente que je lui adresse un grand sourire. Ses lèvres s'entrouvrent et ses paupières frémissent. Pendant une fraction de seconde, il a l'air rêveur, et la Terre oscille légèrement sur son axe ; les plaques tectoniques viennent à nouveau de bouger.

Oh mon Dieu. Le regard rêveur de Christian Grey.

— Tenez-moi au courant, pour demain.

Il sort son portefeuille de sa poche arrière.

— Voici ma carte, avec mon numéro de portable. Il faudra m'appeler avant 10 heures du matin.

— D'accord, lui dis-je en souriant. Kate va être ravie.

— Ana !

Paul s'est matérialisé à l'autre bout de l'allée. C'est le frère cadet de M. Clayton. Je savais qu'il était rentré de Princeton, mais je ne m'attendais pas à le voir ici aujourd'hui.

— Euh, excusez-moi un instant, monsieur Grey. Grey fronce les sourcils.

Paul est un bon copain, et je suis ravie d'interrompre mon dialogue incongru avec cet homme tyrannique, riche, puissant et beau à en faire exploser les compteurs, pour parler à quelqu'un de normal. Paul me serre dans ses bras, ce qui me prend au dépourvu.

— Ana, salut, ça me fait plaisir de te revoir !

— Salut, Paul, ça va ? Tu es rentré pour l'anniversaire de ton frère ?

— Ouais. Tu as bonne mine, Ana, vraiment bonne mine.

Il me tient à bout de bras pour me dévisager, souriant. Quand il me libère, il pose un bras possessif sur mes épaules. Je me dandine sur place, gênée. J'aime bien Paul mais il a toujours eu un comportement trop familier avec moi.

Christian Grey nous observe d'un oeil d'aigle, les lèvres pincées. Au lieu du client bizarrement attentionné qu'il était, il s'est mué en être froid et distant.

— Paul, je suis avec un client. Je vais te le présenter, dis-je pour tenter de désamorcer l'agressivité que je décèle dans le visage de Grey.

Je traîne Paul vers lui. Les deux hommes se jaugent du regard. L'ambiance est devenue glaciale tout d'un coup.

— Paul, je te présente Christian Grey. Monsieur Grey, voici Paul Clayton, le frère du propriétaire du magasin.

Sans raison, j'ai l'impression qu'il faut que je m'explique.

— Je connais Paul depuis que je travaille ici, mais on ne se voit pas très souvent. Il est rentré de Princeton où il fait des études de management.

Ça n'a vraiment aucun intérêt, ce que je suis en train de raconter... Stop !

— Monsieur Clayton.

Grey lui tend la main. Son expression est impénétrable. Paul la prend :

— Monsieur Grey... le Christian Grey? De Grey Enterprises Holdings ?

Paul passe du revêche au stupéfait en moins d'une nanoseconde. Grey lui adresse un sourire poli qui n'atteint pas ses yeux.

— Ça alors. Je peux vous aider ?

— Anastasia s'en est chargée, monsieur Clayton. Elle m'a donné toute satisfaction.

Son expression reste impassible, mais ses mots... c'est comme s'il disait tout à fait autre chose.

— Super, répond Paul. À tout à l'heure, Ana.

— D'accord, Paul.

Je le suis des yeux alors qu'il se dirige vers la réserve.

— Autre chose, monsieur Grey ?

— Ce sera tout.

Il parle d'une voix froide et cassante, comme si je l'avais offensé. J'inspire profondément en passant derrière la caisse. C'est quoi, son problème ?

— Ça vous fera quarante-trois dollars, s'il vous plaît. Je lève les yeux vers Grey et le regrette aussitôt. Il me scrute si intensément que c'est déstabilisant.

— Voulez-vous un sac ?

Je prends sa carte bancaire.

— S'il vous plaît, Anastasia.

Quand sa langue caresse mon prénom, mon coeur s'affole à nouveau. J'arrive à peine à respirer. Je me hâte de ranger ses emplettes dans un sac en plastique.

— Vous m'appellerez, pour la séance photo ?

Il a repris sa voix d'homme d'affaires. Je hoche la tête, incapable de prononcer un mot, en lui rendant sa carte bancaire.

— Très bien. Alors à demain, peut-être. Il fait mine de partir, puis s'arrête.

— Au fait, Anastasia, je suis ravi que Mlle Kavanagh n'ait pas pu faire cette interview.

Il sourit, puis sort du magasin d'un pas décidé en jetant le sac en plastique par-dessus son épaule, me laissant réduite à une masse tremblante d'hormones féminines en pleine ébullition. Je passe plusieurs minutes à regarder fixement la porte qu'il vient de franchir avant de revenir sur la planète Terre.

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Extrait ajouté par Titys 2014-08-24T21:48:55+02:00

"Ne fais jamais confiance à un homme qui sait danser."

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Extrait ajouté par Titys 2014-08-24T21:44:49+02:00

"L'ascenseur arrive. Nous sommes seuls. Soudain l'ambiance se charge d'électricité. Je respire plus vite. Mon coeur s'emballe. Il se tourne légèrement vers moi. Ses yeux ont viré à l'ardoise. Je me mords la lèvre.

- Oh et puis merde pour la paperasse.

Il me pousse contre le mur, m'agrippe les deux mains, et les cloue au-dessus de ma tête tout en m'immobilisant avec ses hanches. De sa main libre, il m’attrape par les cheveux et tire dessus pour me renverser la tête en arrière ; il écrase ses lèvres sur les miennes. C'est presque douloureux. Je gémis, livrant passage à sa langue qui en profite pour explorer ma bouche. Je n'ai jamais été embrassée comme ça."

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Extrait ajouté par meg59255 2014-06-18T19:55:52+02:00

Je n'ai pas le courage de passer à la liste des aliments autorisée. Je déglutis, bouche sèche, avant de tout relire.

J'ai des bourdonnement dans la tête. Comment pourrais-je envisager de consentir à tout ça? Apparemment, c'est pour mon bien, afin que j'explore ma sensualité et mes limites en toute sécurité - ben voyons! Je ricane. Servir et obéir en toutes choses. En toutes choses! Je secoue la tête. je n'arrive pas à y croire. Au fait, les voeux de mariage ne comportent-ils pas ce mot... obéir? je reste perplexe.

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Extrait ajouté par Patch7 2020-11-02T18:39:14+01:00

— Au fait, c’est quoi, le sexe-vanille ? Il éclate de rire.

— Le sexe, tout bêtement, Anastasia, sans joujoux ni accessoires, m’explique-t-il en haussant les épaules. Tu sais bien… bon, en fait, tu ne sais pas, mais voilà ce que ça veut dire.

— Ah.

Et moi qui pensais que ce qui s’était passé entre nous, c’était du sexe avec une sauce au chocolat noir, de la crème Chantilly et une cerise à l’eau de vie !

Mais bon, pour ce que j’en sais…

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