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- Je te veux, Anastasia, chuchote-t-il. J'aime et je déteste et j'aime me disputer avec toi. C'est nouveau pour moi. J'ai besoin de savoir que tout va bien entre nous. C'est la seule manière que je connaisse.
Afficher en entier- Ma cherie, tu sais ce qu on dit: il faut embrasser beaucoup de grenouilles avant de trouver son prince.
Je lui adresse un petit sourire doux-amer:
-Je crois que j ai embrasser un prince, maman.J espere simplement qu il ne va pas se transformer en grenouille.
Afficher en entierJe ferme les yeux : ça commence à monter, une montée délicieuse, inexorable, qui me hisse, toujours plus haut, vers nôtre château dans les airs. Oh oui... il accélère. Je gémis bruyamment. Je ne suis plus que sensation... toute à lui, jouissant de chaque coup de rein, de chaque poussée qui me remplit. Plus vite... plus fort... et mon corps tout entier se meut à son rythme, mes jambes se raidissent, mon corps frémit...
Afficher en entier« Ce que tu ne comprends pas, il me semble, c'est que, dans la relation de domination soumission, c'est la soumise qui a tout le pouvoir.
Autrement dit, toi. Je répète : c'est toi qui as tout le pouvoir. Pas moi. »
Afficher en entier- Je ne veux rien qui puisse te rappeler à mon souvenir. Tout ce que je veux, c'est l'argent que Taylor a obtenu pour ma voiture.
Ma voix est monocorde.
Il s'étrangle.
- Tu fais exprès de me blesser ?
Je fronce les sourcils en le dévisageant. Bien sûr que non ... je t'aime.
- Non. J'essaie simplement de me protéger. Parce que tu ne me veux pas comme je te veux.
Afficher en entier— Ce fut une soirée très divertissante. Je ne risque pas de l'oublier.
Moi non plus - hé, il se moque de moi, ce salaud.
— Je ne vous ai pas obligé à me repérer avec vos gadgets à la James Bond, que vous êtes sans doute en train de développer pour les vendre au plus offrant !
Afficher en entierVotre petit manège ne m'amuse pas, mais il a été efficace. La prochaine fois, vous voyagerez en soute, ligotée et bâillonnée, dans une malle. Faites-moi confiance : m'occuper de vous dans ces conditions me sera bien plus agréable que de vous faire surclasser.
Afficher en entier-Vous faite des rénovations ?
Les mots me sont sortis de la bouche avant que je n'ai pu les retenir. Il doit sûrement payer des gens pour ça.
-Non, pas de rénovations, réplique-t-il avec un petit sourire en coin.
J'ai l'impression qu'il se moque de moi.
[...]
-Vous avez besoin d'autre chose ?
Il faut que je détourne la conversation - ces doigts sur son visage sont captivant.
-Je ne sais pas que pourriez-vous me recommander ?
Ce que je pourrais vous recommander ? Mais je ne sais pas pourquoi vous achetez tous ces trucs !
-Pour bricoler ?
Il hoche la tête, l’œil malicieux. Mon regard dérive vers son jean.
-Une salopette.
C'est à ce moment-là que je comprends que je ne filtre plus les mots qui me sortent de la bouche. Il hausse les sourcils, encore une fois amusé.
-Pour ne pas salir vos vêtements.
Je désigne son jean d'un geste vague.
-Je pourrais les enlever, ricane-t-il.
Afficher en entier— Drôle ?
— Oh oui.
— Drôle bizarre, ou drôle ah, ah ?
— Disons... un peu des deux.
— L'un plus que l'autre ?
— A toi de le deviner.
Afficher en entier"— Vous m’avez déshabillée ?
— Oui.
Il hausse un sourcil ; je rougis furieusement.
— Nous n’avons pas… ?
Ma bouche est trop sèche pour que je termine la question.
— Anastasia, vous étiez dans le coma. La nécrophilie, ça n’est pas mon truc. J’aime qu’une femme soit consciente et réceptive.
— Je suis vraiment navrée.
Il a un petit sourire ironique."
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