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Extrait ajouté par aliiicouuu 2014-06-07T15:07:27+02:00

— Etes-vous gay, monsieur Grey ?

Il inspire brusquement et je me ratatine, morte de honte. Merde. Pourquoi n'ai-je pas analysé cette question avant de la poser ? Comment lui expliquer que je n'ai fait que la lire ? J'en veux à mort à Kate de sa fichue curiosité !

— Non, Anastasia, je ne suis pas gay.

Il hausse les sourcils, le regard glacial. Il n'a pas l'air content du tout.

— Je suis désolée. C'est, euh... c'est écrit ici.

C'est la première fois qu'il prononce mon prénom. Mon cœur s'est emballé et mes joues se sont à nouveau enflammées. Nerveuse, je cale une mèche derrière mon oreille.

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Extrait ajouté par lolipopss 2014-04-24T21:34:57+02:00

Christian : Alors, ça c'est bien passé ?

Ana : Très bien, merci. Elle m'a dit de m'abstenir de toute activité sexuelle pendant les quatre prochaines semaines.

Christian en reste interdit. Incapable de me retenir, j'éclate de rire.

Ana : Je t'ai bien eu !

Il plisse les yeux et mon rire s'étrangle. Il me fait peur tout d'un coup. Et merde. Ma conscience se tapit dans un coin tandis que mon visage se draine de tout son sang : je le revois en train de me donner la fessée.

Christian : Je t'ai bien eu !

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Extrait ajouté par esmeralda 2014-01-14T19:24:22+01:00

Il a son regarde de Dominant, froid, dur et sexy en diable : sept nuances de péchés en un seul coup d’œil. J'ai la bouche sèche, je sais que je ferai tout ce qu'il demande.

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Extrait ajouté par Sandy 2013-07-03T18:46:31+02:00

" Ma déesse intérieure danse le merengue et la salsa" p.155

" Ma conscience hasarda sa tête de harpie par-dessus le dossier du canapé " p283

" Ma déesse intérieure a accroché une pancarte ' ne pas déranger' à la porte de sa chambre " p252

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Extrait ajouté par Rat-de-bibliotheque 2014-12-29T16:29:54+01:00

En poussant la porte, je trébuche et c'est à quatre pattes que j'atterris dans le bureau de M. Grey. Et merde, merde, merde ! Des mains secourables m'aident à me relever. Je suis morte de honte. Moi et ma fichue maladresse ! Je dois rassembler tout mon courage pour lever les yeux. Oh la vache - qu'est-ce qu'il est jeune !

Il me tend une main aux longs doigts fins.

— Mademoiselle Kavanagh, je suis Christian Grey. Vous ne vous êtes pas fait mal? Vous voulez vous asseoir?

Il est vraiment très jeune - et vraiment très beau. Grand, en costume gris, chemise blanche et cravate noire, des cheveux rebelles sombres aux nuances cuivrées, des yeux gris et vifs qui me scrutent d'un air avisé. Je mets un moment à retrouver ma voix.

— Euh... Enfin...

Si ce type a plus de trente ans, moi je suis la reine d'Angleterre. Ébahie, je lui serre la main. Dès que nos doigts se touchent, un frisson étrange et grisant me parcourt. Je retire précipitamment ma main. L'électricité statique, sans doute. Mes paupières papillonnent ; elles battent aussi vite que mon coeur.

— Mlle Kavanagh est souffrante, c'est moi qui la remplace. J'espère que ça ne vous ennuie pas, monsieur Grey.

— Et vous êtes ?

Sa voix est chaleureuse, peut-être amusée, mais son visage reste impassible. Il semble vaguement intéressé ; poli, surtout.

— Anastasia Steele. Je prépare ma licence de lettres, j'étudie avec Kate, euh... Katherine... euh... Mlle Kavanagh, à l'université de Vancouver.

— Je vois, se contente-t-il de répondre.

Je crois voir passer l'ombre d'un sourire, mais je n'en suis pas certaine.

— Asseyez-vous, je vous en prie.

Il désigne un canapé en cuir blanc en forme de « L ».

La pièce est bien trop grande pour une seule personne. Le bureau, très design, pourrait convenir à un dîner pour six personnes ; il est en chêne, comme la table basse près du canapé, mais tout le reste est blanc : le plafond, le sol, les murs. Seule tache de couleur, une mosaïque de trente-six petits tableaux exquis, disposés en carré, représentant une série d'objets quotidiens du passé avec une telle finesse de détail qu'on dirait des photos.

L'ensemble est saisissant.

— Un artiste local. Trouton, précise Grey en suivant mon regard.

— Ils sont ravissants. Ils rendent extraordinaires des objets ordinaires.

Je murmure, troublée à la fois par les tableaux et par lui. Il penche la tête sur son épaule pour me scruter intensément.

— Je suis tout à fait d'accord, mademoiselle Steele, répond-il d'une voix douce.

Je ne sais pas pourquoi, je rougis.

Mis à part les tableaux, le bureau est froid, dépouillé, clinique. Je me demande si cela reflète la personnalité de l'Adonis qui se cale en souplesse dans l'un des fauteuils en cuir blanc en face de moi. Déconcertée par le tour que prennent mes pensées, je secoue la tête et tire les questions de Kate de mon sac à dos. Je suis tellement nerveuse en installant mon dictaphone que je le fais tomber par terre à deux reprises. M. Grey ne dit rien, il attend patiemment - enfin, j'espère -, alors que je suis de plus en plus confuse et fébrile. Quand je trouve enfin le courage de le regarder, je constate qu'il m'observe, une main sur une cuisse et l'autre qui soutient son menton, en caressant ses lèvres de l'index. Je crois qu'il se retient de sourire.

— D...désolée. Je n'ai pas l'habitude de faire ça.

— Prenez votre temps, mademoiselle Steele.

— Ça vous ennuie que je vous enregistre ?

— C'est maintenant que vous me posez la question, après tout le mal que vous vous êtes donné pour installer votre dictaphone ?

Je m'empourpre. Est-ce qu'il me taquine ? Je l'espère. Je cligne des yeux en le regardant, sans savoir quoi répondre. Il finit par me prendre en pitié.

— Non, ça ne m'ennuie pas.

— Kate, enfin Mlle Kavanagh, vous a-t-elle expliqué la raison de l'interview ?

— Oui. Elle paraît dans le numéro de fin d'année du journal des étudiants, puisque je dois remettre des diplômes.

Ah bon ? Première nouvelle. Ça me fait un drôle d'effet de penser qu'un type à peine plus âgé que moi -six ans à tout casser -, même richissime, va me remettre mon diplôme.

Bon, allez, on se concentre. Je déglutis.

— Bien. J'ai quelques questions à vous poser, monsieur Grey.

Je lisse une mèche qui s'est échappée de ma queue-de-cheval.

— Je m'en doutais un peu, réplique-t-il.

Cette fois, c'est sûr, il se moque de moi. Mes joues s'embrasent. Je me redresse et tente de prendre une allure professionnelle en appuyant sur le bouton « enregistrer ».

— Vous êtes très jeune pour avoir bâti un pareil empire. À quoi devez-vous votre succès?

Je lève les yeux vers lui. Il sourit d'un air modeste mais vaguement déçu.

— En affaires, tout est une question de personnes, mademoiselle Steele, et je suis très doué pour juger les gens. Je sais comment ils fonctionnent, ce qui les fait s'épanouir, ce qui les bride, ce qui les inspire, ce qui les pousse à se dépasser. J'emploie une équipe exceptionnelle, que je récompense largement de ses efforts.

Il se tait un instant en me fixant de ses yeux gris.

— Je suis persuadé que pour réussir un projet, quel qu'il soit, il faut le maîtriser à fond, dans tous ses détails. Je travaille énormément pour y arriver. Je prends des décisions fondées sur la logique et les faits ; je sais repérer d'instinct les idées solides et développer leur potentiel. L'essentiel, c'est de savoir choisir son équipe.

— Ou alors, vous avez eu de la chance, tout simplement.

Ça ne fait pas partie des questions de Kate, mais il est d'une telle arrogance ! Il a l'air surpris.

— Je ne crois pas à la chance ou au hasard, mademoiselle Steele. Il s'agit réellement de choisir les bons collaborateurs et de les diriger efficacement. Je crois que c'est Harvey Firestone qui a dit : « La croissance et le développement des gens est la vocation la plus élevée du leadership. »

— Autrement dit, vous êtes un maniaque du contrôle. Ces mots me sont sortis de la bouche malgré moi.

— Oui, j'exerce mon contrôle dans tous les domaines, mademoiselle Steele, affirme-t-il en souriant sans une trace d'humour.

Il soutient mon regard sans ciller. Mon coeur s'emballe et je rougis de nouveau. Pourquoi me déstabilise-t-il autant ? Serait-ce son incroyable beauté ? La façon dont ses yeux s'enflamment lorsqu'il me regarde, ou dont son index caresse sa lèvre inférieure ? Si seulement il pouvait arrêter de faire ça...

— De plus, on n'acquiert un pouvoir immense que si on est persuadé d'être né pour tout contrôler, reprend-il d'une voix douce.

— Vous avez le sentiment de détenir un pouvoir immense ?

Espèce de maniaque du contrôle.

— J'ai plus de quarante mille salariés, mademoiselle Steele. Cela me confère de grandes responsabilités - autrement dit, du pouvoir. Si je décidais du jour au lendemain que l'industrie des télécommunications ne m'intéressait plus et que je vendais mon entreprise, vingt mille personnes auraient du mal à boucler leurs fins de mois.

Je reste bouche bée, sidérée par un tel manque d'humilité.

— Vous n'avez pas de comptes à rendre à votre conseil d'administration ?

— Mon entreprise m'appartient. Je n'ai aucun compte à rendre à qui que ce soit.

Il hausse un sourcil. Évidemment, je l'aurais su si je m'étais documentée. Mais merde, qu'est-ce qu'il est arrogant. Je change de tactique.

— Quels sont vos centres d'intérêt en dehors du travail ?

— J'ai des centres d'intérêt variés, mademoiselle Steele, dit'il en esquissant un sourire.

Très variés.

Je ne sais pas pourquoi, mais la façon dont il me fixe me déconcerte et me trouble. C'est comme s'il avait une idée derrière la tête.

— Que faites-vous pour vous détendre ?

— Me détendre ?

Il sourit, découvrant des dents si blanches et si parfaites que j'en ai le souffle coupé. Il est vraiment beau. Personne ne devrait avoir le droit d'être aussi beau.

— Eh bien, pour me « détendre », comme vous dites, je fais de la voile, je pilote un avion, je m'adonne à diverses activités physiques. Je suis très riche, mademoiselle Steele, et j'ai des passe-temps onéreux et passionnants.

Je jette un coup d'oeil aux questions de Kate, pressée de changer de sujet.

— Vous avez aussi investi dans l'industrie navale. Pour quelle raison ? Pourquoi me met-il aussi mal à l'aise?

— J'aime construire, savoir comment les choses fonctionnent. Et j'adore les bateaux.

— Là, on dirait que c'est votre coeur qui parle, plutôt que la logique et les faits.

Les commissures de ses lèvres frémissent, et il me regarde comme s'il me jaugeait.

— Peut-être. Mais certains disent que je suis sans coeur.

— Pourquoi ?

— Parce qu'ils me connaissent. Cette fois, son sourire est ironique.

— Et, d'après vos amis, vous êtes quelqu'un de facile à connaître ?

Je regrette aussitôt d'avoir posé la question. Elle ne figure pas sur la liste de Kate.

— Je suis quelqu'un de très secret, mademoiselle Steele. Je m'efforce de protéger ma vie privée. Je ne donne pas souvent d'interviews.

— Pourquoi avoir accepté celle-ci ?

— Parce que je suis l'un des mécènes de l'université, et que je n'arrivais pas à me débarrasser de Mlle Kavanagh. Elle n'a pas arrêté de harceler mon service de presse, et j'admire ce genre de ténacité.

Je suis bien placée pour savoir à quel point Kate peut être tenace. C'est d'ailleurs pour cette raison que je suis ici, en train de me tortiller devant Grey.

— Vous investissez aussi dans les technologies agroalimentaires. Pourquoi ce secteur vous intéresse-t-il ?

— On ne peut pas manger l'argent, mademoiselle Steele. Et il y a trop de gens sur cette planète qui n'ont pas de quoi manger.

— Alors c'est de la philanthropie ? Nourrir les affamés, c'est une cause qui vous tient à coeur ?

Il hausse les épaules, évasif.

— C'est un bon investissement.

J'ai l'impression qu'il ne me dit pas tout. Ça ne colle pas. Nourrir les affamés ? Je n'y vois aucun bénéfice financier, seulement de l'idéalisme. Déroutée par son attitude, je jette un coup d'oeil à la question suivante.

— Avez-vous une philosophie ? Si oui, laquelle ?

— Je n'ai pas de philosophie en tant que telle. Peut-être un principe directeur, celui de Carnegie : « Tout homme qui acquiert la capacité de prendre pleine possession de son propre esprit peut prendre possession de tout ce à quoi il estime avoir droit. » Je suis très individualiste, très déterminé. J'aime contrôler - moi-même et ceux qui m'entourent.

— Vous aimez les biens matériels ?

Vous êtes vraiment un maniaque du contrôle.

— Je veux les posséder si je les mérite, mais oui, pour résumer, je les aime.

— Cela fait-il de vous un consommateur compulsif ?

— En quelque sorte.

Il sourit sans que ce sourire atteigne ses yeux. Encore une fois, cette réponse contredit son désir de nourrir les affamés de la planète. Je ne peux pas m'empêcher de penser que nous sommes en train de parler de tout autre chose, sans avoir la moindre idée de ce dont il s'agit. Je déglutis. Il fait plus chaud dans la pièce tout d'un coup. Ou alors, c'est moi ? J'ai hâte que cet entretien se termine. Kate doit avoir assez de matière maintenant. Je jette un coup d'oeil à la question suivante.

— Vous avez été adopté. En quoi pensez-vous que cela a influencé votre parcours ?

Aïe. C'est vraiment une question indiscrète. Je le dévisage en espérant ne pas l'avoir choqué. Il fronce les sourcils.

— Je n'en ai aucune idée. Cela excite ma curiosité.

— Quel âge aviez-vous lorsque vous avez été adopté ?

— Cette information est publique, mademoiselle Steele, rétorque-t-il sèchement.

Et merde. Évidemment, si j'avais su que je ferais cette interview, je me serais documentée. Désarçonnée, je poursuis :

— Vous avez dû sacrifier votre vie de famille à votre travail.

— Ce n'est pas une question, lâche-t-il.

— Désolée.

Je me recroqueville. Il m'a grondée comme une enfant désobéissante. Je fais une seconde tentative.

— Avez-vous dû sacrifier votre vie de famille à votre travail ?

— J'ai une famille : un frère, une soeur et deux parents aimants. Ça me suffit largement.

— Etes-vous gay, monsieur Grey ?

Il inspire brusquement et je me ratatine, morte de honte. Merde. Pourquoi n'ai-je pas analysé cette question avant de la poser ? Comment lui expliquer que je n'ai fait que la lire ? J'en veux à mort à Kate de sa fichue curiosité !

— Non, Anastasia, je ne suis pas gay.

Il hausse les sourcils, le regard glacial. Il n'a pas l'air content du tout.

— Je suis désolée. C'est, euh... c'est écrit ici.

C'est la première fois qu'il prononce mon prénom. Mon coeur s'est emballé et mes joues se sont à nouveau enflammées. Nerveuse, je cale une mèche derrière mon oreille. Il penche la tête sur son épaule.

— Vous n'avez pas rédigé ces questions ? Ma tête se vide de son sang.

— Euh... non. C'est Kate - Mlle Kavanagh - qui les a rédigées.

— Vous êtes collègues au journal des étudiants ? Pas du tout. Je n'ai rien à voir avec le journal. C'est le boulot de Kate, pas le mien. J'ai le visage en feu.

— Non. Kate est ma colocataire.

Il se frotte le menton d'un air songeur tandis que ses yeux gris me jaugent.

— Vous êtes-vous portée volontaire pour faire cette interview ? s'enquiert-il posément.

Une minute, là, qui est-ce qui mène l'interview, maintenant ? Sous son regard perçant, je me sens obligée d'avouer la vérité.

— J'ai été recrutée de force. Kate est souffrante. Je parle d'une petite voix, comme pour m'excuser.

— Ce qui explique bien des choses.

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Extrait ajouté par Titys 2014-08-24T21:47:20+02:00

"Il s'écarte pour me regarder.

- Pourquoi ai-je l'impression que tu me quittes?

- Parce que je m'en vais.

- Ce n'est pas ce que je veux dire, et tu le sais tres bien."

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Extrait ajouté par Titys 2014-08-24T21:46:11+02:00

"Pas question de céder là-dessus. Personne ne me dictera ce que je mange. Comment je baise, passe encore, mais manger… absolument hors de question."

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Extrait ajouté par morganl2510 2014-07-06T09:21:37+02:00

Oh mon Dieu... Il a envie de moi. Christian Grey. Le dieu grec. Il a envie de moi, et j'ai envie de lui, ici, maintenant, dans cet ascenseur.

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Extrait ajouté par esmeralda 2014-01-14T15:01:46+01:00

Il baise comme un dieu, il est riche, il est beau, mais tout ça ne signifie rien sans amour, et je ne sais pas s'il en est capable. Comment pourrait-il m'aimer alors qu'il ne s'aime pas lui-même ?

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Extrait ajouté par Vampire_academy 2013-10-27T15:48:38+01:00

Je suis amoureuse de toi, Christian.

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