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Extrait ajouté par Esperance 2013-12-22T21:11:04+01:00

- J'ai envie de toi, mumurre-t-il, donnant le feu vert à ma libido.

Mes doigts glissent dans ses cheveux, et je lui renverse la tête en arrière pour m'emparer de sa bouche ; j'ai le ventre en feu. Il gémit et me repousse sur le canapé, s'assied,m'arrache mon pantalon et se débraguette en même temps pour me pénétrer aussitôt.

Je gémis. Il s'arrête pour prendre mon visage entre ses mains.

- Je vous aime, madame Grey.

Et très lentement, très tendrement, il me fait l'amour jusqu'à ce que j'explose en criant son nom et en l'enveloppant de mes membres, comme si je ne voulais plus jamais le lâcher.

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Extrait ajouté par momo_lol_24 2013-06-24T21:40:17+02:00

-J'aime bien Phoebe, comme prénom, chuhote-t-il en passant le bout de son nez sur le mien.

-Phoebe Grey? Phoebe...Oui. J'aime bien aussi.

Je lui souris.

-Tant mieux. Bon je veux aller installer le cadeau de Ted.

Il me prend par la main et nous descendons. Christian trépigne : il a attendu ce moment toute la journée.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-05-31T19:39:45+02:00

Je promets solennellement de sauvegarder et de chérir du plus profond de mon coeur notre union et toi, chuchote t- il à son tour d’une voix rauque. Je promets de t’aimer fidèlement, renonçant à toute autre, pour le meilleur et pour le pire, dans la santé comme dans la maladie, où que nous conduise la vie. Je te protégerai, te ferai confiance et te respecterai. Je partagerai tes joies et tes peines, et je te réconforterai dans la détresse. Je promets de te chérir et de soutenir tes espoirs et tes rêves et de te garder auprès de moi. Tout ce qui est à moi est à toi. Je te donne ma main, mon coeur, et mon amour aujourd’hui, et aussi longtemps que nous vivrons.

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— Madame Grey ? Votre mari voudrait vous parler, murmure-t-il en désignant le téléphone sur la table en verre.

Quoi ? Non !

— Il est sur la ligne 1. Appuyez sur le bouton. Je serai dehors.

Il a la courtoisie d'avoir l'air confus, mais Judas n'a rien à envier à Whelan. Je le foudroie du regard ;

mon visage se vide de tout son sang tandis qu'il sort du bureau, penaud.

Merde ! Merde ! Merde ! Qu'est-ce que je vais dire à Christian ? Il va comprendre ce qui se passe, intervenir et mettre en danger la vie de sa soeur. Ma main tremble quand je colle le combiné contre mon oreille en tentant de contrôler ma respiration irrégulière. J'appuie sur le bouton de la ligne 1.

— Tu me quittes ?

Quoi ?

— Non !

Oh non. Non, non – comment peut-il croire ça ? À cause de l'argent ? Il pense que je m'en vais à

cause de l'argent ? Dans un éclair de lucidité effroyable, je comprends que la seule façon de tenir

Christian à l'écart, hors de danger, de sauver sa soeur... c'est de mentir.

— Oui, dis-je.

Une douleur cuisante me transperce, mes larmes jaillissent. Il pousse un petit cri étranglé, presque un sanglot.

— Ana, je...

Il suffoque. Non ! Je plaque ma main sur ma bouche.

— Christian, s'il te plaît. Non...

Je retiens mes larmes.

— Tu pars ? dit-il.

— Oui.

— Mais pourquoi l'argent ? Ça a toujours été pour l'argent ?

Sa voix tourmentée est à peine audible. Non. Les larmes roulent sur mes joues.

— Non.

— Cinq millions, ça suffit ?

Je t'en supplie, arrête !

— Oui.

— Et le bébé ?

Quoi ? Ma main passe de ma bouche à mon ventre.

— Je m'occuperai du bébé.

Mon Petit Pois... notre Petit Pois.

— C'est ça que tu veux ?

Non !

— Oui.

Il inspire brusquement.

— Prends tout, lâche-t-il.

— Christian, je sanglote, cet argent est à toi, à ta famille. Je t'en prie. Arrête.

— Prends tout, Anastasia.

— Christian...

Je suis au bord de flancher, de tout lui raconter – Jack, Mia, la rançon. Fais-moi confiance, s'il te plaît ! Je le supplie en silence.

— Je t'aimerai toujours.

Sa voix se brise. Il raccroche.

— Christian ! Non... je t'aime, moi aussi.

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Extrait ajouté par lunasolani 2014-08-18T19:02:48+02:00

Page 323

- Ah, Ana, halète-t-il d'une voix rauque et basse, j'ai besoin de toi.

- Moi aussi.

Je meurs d'envie qu'il me touche, je le veux, je le veux maintenant, je veux le guérir, je veux qu'il me guérisse j'en est besoin... J'en ai besoin. Sa main se glisse entre nos deux corps pour tirer sur sa braguette, tâtonnes un instant, puis libère son érection.

C'est de la folie. Dire qu'il y a une minute à peine, je dormais.

Il relève la tête pour me fixer un instant, suspendu au-dessus de moi.

- Oui, s'il te plait, dis-je d'une voix éraillée.

Et, en un seul coup de rein, il est en moi.

- Ah!

J'ai poussé un cri d'étonnement. Il geint, puis ses lèvres retrouvent les miennes et il s'enfonce en moi, encore et encore, tout en possédant ma bouche en même temps. Il remue frénétiquement, poussé par la peur, le désir... l'amour? Je l'ignore, mais lui rendant coup pour coup, je l’accueille.

- Ana ! rugit-il.

Il jouit violemment, le visage tendu, le corps rigide, avant de s’effondrer sur moi de tout son poids, haletant, en me laissant pantelante... =encore.

Putain. Décidèment, je n'ai pas de chance ce soir.

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Extrait ajouté par misslulu03 2013-08-24T07:30:57+02:00

Christian s'éclaircit la voix et prend la parole :

- Cette journée serait parfaite si Ray était ici avec nous, mais il n'ai pas loin, il va de mieux en mieux, et je sais qu'il voudrait que tu t'amuses, Ana. Merci à tous d'être venus partager l'anniversaire de ma ravissante épouse, le premier d'une très longue série que nous fêterons ensemble. Joyeux anniversaire mon amour.

Christian lève son verre tandis qu'un chœur de "joyeux anniversaire" éclate. Je lutte pour retenir mes larmes.

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Extrait ajouté par maneva 2013-12-12T15:02:13+01:00

Ce bref répit me permet de passer ma main dans mon dos pour tirer mon revolver de la ceinture de mon jean.Tremblante,je le braque sur Jack, j'appuie sur la détente et je fais feu. La balle l'atteint juste au-dessus du genou et il s'effondre devant moi avec un hurlement de douleur, en agrippant sa cuisse avec ses doigts rougis de sang.

- merde! beugle Jack.

Je me tourne pour faire face à Elizabeth, qui me regarde, horrifiée,en levant les mains au-dessus de la tête. Ma vue se brouille... la nuit se referme sur moi.

Merde...Elizabeth semble au bout d'un tunnel. La nuit l'avale. M'avale. Au loin, l'enfer se déchaîne. Pneus qui crissent... freins... portières... cris... des gens qui courent... je laisse tomber le revolver.

- Ana !

La voix de Christian... la voix de Christian... Mia... sauve Mia.

- Ana !

La nuit... la paix.

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Extrait ajouté par hortensia 2013-07-03T20:06:54+02:00

" Cette fois je suis vraiment dans la merde. Ma conscience me foudroie du regard puis hausse les épaules, avec l'air de dire " comme on fait son lit, on se couche "

Je m'attendais à quoi au juste ? J'envisage de l'appeler, mais il est tard et il dort sans doute... ou alors il fait les cent pas dans sa chambre. Je décide qu'un petit SMS suffira.

" Je suis encore vivante. J'ai passé une bonne soirée. Tu me manques. S'il te plait, ne sois pas furieux. "

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Extrait ajouté par jenni02100 2015-01-25T16:31:28+01:00

Sa barbe me gratte doucement le dos de la main tandis qu'il presse mes doigts.

-Bébé, s'il te plaît, reviens. Pardon. Pardon. Réveille-toi. Tu me manque. Je t'aime...

J'essaie. J'essaie. Mais mon corps me désobéit et je me rendors une fois de plus.

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— Bonjour. Vous devez être Hannah. Je suis Christian Grey.

Hannah se lève précipitamment pour lui tendre la main.

— Ravie de vous rencontrer, bafouille-t-elle. Je peux vous apporter un café ?

— S'il vous plaît, répond-il chaleureusement.

Elle m'adresse un regard perplexe et détale tandis que Roach, aussi muet que moi, apparaît à la porte de mon bureau.

— Excusez-moi, Roach, mais j'aimerais dire un mot à Mlle Steele.

Christian appuie sur le « mademoiselle » d'une voix sarcastique.

— Monsieur Grey, quel plaisir de vous voir, dis-je avec un sourire beaucoup trop mielleux.

— Puis-je m'asseoir, mademoiselle Steele ?

— Faites comme chez vous. Cette entreprise vous appartient.

Je désigne le siège où était assise Hannah.

— En effet.

Il me sourit d'un air féroce, mais ce sourire n'atteint pas ses yeux. Bordel. Ça va barder.

— Il est tout petit, ton bureau.

— Il me convient.

Il reste impassible mais je sais qu'il est furieux. J'inspire profondément.

— Que puis-je faire pour toi, Christian ?

— J'inspecte mes avoirs, c'est tout.

— Tes avoirs ?

— Certains ont besoin d'une nouvelle image de marque.

— C'est-à-dire ?

— Tu m'as très bien compris, fait-il d'une voix trop posée pour être rassurante.

— Ne me dis pas que tu as tout lâché au bureau après une absence de trois semaines rien que pour venir m'engueuler parce que je n'ai pas changé de nom ?

Enfin, merde, je ne fais pas partie de tes avoirs !

Il croise les jambes.

— Pour t'engueuler ? Non, pas exactement.

— Christian, je bosse, là.

— Quand je suis arrivé, tu papotais avec ton assistante.

Mes joues s'enflamment.

— On discutait de l'agenda de la semaine ! Et tu n'as pas répondu à ma question.

On frappe.

— Entrez !

Hannah entre en portant un petit plateau. Pot de lait, sucrier, cafetière à piston – elle a sorti le grand jeu. Elle pose le plateau sur mon bureau.

— Merci, Hannah, dis-je.

— Souhaitez-vous autre chose, monsieur Grey ? demande-t-elle, un peu haletante.

J'ai envie de lever les yeux au ciel.

— Non merci, ce sera tout.

Quand il lui adresse son sourire à embraser les petites culottes, elle s'empourpre et sort en minaudant.

Il se tourne vers moi.

— Bien, mademoiselle Steele, où en étions-nous ?

— Tu étais en train d'interrompre ma journée de travail pour m'engueuler parce que je n'avais pas changé de nom.

Christian cille, stupéfait par ma véhémence, puis, très posément, retire une poussière invisible de son pantalon. Le jeu de ses doigts habiles me déconcentre. Il le fait exprès, j'en suis sûre.

— J'aime bien passer à l'improviste voir mes employés. Ça oblige la direction à rester sur le qui-vive et les épouses à bien se tenir.

Il hausse les épaules, arrogant.

Et puis quoi encore !

— Je suis étonnée que tu aies le temps de t'amuser à ça, dis-je d'une voix cassante.

Son regard devient glacial.

— Pourquoi n'as-tu pas changé ton nom ? me demande-t-il posément.

— Christian, tu tiens vraiment à discuter de ça ici, maintenant ?

— Je suis là, alors pourquoi pas ?

— J'ai une tonne de boulot. Je te rappelle que j'ai été absente trois semaines.

Son regard est froid, scrutateur, distant. Je suis surprise qu'il puisse être aussi glacial ce matin après hier soir, après les trois dernières semaines... Merde. Il doit être furieux – fou furieux. Quand apprendrat- il à ne pas vivre la moindre contrariété comme un drame ?

— Tu as honte de moi ? me demande-t-il avec une douceur trompeuse.

— Quoi ? Bien sûr que non. Ça n'a rien à voir avec toi.

Qu'est-ce qu'il peut être exaspérant, parfois. Mégalo, dominateur... et un peu con.

— Comment ça, rien à voir avec moi ?

Il incline la tête, sincèrement perplexe ; perdant un peu de sa froideur, il me dévisage avec de grands yeux. Je l'ai blessé. Pourtant, il est la dernière personne au monde que j'ai envie de blesser. Il faut que je lui explique ce qui motive ma décision.

— Christian, lorsque j'ai été engagée ici, je venais tout juste de te rencontrer, dis-je posément, en m'efforçant de trouver les mots justes. Je ne savais pas que tu allais racheter la boîte...

Que dire de cette péripétie de notre brève histoire ? Des raisons insensées qui l'ont poussé à ce geste ?

Son obsession du contrôle, ses tendances au harcèlement, cette fortune immense qui lui permet de satisfaire tous ses caprices... Je sais qu'il veut me protéger, mais justement : en rachetant la SIP, il m'a fait du tort. S'il ne s'en était jamais mêlé, ma carrière aurait suivi son cours normal ; je n'aurais pas à

affronter le ressentiment ni à subir les chuchotements de mes collègues. Je prends ma tête entre mes mains, simplement pour ne pas le regarder. Il ne faut pas que je craque.

— Pourquoi est-ce aussi important pour toi ?

Au moment où je pose la question, je devine sa réponse.

— Je veux que tout le monde sache que tu es à moi.

— Mais je suis à toi ! Regarde !

Je brandis ma main droite pour lui montrer mon alliance et ma bague de fiançailles.

— Ça n'est pas suffisant.

— Ça n'est pas suffisant de t'avoir épousé ?

Ma voix n'est plus qu'un murmure à peine audible. Il cille en constatant à quel point je suis consternée.

Que puis-je ajouter ? Que puis-je faire de plus ? Il passe sa main dans ses cheveux trop longs qui n'arrêtent pas de lui retomber sur le front :

— Ce n'est pas ce que je veux dire.

— Alors qu'est-ce que tu veux dire, au juste ?

Il déglutit.

— Je veux que ton univers commence et se termine avec moi.

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