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Circus Maximus, Tome 1 : La Course de ma vie



Description ajoutée par bebi 2022-05-31T09:56:15+02:00

Résumé

Rome, Ier siècle après J.-C., sous le régime de Caligula.

Didon, douze ans, n'a qu'un rêve : devenir conductrice de char dans le célèbre Circus Maximus, avec son cheval préféré, Porcellus. Un exploit impossible pour une fille, car seuls les garçons peuvent concourir.

Elle se console comme elle le peut, en aidant son père Antonius, entraîneur de l'équipe favorite de Rome, la faction verte.

Quand Antonius est assassiné sous ses yeux, Didon est obligée de fuir. Réfugiée chez un allié inattendu à Utique, elle n'a qu'un seul objectif : trouver une ruse pour revenir à Rome et gagner la plus célèbre course du Circus Maximus, au nez et à la barbe de ses rivaux.

Ce roman palpitant est le premier d'une nouvelle série d’aventure historique riche en détails, pleine d’action, avec des chevaux exceptionnels et une héroïne inoubliable.

The Bookseller

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Classement en biblio - 8 lecteurs

extrait

Quand je réussis à maîtriser mes chevaux, je vois que mon père m'attend, ses cheveux blonds brillant au soleil. Marius, le père de Térès, se tient à son côté. Les autres garçons se sont attroupés autour de Térès et lui tapent le dos en riant.

— Tu t'es fait battre par une fille ! s'esclaffe l'un d'eux, et ses amis reprennent l'insulte en cœur.

Mon père se dirige vers moi.

— Tu as vu, papa ? J'ai gagné ! je m'exclame en essayant d'avoir l'air persuadée qu'il partagera mon enthousiasme.

— J'ai vu. Descends de là ! Qu'est-ce qui t'as pris, Didon ? Tu aurais pu te tuer !

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Commentaires récents

Or

Le thème de ce roman ne m'attirait pas forcément, si je l'ai lu c'était par "obligation", pour le travail. Ce livre est assez épais et l'histoire met pas mal de temps à vraiment se lancer et être intéressante. Au final, j'ai trouvé la majorité du livre très sympa. J'ai appris énormément de choses sur les courses de chars dans l'Antiquité, j'ai eu la larme à l’œil à plusieurs reprises.

Je dois dire que le style de l'autrice est un des gros points forts du roman.

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Or

Incontournable Juillet 2022

On a rarement des histoires qui prennent place en Rome Antique pour notre jeunesse, alors ça me fait bien plaisir d'en découvrir un qui soit passionnant et crédible. L'autrice a fait beaucoup de recherches, elle nous en cite les sources à la fin.On a donc aucun mal à être immergé dans ce Rome du premier siècle. Ici, on s'intéresse aux courses de chars, l'équivalent de la Formule 1 de la Rome antique, sous le règne de Caligula, 3e empereur romain.

Didon aura connu de près les courses de chars toute sa vie, puisque son père est l'entraineur des Verts, l'une des quatre factions qui s'affrontent au Cirque Maxime, le plus grand stade de course de l'Empire. Elle aspire à devenir aurige ( conductrice de chars), mais en tant que fille, ça s'annonce pratiquement impossible. Ça ne l'empêche nullement de courser de temps à autre. Un jour, alors que Didon trouve une baie suspecte dans le box d'un des chevaux. Quand elle en informe son père, celui-ci comprend qu'on drogue les chevaux de la faction verte. Hélas, quand il en informe Hosidius Ruga, le directeur de la faction, qui explique que la tricherie est due au fait que les bleus sont financés par un homme outrancièrement riche, et qu'ils gagnent donc toujours, les évènements prennent une tournure dramatique. Naevius Sutorius Macro, commandant de la garde prétorienne qui protège l'Empereur, assassine Antonius, le père de Didon. Alors qu'Atticus, l'assistant de ce dernier , donne une chance à Didon de sauver sa peau, la jeune adolescente de 12 ans s'enfuit. Après un périple en bateau la menant à Carthage, ville d'enfance de sa mère, Didon réussira à trouver de l'aide en la personne de Scorpus, le grand rival de son père du temps de leur carrière d'aurige, et l'un des meilleurs auriges que Rome ait connu. À la mort de l'empereur Tibère, Caligula lui succède et comme il a un parti prit pour la "faction du peuple", les Verts, la faction bleue connait alors des difficultés. Deux ans passent, Didon, devenue Léon, se révèle une grande aurige. Son unique souhait: retourner à Rome pour retrouver son cheval, Porcellus, laissé derrière, et, pourquoi pas, courser dans le célèbre Cirque Maxime, pour retrouver la gloire perdue de la faction bleue. Mais ce ne sera pas simple: Porcellus est en réalité Incitatus, le cheval préféré de l'empereur et ce dernier soutient les Verts. Toutes les bassesses sont permises, du moment que l'Empereur est satisfait.

C'était une lecture historique passionnante, vraiment. Entre les conspirations et les coup bas en coulisse des courses, l'étrange Caligula, aussi imprévisible que passionné de course, et les secrets de famille de Didon, on ne s'ennuie pas du tout.

Il y a un formidable travail entourant les chevaux en eux-même. On aura droit aux détails sur leur santé, leur performances, leur tempérament et leur importance pour les courses. Ils sont des personnages au même titre que les humains et ont tous des noms. Une dimension équestre qui fait franchement du bien à lire, après ces innombrables romans sur l'équitation anglaise. Élever des chevaux de course est un art. Il y a aussi, évidemment, tout un langage autours du sport en lui-même, très intéressant. Il y a tellement de choses à tenir compte quand on pratique de sports, très dangereux d'ailleurs. À certains moments, on peut faire des parallèles avec la course automobile actuelle, comme les petits équipes sur le terrain, chargés de jeter de l'eau sur les roues ou s'occuper des chevaux une fois la course terminée. Il y a tout une équipe derrière un aurige, également. Et tout comme les courses actuelles, il y avait des "naufrages" qui pouvaient être d'une telle violence qu'elles pouvaient couter la vie aux auriges et aux chevaux.

Didon est un personnage comme je les apprécie. Elle est vaillante, décidée, audacieuse et ne se laissera pas abattre pour des broutilles. Elle aura le concours d'une autre femme plus maligne et perspicace qu'elle en a l'air, en la personne d'Helvia, épouse d'Othon, le propriétaire des Bleus. Il y a beaucoup de personnages, avec des noms assez similaires ( tous en "us" ou presque). Heureusement, ils sont tous notés au début du roman, au besoin, placés par équipes. Mais on s'y retrouve assez bien. D'ailleurs, certains sont historiques: Caligula, l'empereur, est présent surtout dans le second volet de l'histoire. S'il a été historiquement apprécié au début de son règne, son tempérament instable et sa cruauté vont amener sur Rome un vent de révolte. En faisant mes recherches sur ce personnage réel, j'en ai lu qu'il aurait possiblement été bipolaire, ce qui semble avoir été aussi un trait dans le roman. Ce qui expliquerait, en autre, ses excès d'humeurs. La stèle en marbre, l'abreuvoir en ivoire et autres luxes démesurés pour son cheval Incitatus sont historiquement véridiques. Le personnage de Cassius, garde prétorien qui éprouvait de la haine pour son empereur, a aussi existé. Vous trouverez quelques explications et sources de l'autrice à ce sujet à la fin du roman.

Le roman fait 450 pages, mais a une police un peu plus grosse que les romans ado. C'est également le premier tome d'une série. Ce sera donc le genre de roman pour les amateurs d'histoire et de sports qui auront assez de patience pour en venir à bout. C'est un roman qui se lit vraiment bien, l'action est bien qualibré avec les moments plus tranquilles, entre les courses. Le volet "conspiration" et autres intrigues nous tiennent assez occupés. Si on figure assez bien que Didon sera sans doute un jour aurige, le tout est de savoir comment, et ce n'est pas si simple à prédire.

Il y a une dimension assez impitoyable dans l'histoire, on reconnait là la différence d'époque. Cassius, par exemple, fait bien comprendre à Didon qu'il n'hésitera pas à la tuer si d'aventure, elle devait perdre sa couverture de "Léon". Les verts n'hésite pas à droguer leurs chevaux, au point d'en tuer. Caligula a des réactions d'une intensité surprenante et certains coup bas des Verts contre les bleus sont consternants. Mais le degré de violence reste relatif: nous sommes dans un roman Intermédiaire après tout, conçu pour un lectorat à partir de 10 ans.

Le seul détail qui me semble un peu oublié, mais ce n'est guère important, c'est l'aspect religion. Les Romains étaient pieux envers leurs nombreuses divinités, et comme nous avons ici des sportifs, souvent remplis de superstitions, je me serais attendu à en entendre plus parler. Ce qui était également étonnant, mais là encore c'est peut-être juste le choix de l'autrice, c'est le naturel des garçons apprenti-auriges envers Didon qui m'a semblé étonnant. J'aurais pensé que des garçons auraient été plus orgueilleux avec une "fille" aurige, comme c'est historiquement très souvent le cas. le personnage de Nicias l'était, il est vrai. Petit détail qui vous amusera dans cette optique: l'autrice raconte que les romaines aussi adoraient les courses de chars, certaines ont même garder des objets liés à ce sport dans leur tombe.

C'est donc une belle découverte pour la littérature Intermédiaire anglaise que ce premier opus d'une série historique ET sportive! Un récit qui devrait servir aussi bien les lecteurs que les lectrices, avec une héroïne qui n'a pas froid aux yeux et qui a un réel don avec les chevaux.

Pour ceux et celles qui se le demande, "Didon" est le nom de la princesse phénicienne qui fonda Carthage, presque 800 ans avant cette histoire. Elle avait trois prénoms: "Elissa" en phénicien,"Dido" en latin ( "errante") et "Théiossô", en grec. Une fondatrice qui devient ensuite Reine. Voilà!

Pour un lectorat Intermédiaire, 10-12 ans, mais comme il est costaud et bien rempli, il peut très bien servir le lectorat du premier cycle secondaire, 13 ans+.

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Date de sortie

Circus Maximus, Tome 1 : La Course de ma vie

  • France : 2022-06-01 (Français)

Activité récente

Les chiffres

lecteurs 8
Commentaires 2
extraits 3
Evaluations 4
Note globale 8 / 10

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