Mon dieu. Je ne sais pas si je vais poursuivre ma lecture et je ne comprends pas tous ces commentaires dythirambiques.
J'en suis à la moitié et ils ne se sont toujours pas embrassés car ils sont interrompus à CHAQUE FOIS. Mais genre ça fait au moins sept ou huit fois. Dont au moins trois ou ils sont tout seuls chez eux. Ça en devient ridicule.

Un exemple : ils sont en train de commencer à s'embrasser, elle est en sous vêtements, leurs amis arrivent et ne se rendent pas compte qu'elle est à moitié nue ?!

Cela m'épuise de lire de telles romances si peu originales, avec toujours les mêmes ressorts scénaristiques. C'est d'une platitude.

Les personnages se valent tous dans ce genre de romance :

- Lui : arrogant, sur de lui, charmeur puis d'un seul coup froid et hostile. Toujours à souffler le chaud et le froid. Sérieux, ça attire vraiment ce genre de mec ? Moi je fuis vitesse grand V.
Et puis cette propension qu'ont les héroïnes a être menée à la baguette par leurs hormones, a ne pas pouvoir résister à une attirance (alors même qu'on connaît le mec depuis 2 jours), et à oublier tout bon sens... sérieusement, c'est cette image la de la femme que l'on veut passer ? :/

- Elle : mignonne et très maladroite (enfin surtout et tout le temps avec Emmet. Tellement que ça n'est pas du tout crédible). Exemple : elle se met de la crème dépilatoire pour s'épiler et se faire un maillot brésilien. En bougeant elle se recouvre tout le sexe. Elle est désespérée car elle va se retrouver épilée de partout. Eh oh meuf, si tu enlèves la crème instantanément, il ne va rien se passer du tout. Non mais franchement, si même ce genre de scène n'est pas crédible, on va oú??

Ridicule.

Bon dieu. Que c'est mauvais. Très vulgaire Du sexe pour du sexe. Rien qu'à voir la magnifique déclaration d'amour de l'héroïne (ouais j'ai déjà oublié son prénom) à notre mâle alpha en chef :

"Je t'aime, Theron. Toi et ton sens de l'humour décalé et tes cunnilingus incroyables". OMG Elle est sérieuse ?

Bon bah voilà, comment en une citation on peut résumer le livre. Si ça c'est pas de la déclaration d'amour.

Le livre se résume en une énorme scène de sexe parsemée de quelques dialogues par ci par là et de quelques pensées dans lesquelles notre douce héroïne nous dit avoir aimé se faire "défoncer". Non non, je vous jure, ce sont ses mots.

Bref, rien d'autre à ajouter votre honneur.

CQFD

J'avais entendu tellement de bien de cette romance qui fait pratiquement l'unanimité. J'aime beaucoup les single dad, alors en plus avec un personnage ancien bad boy repenti et tout tatoué, c'était tentant.

Bon, gros flop.

Déjà, premier truc qui m'a fait rager c'est les quelques remarques que fait Tristan sur les femmes qu'il a connues dans son passé de playboy : les "putes" qu'il se tapait. OK. Donc, lui avoir des coups d'un soir, no problem, mais les femmes qui en tout connaissance de cause voulaient passer une nuit avec lui sont des salopes et/ou des putes. Comment vous dire que le papa attentionné qui tombe amoureux de la nounou est retombé d'un cran dans mon estime. Il n'en parle pas souvent comme ça, mais les 2/3 fois ont suffi à m'hérisser.

Le reste n'a franchement rien de bien original : on voit tout venir à des kilomètres. Les personnages sont sympas mais ne m'ont pas fait vibrer. Alors oui, la tension entre Tristan et Heaven et leurs quelques joutes verbales sont sympa, mais ça n'arrive pas à contrecarrer la banalité du récit. La relation entre Tristan et sa fille est mignonne mais j'aurais aimé voir plus de moments père/fille (-> presque inexistants dans le livre).

Et sinon, dans le synopsis, on nous présente Heaven comme grossière, maladroite et désordonnée... ce qui n'est absolument pas le cas. Elle est douce, attentionnée, et si elle peut paraître un peu maladroite au tout début, c'est juste à cause du facteur stress. Bref, quand j'ai lu le livre, j'avais l'impression que c'était pas la came qu'on m'avait vendu.

Je ne comprends absolument pas l'engouement autour de ce roman et c'est là toute ma déception.

Si le tome 1 était sympa sans plus, j’avais quand même envie de connaître la suite. Erreur fatale ! Avec ce tome 2, on touche le fond.

• Les situations sont tout sauf crédibles, exemple à la clé :
Par exemple, notre héros qui vient de sortir de prison de manière peu conventionnelle et doit donc se cacher et ne pas faire de vague, cherche Maya, la fille qui l’attire et qu’il aime persécuter (bah bien sur, sinon c’est pas drôle). Donc après une énième crasse, elle refuse de le voir. Que fait-il pour l’obliger et la retrouver ? Il se pointe à la fac, dans l’amphithéâtre, prend la place du professeur et le micro pour la trouver dans la salle et proférer quelques menaces au passage…

• Les réactions des personnages immatures, et les dialogues, OMG !
Extrait 1 :

Spoiler(cliquez pour révéler)

« Evann se tut et fixa mon amie en reprenant une bouffée de nicotine. Il la provoqua :
- La meuf qui a la même couleur de cheveux qu’une canette de Fanta sait donc parler ? »[/spoiler]

Extrait 2 :

[spoiler]« - Si tu t’étais appelé Evann Orange (Note, il s’appelle Evann Black), tu te serais habillé… tout en orange ?
- Putain, c’est devenu une tueuse ! s’esclaffa Tony. »

Ouais, ouais, c’est de ce niveau là !! :o Et après il passe son temps à l’appeler Fanta. Oh mon dieu le grand méchant criminel qui appelle une fille « Fanta », ça fait froid dans le dos.

Bon, je passerai outre (ou pas :p ) le fait qu’il traite l’héroïne comme de la merde en lui répétant au moins 30 fois que ce n’est qu’une idiote mais attention, il y a des variantes « Pauvre idiote », « idiote », « tu n’es qu’une idiote », et la meilleure pour la fin « tu joues la bouffonne ». Le fait que l’auteur joue avec la tension sexuelle entre les deux tout le livre (mon dieu que c’est lassant), qu’elle soit vierge (encore une !)

Bref, tout ça pour que ça se termine sur un… To be continued. Non mais achevez moi !!!

Je finirai par dire qu'il ne se passe RIEN dans ce livre, il n'y a aucune intrigue, aucune substance. Quel dommage d'avoir voulu faire deux tomes au lieu d'un si c'est pour ce rendu là.

Je ne savais pas en commençant Wild Soul qu'il s'agissait d'un spin off de Wild Heart… pourtant quelque chose aurait du me mettre la puce à l'oreille ? Bref, j'ai retrouvé avec plaisir Gabriel et Vicky. Un Gabriel étonnamment apaisé, calme et sur de lui. Un Vicky moins présent mais non moins lumineux.

Mais ce n'est pas ce que je retiens de cette histoire d'amour intense et passionnée, de ces moments de vie sombres et troublés.
C'était une lecture palpitante, déchirante comme tout ce qui déchire et tue à petit feu Jade. Jade, si polaire et torturé rencontre Mel si violent et enflammé. Des étincelles surgissent dès qu'ils s'approchent trop l'un de l'autre mais Jade maintient tout hors de portée. Hors de portée de ce qui le noie et il refuse d'emporter quiconque dans les abysses. Alors il repousse tout le monde, loin, et pourtant certains vont se risquer à l'approcher. Mel bien sur, qu'on a du mal à comprendre tant il est silencieux et arrogant ; Sue, cette maman des rues ; Deagan, cet ami improbable ; Fi, ce petit frère dont il n'a pas voulu ; et quelques autres. Qui vont s’infiltrer en lui, doucement, pour ne plus le quitter.

C’était une lecture envoûtante, triste et lumineuse malgré le poids des mensonges, des drames et de cette terreur envers l'avenir.

La fin est belle, juste, abrupte parce qu'on ne veut pas les quitter sans savoir plus, sans savoir mieux.

Ce livre est pour moi une catastrophe magistrale, et quand je dis ça, je pèse mes mots. Outre l’écriture, que je ne trouve ni fluide, ni bonne, l’auteur avance des thèmes (et certains très graves) en les survolant et en les traitant à la légère.

J’ai trouvé d’emblée l’écriture scolaire et insipide (les dialogues sont plats, l’auteur ne sait pas insuffler les émotions et use des points d’exclamation parfois sans réelle utilité) et les personnages clichés et caricaturaux.

* Des personnages clichés :
- WYATT - Les personnages sont sans profondeur et bourrés de clichés : Wyatt est le cliché même du sportif accompli, arrogant et hautain. Il se décrit lui-même comme un dieu du sport et le meilleur de son club sans jamais se remettre en question. Il vit sa sexualité en se cachant et couchant avec son « plan cul ». Il en parle une demi-douzaine de fois sans que l’on n’apprenne jamais son prénom. Ça annonce la couleur quand même. Si ce n’est pas un homme mauvais, il manque profondément de relief, d’aspérité. Il apparaît comme un gamin trop gâté et imbu de lui-même et… rien d’autre malheureusement.
- JESSY - quant à lui apparaît comme un mannequin aux yeux de Wyatt, ses yeux sont d’un bleu si magnifique, et son corps est si finement ciselé… Voilà l’essentiel des premiers chapitres : l’auteur nous rabâche à quel point ils se trouvent beaux mutuellement. Aucune alchimie, pas de phase de séduction, on ne voit rien. Ils se rencontrent au premier chapitre, ils se trouvent beaux, ont un rdv puis deux et voilà, l’affaire est conclue. Autre cliché que je trouve assez insupportable en romance, les personnages magnifiques qui pourtant se trouve insipide.
- APRIL et TOM -

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Les personnages secondaires sont également sans profondeur voire même complètement abracadabrantesques : la meilleure amie est une cybercriminelle qui a déjà hacké les services secrets britanniques. Son fiancé, qui a enquêté sur elle, a demandé sa mutation du MI5 et travaille maintenant pour le FBI. Wow, je me suis demandé dans quoi j’étais tombée… Je voulais juste lire une romance sportive moi ![/spoiler]

* L’auteur ne s’encombre pas d’un scénario travaillé et recherché. J’ai vu venir certaines scènes de tellement loin que j’en faisais la remarque à des amies bien des pages avant que l’évènement en question arrive…

* Les 2/3 du livre voient arriver un nouveau thème qui sort d’on ne sait où. [spoiler]On apprend que Jessy, qu’on sait avoir eu une relation et rupture difficile un an auparavant, a été victime de manipulation psychologique, de sévices et de viols conjugal durant deux ans. Quid de ses traumatismes physiques et psychologiques ? Il a subi l’enfer pendant deux ans, a dû s’enfuir, quitter son travail, son appartement, sa vie et pourtant rien ne parait. Il se remet en couple facilement, sans aucune peur, ni au sujet des hommes, ni au sujet du sexe. Il n’a aucun problème de confiance. Il n’a suivi aucune thérapie. C’est à se demander si l’auteur connait les ravages que peuvent causer une emprise psychologique et des sévices physiques. J’ai été scandalisée du traitement à la légère de ce thème gravissime.

* On pourrait croire que l’auteur n’a jamais su de quoi elle voulait parler tant elle est a lancé des pistes différentes.

* Enfin, comme trop souvent avec Juno, la correction est hasardeuse (mots manquants, fautes d'accord, erreurs dans l'utilisation des pronoms...).

Une grosse déception pour moi qui adore les romances sportives. Je passerais mon chemin pour la suite de la saga.

Quelle déception, je n’ai pas pu continuer ma lecture : déjà, de nombreuses fautes d’orthographes et de ponctuation émaillent le récit, et ça n’est jamais très agréable, mais alors le personnage féminin est tout sauf crédible et surtout très agaçant.
Autant la double narration aurait pu être un point fort du livre : en effet, nous avons les points de vue alternatifs des deux héros masculins Hurricane et Creed ; autant cela a empêché une identification au personnage féminin qu’est Tenessee, et dieu sait qu’il aurait fallu avoir son point de vue pour me faire aimer son personnage. Car Tenessee est une jeune femme de bonne famille, intelligente, belle et apparemment innocente, qui se retrouve en panne devant le garage du club de motard Blood of Silence. Après avoir fait la rencontre de Hurricane et être montée sur sa moto (déjà, niveau prudence, on repassera), celui-ci décide de l’inviter le lendemain après avoir récupérer son numéro de téléphone de manière peu catholique, Tenessee accepte de dîner avec lui, alors même qu’elle connait une partie de son histoire et donc sait qu’il fait beaucoup plus que flirter avec les limites de la légalité. Bref, à la suite de son deuxième rdv, elle passe une nuit passionnée avec Hurricane. Et se levant au cours de la nuit pour boire un verre, tombe nez à nez avec le meilleur ami de Hurricane : Creed. Irrésistiblement attiré l’un par l’autre, ils cèdent à leur désir.
Donc voilà comment faire retomber un soufflet en deux minutes : la nana qui a l’air droite dans ses bottes vient de passer une nuit avec un homme, et au cours de la même nuit succombe à son meilleur ami dans la pièce d’à côté. Pfff, ça m’a tellement énervé que je n’ai pas poursuivi beaucoup plus loin. Je me doute de la suite, elle va voguer entre les deux pendant un moment, le pot aux roses va être découvert, l’amitié entre les deux hommes va vaciller, bla bla bla. Quel dommage.
Si au moins l’attirance de Tenessee envers Creed avait été exploitée, travaillée, aboutie, on aurait pu avoir un triangle amoureux intéressant, mais là on a l’impression d’une garce qui se tape deux hommes et se fiche des conséquences. Mon aversion envers ce genre d’héroïne aura eu raison de ma lecture.

Mon commentaire va être très dur, à la hauteur de ma déception. Cet avis n'engage que moi bien sur. Il me tardait de le lire, j'avais préféré attendre la sortie du T2 et je voulais lire une romance toute mignonne (comme j'avais pu le lire dans pas mal de chroniques) et franchement, j'ai failli finir avec un ulcère tant je me suis agacé durant ce livre.
J'ai presque trouvé tous les personnages antipathiques (j'y reviendrais), immatures et caricaturaux ; les moments d'humour ont rarement été drôle pour moi ; vraiment je suis très déçu de ce livre de Valentine Stergann que j'aime beaucoup par ailleurs (ce qui a été d'autant plus une très mauvaise surprise pour moi car j'ai eu des gros coups de cœur sur quelques uns de ses écrits, notamment Start Again et La mer à boire).

D'abord le personnage d'Isaac : ça ne l'a pas fait du tout avec moi, ok, je veux bien qu'il ait un caractère changeant et lunatique mais franchement, je l'ai trouvé vraiment très con.

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Alors même que Gabin se questionne sur ses sentiments et sa nouvelle orientation sexuelle, et donc qu'il est très perturbé ; Isaac se permet de jouer de suspense et de lui faire croire qu'il ne recherche que de l'amitié. ALORS MEME que cela fait une semaine qu'il a compris les sentiments de Gabin pour lui. Mais quel homme immature, condescendant il est ! [/spoiler]Jouer avec les sentiments des gens pour rigoler ou faire une blague, quelle tristesse.

La relation Cecily/Isaac/Jett que je n'ai pas trouvé crédible du tout.
Cecily, personnage détestable en soi [spoiler](rappelons quand même qu'elle a été jusqu'à faire une fausse accusation d'agression sexuelle envers un homme pour éviter que son copain pense qu'elle le trompe - entre autre), que Isaac déteste (avec raison) mais qu'il finit par apprécier, prendre en pitié et même par l'EMRASSER ?! Non mais dans quel monde vit-t-on ? On dirait une cour de récréation !

Parlons ensuite du grand père, veuf de son GRAND AMOUR (pour qui il a tout abandonné) depuis à peine 6 mois et qui commence une nouvelle relation et semble très heureux, être déjà passé à autre chose. :/ Et qui accueille son petit fils de manière bien étrange. Non, je n'ai pas réussi à l'apprécier.

Malone : quel personnage détestable et vil. Il me dégoûte. Et en plus je suis sure qu'il va jouer un rôle important dans le tome 2.

Je cherche les points positifs pour ce livre. Je retiens les deux couvertures, magnifique !

Où est l'auteur tout en nuances que j'ai pris plaisir à lire sur Wattpad (notamment avec Start Again, La mer à boire) ?

Abandonné en cours de route.

Un roman détestable dans lequel un des narrateurs viole et torture une prostituée sans en éprouver le moindre remord, tout du moins, il n'en éprouvait toujours pas à la moitié du livre et semblait même avoir oublié ce moment de sa vie. Mais comprenez bien, il a vécu des traumatismes étant petit, donc, il faut lui pardonner, Abject !

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Il manque de tuer le héros lors d'une scène BDSM quelques temps plus tard, et même s'il a clairement dépassé les limites, cette fois-ci, sa "victime" était consentante et en demande, là, ça ne me gêne pas. En tout cas, ne montrer aucun remord pour le crime d'un des personnages, et le faire passer pour une victime en raison de son passé, ça ne passe pas avec moi. C'est immoral, criminel et dangereux !

En plus, le texte manque clairement de crédibilité et de psychologie en ce qui concerne les personnages, leurs émotions, et les sentiments amoureux qui naissent ente eux sans qu'on ne sache comment ni pourquoi. Next !

J'ai adoré ce tome 2 centré sur le personnage de Phil que nous connaissions déjà et sur River. Je me suis beaucoup plus attaché à ce dernier, car il se livre plus.

J'ai été agréablement surprise par le côté BDSM choisi par l'auteur : l'absence de douleur recherchée et la mise en avant de l'obéissance.
Phil recherche la servitude domestique, et j'avoue que j'avais du mal avec le concept, surtout quand il sort de la chambre et qu'il devient un mode de vie à part entière. Mais ici, ça reste soft donc ça ne m'a pas dérangé.

Le prochain tome risque d'être tout le contraire de celui ci, étant donné qu'il se concentre sur le personnage de Gray qui aime plus que tout infliger de la douleur.
Restera ensuite le tome sur Charlie qui jusqu'à présent est assez mystérieux, mais étant donné qu'il est le meilleur ami de Gray, nous en saurons plus dans le prochain tome. J'ai hâte en tout cas !

Réponse de la ME : tome 2 prévu pour le deuxième semestre de 2019 !

Ce livre est une accumulation de scènes, de quiproquos et de décisions toutes plus incohérentes les unes que les autres. Toujours plus de surenchère pour créer de l'émotion, de la pitié, de la colère ; toujours plus de larmes, de violence ; toujours plus de "un pas en avant", "deux en arrière" ; toujours plus de "je ne veux pas faire ça mais je le fais quand même". Quel dommage.

Tellement d'incohérences parsèment ce texte.
Comme cette scène dans laquelle Morgan, cet avocat si riche, recueille Bastien et sa mère sous son toit, alors même qu'il aurait pu leur payer une chambre d'hôtel.
Cette autre scène,

Spoiler(cliquez pour révéler)

où la mère de Bastien est retrouvée morte sur une chaise, maintenant drapée par un linge, mais durant laquelle on laisse à Bastien l'accès alors même que le corps de sa mère est toujours là. Comme si, le temps qu'il soit prévenu, personne n'aurait sorti le corps de sa mère de la chaise où elle s'est suicidée. [/spoiler]
Comme cette scène où Bastien (qui se targue d'être un électron libre, un rebelle, un je m'en foutiste) se retrouve coincé et obligé de d'aller manger avec Morgan et sa femme, alors qu'il lui suffisait juste de dire non.
Comme toutes ces scènes durant lesquelles Bastien est violent mais n'est jamais inquiété par la police.
Et comme cette fin, que l'on voyait venir à des kilomètres. [spoiler]Ce jeu auquel Morgan et Liam prennent part et dont Bastien est le dindon de la farce, tellement puéril pour un homme de la stature de Morgan. [/spoiler]

Et parlons de cette directrice, [spoiler]qui envoie en tout état de cause son élève se faire baiser et humilier par un ami à elle[/spoiler]. Sérieusement?

Je cherche les points positifs vraiment.
Il reste que l'auteur a une belle plume, sait faire passer les émotions, faire vibrer ses personnages. Cela ne suffit pas à compenser une intrigue bancale tant elle est assommée par les incohérences et les clichés.

A vrai dire, à bien y réfléchir, j'ai l'impression d'avoir lu un After version MM. Autant dans le schéma des disputes, dans leur aspect redondant, [spoiler]dans la dualité de Wendy qui rappelle étonnamment celle d'un personnage de After, dans la révélation finale.

Cette lecture a été très compliquée pour moi.
Déjà, je n'ai pas trouvé crédible que Beck, ce jeune homme fermement planqué dans le placard, se mette à draguer un nouveau ;

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ni qu'il participe à un plan à 3 dans un bar gay local[/spoiler], c'est à se demander comment tout le campus n'est pas au courant de son homosexualité. Bref. Passé ces légères incohérences, la romance suit son cours et c'est plutôt agréable à suivre.

Mais le dernier quart du livre m'a révolté. [spoiler]Jamais dans tout le livre, on ne parle de ce qu'à vécu Jeremy avec des mots comme "agression sexuelle" ou "viol". Et pourtant, c'est ce qu'il s'est passé. Que ces mots ne soient jamais utilisés est gravissime, c'est passer sous silence ce que Jeremy a vécu et cela peut être terrible.[/spoiler]
La manière dont Beck réagit, utilisant une sorte de possessivité malsaine, m'a également rebuté. [spoiler]Lorsqu'il confronte le coach Bradley, plutôt que de parler des souffrances de Jeremy, il préfère déclarer que le coach a "volé quelque chose qui n'appartenait plus à Jeremy". C'est une blague ? Donc, ce n'est pas l'intégrité physique et psychologique de Jeremy qui inquiète Beck, mais plutôt le fait que le corps de son petit ami ait été partager avec un autre homme. Jusqu'à la fin, le viol est passé sous silence, jamais mentionné en tant que tel, l'auteur de l'agression n'étant pas puni pour cela non plus. [/spoiler]

L'épilogue quant à lui, digne d'un épisode de bisounours, [spoiler]se déroule un mois après l'agression et une tentative de suicide ne m'a pas aidé à passer outre les incohérences du début. Ce livre est pour moi un gros échec et surtout il délivre un message que je trouve dangereux !

Ca commençait très très bien avec un gay for you géré d'une main de maître et puis arrive plusieurs dramas à la moitié du livre qui ne sont pour moi par correctement traités : tout va trop vite au regard des difficultés entraînées

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(on notera une durée de 7 semaines entre la rencontre, les premiers plans, la mise en couple officielle, la séparation, les retrouvailles ; tout ça avec quelques incohérences de temporalité parfois).

Une lecture agréable mais qui ne tient pas ses promesses.

Cette sortie me faisait de l’œil depuis un moment : entre cette couverture magnifique et ce résumé alléchant, j’avais hâte de le lire. Et quelle déception à la fin. J’ai trouvé que les personnages se comportaient plus comme des adolescents que comme des adultes. Et les trois compères qui vivent déjà sur l’île ressemblent plus à des bras cassés

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qu’à des agents du MI6. J’attache beaucoup d’importance à la crédibilité des intrigues et des scénarii et c’est le gros point noir du livre pour moi. Les personnages ne sont pas cohérents et leur immaturité en rajoute une couche. Pourtant il y avait de quoi faire, entre l’exotisme du lieu, les métiers des deux personnages, la pointe de suspense… Mais ça sonne trop ado pour moi. J’aurais aimé ressentir plus d’émotions face à une sorte de retour aux sources pour Nate, qu’il s’interroge plus sur les évènements, j’aurais aimé le voir creuser un peu plus dans la vie de son grand-père. Mais tout ça est oblitéré par une romance qui sonne creux pour moi eu égard aux joutes immatures et récurrentes entre Nate et Tyler.
J’aurais tant aimé avoir ce joli livre dans ma bibliothèque mais je vais faire l’impasse, sur le tome 2 également.

Habituellement j’aime bien la plume de Jay Northcote. Je trouve qu’il associe de manière intelligente les intrigues simples avec des personnages pourtant bien travaillés et complexes. Ici, ça n’a pas fonctionné pour moi. Les personnages manquent de profondeur et je n’ai ressenti aucune alchimie entre eux… et de magie de Noël encore moins.

Alors je pensais lire une romance de Noël, et soyons clair, ça n'en est pas une. C'est une romance qui se déroule à Noël, c'est tout. Une fois que l'on sait ça, et si on n'est pas trop déçu par rapport à nos attentes, c'était une chouette lecture ! On oublie la légèreté et la magie de Noël, et on les découvre lors d'une rencontre peu commune. J'ai passé un très bon moment, j'adore le thème faux petit-ami en plus et c'était très bien fait.

Ca a été une très belle surprise. Je ne connaissais pas l'auteur mais je me suis laissée tenter par l'extrait et j'ai été ferrée direct. Moi qui suis fan d'Urban Fantasy, j'ai beaucoup aimé l'univers déployé ici :
🌎 une avancée technologique humaine qui est la cause de l'effondrement d'un monde parallèle : le monde des Mythos se retrouve absorbé par la Terre. Cela fait 10 ans que les Mythos sont apparus après un grand cataclysmes. Humains
🐉 Des espèces paranormales qu'on voit rarement issues du folklore mythologique (des dragons, des satyres, des sirènes, des loups garous, des tritons, des ogres...) dont les facultés ont été modifiées par l'effondrement de leur monde et leur arrivée sur Terre
👮‍♂️Un policier honnête (qui aime la lingerie et le maquillage) qui tente d'oublier sa solitude dans les furmeries des satyres, obligé de faire équipe avec un dragon ! 🔥
🕵️‍♂️ Une enquête, des meurtres, un monde ravagé par la peur et l'intolérance suite à l'arrivée des Mythos
Une très belle surprise pour moi ! Hâte de lire la suite !

Un premier tome très bon mais beaucoup trop court. Il y avait tant de choses à dire et à explorer. Je vais donc me dire que ce tome 1 sert plus de prologue qu’autre chose et espérer avoir plus à me mettre sous la dent dans le prochain opus.

Parlons d’univers steampunk bouillonnant de magie (élémentaire, primaire, éther), d’ingénierie (vis, boulons et machines flirte avec magie) et d’action. On est immédiatement transporté en plein milieu d’une aventure (j’avoue, j’adore ce genre de début où tu es plongé directement au cœur de l’action et où les personnages et leurs interactions te permettent de comprendre l’univers) et de la rencontre entre Gillian, agent spécial doué de magie, et Gunner hors-la-loi aux multiples compétences. Ils sont tous les deux aux trousses du même criminel, l’ingénieur machiavélique Ferguson.

On comprend bien dans ce premier tome qu’on ne fait qu’effleurer l’univers, les personnages et l’intrigue liée à Ferguson. C’est pourquoi, si ce tome 1 a été un poil frustrant, je garde un grand espoir pour la suite parce que je me suis quand même régalée dans ce cocktail détonnant que nous offre Gillian et Gunner. La fin est prometteuse, tant pour eux deux réunis que pour chacun individuellement.

Peu d'intérêt pour ce cinquième tome qui ressemble à un mix des 4 premiers.
C'est encore une histoire d'amour entre une humaine et un hybride (franchement, ça tourne un peu en rond, du coup on est toujours rendu à parler des mêmes problématiques...).

On a encore droit à une scène d'enfermement entre nos deux héros.
Encore droit à une ou deux scènes de sexe "forcé" : désolée mais quand une femme dit non, c'est NON. Peu importe qu'elle soit " à toi " bichon, peu importe qu'elle soit excitée, qu'elle "mouille" ou pas. Je me répète mais un non, c'est NON. Je n'arrive pas à cautionner ça. Et je n'arrive pas à cautionner que des auteurs écrivent ça, que ça soit glorifié et que le lecteur soit émoustillé. Du coup, impossible de m'identifier, de rentrer dans le livre, je m'imagine dire "non" et ne pas être entendue. Il y a tellement de victime dont le "non" n'a pas été respecté, c'est impensable pour moi d'écrire et de lire ce genre de choses.

Bref, l'auteur retombe dans ses travers.

Les T3 et T4 m'avaient laissé penser à une amélioration, donc grosse déception.

Autant je ne suis pas une fervente adepte des Dark, autant j'aime en lire de Temps en temps mais la, ça n'est pas possible. L'héroïne se fait torturer et violer (et la je ne parle pas de "Je te force et tu finis par aimer ça et avoir un orgasme" , mais de viol réel avec douleurs, pleurs, sang, hurlements, supplications) par l'homme qu'elle aime... et finis par lui pardonner. Non mais la grande blague ? Je ne parle pas du reste par ce que c'est dans le même genre. J'avais déjà lu d'autres livres de Regina Abel, un peu dans la même veine, que j'avais apprécié sans plus, mais la, pas possible pour moi.

Autant Popul(i)ar du même auteur a été un gros coup de coeur, autant ce roman MxM m'a largement moins plu. Je l'ai trouvé un peu long, et l'attirance subite du professeur plus âgé (alors même qu'il est encore amoureux de son ex qui l'a trahi) pour son élève est un peu trop simple pour moi. Il m'a manqué quelque chose.

Une première partie du livre assez longue et puis tout s’enchaîne à la fin. Deux BAM à la fin du récit et une fin qui donne envie de lire la suite le plus rapidement possible. Un livre assez sombre, dont on ne comprend tous les tenants et aboutissants que dans les dernières pages. C’est assez frustrant.
L’attirance entre les deux héros tend le récit sur une corde raide, on a qu’une envie : que Hardy cède enfin à Alyssa. Et là, déception quand on a enfin obtenu un soupçon de passion après toute cette attente.
Je lirai le tome 2 pour avoir le fin mot de cette histoire car franchement je ne m'attendais pas à ce dénouement. Mais je ressors assez déçue de ce premier tome, tout comme j’avais été très déçue du tome de 2 des Steel Brothers. Je ne pense donc pas continuer à lire Manon Donaldson après la suite de S.W.A.T.

Un tome deux encore meilleur que le premier. On entre en plein coeur de la guerre qui se déclare entre la Coalition et le Thirds. Il y a toujours autant d'action, de balles qui sifflent dans tous les sens, et d'humour (si Dex n'existait pas, il faudrait l'inventer). J'ai eu, souri, et j'ai été ému par la relation qui éclot entre Dex et Sloane. J'ai eu envie de mettre des claques à l'agent Brodie et de réconforter notre petit Dex.
Et puis... Et puis... Le rapprochement d'autres personnages m'intriguent trop! Même si c'est peu crédible, je prends quand même tant j'ai hâte de lire la suite !

Une lecture rapide, pas très crédible Et une fin vue et revue qui du coup est prévisible :

Spoiler(cliquez pour révéler)

Le fait de faire croire que l'héroïne est morte alors que... Non
[/spoiler]

Même si cela fait plaisir de lire une histoire avec une héroïne qui a du répondant, tout se passe trop vite : son coup de foudre, [spoiler]le pardon qu'elle apporte à ses frères et surtout celui a son père alors que 30 secondes avant elle lui hurlait dessus. .

Une petite RH sympa. J'ai cru que Wulfar ne lâcherai jamais et resterai borné jusqu'à la fin. Quelle tête de mule ! Mais j'avoue qu'il se rattrape admirablement à la fin.

Aislinn est forte et courageuse, une belle héroïne !