City Hunter, tome 1 : La Poussière d'ange de la peur

J'aimais l'anime que j'ai vu en VF puis j'ai regardé les OAV en VO et je les adorés également. Le doublage japonais, c'est autre chose !

Logiquement, j'ai acquis les mangas et je les ai dévorés. Ils rétablissent l'esprit de l’œuvre de Tsukasa Hojo, les situations amusantes le sont davantage, les intrigues et les personnages s'étoffent.

Je déconseille vivement de regarder la version française de l'anime, trouvez-le en VO ou ouvrez ces mangas.

J'ai connu City Hunter avec la série Nicky Larson. C'est aussi débile profond d'une bord que de l'autre. La seule petite différence est le Mokkori de Ryo. Ouf.

Wow. Je ne m'y attendais tellement pas. L'anime nous offre beaucoup d'humour et le manga, quelque chose de totalement différent, de sombre, de réaliste, de dramatique. J'ai quand même versé une larme alors que je savais (grâce à l'anime) ce qui allait se passer

Manga lu pendant ma jeunesse que j'ai adoré ainsi que tous les autres volumes

malgré un première édition qui date ce manga reste culte et abordable pour les nouvelles génération. Une pure merveille : le dessin reste tres beau malgré des couleurs qui ne plaisent pas a tout le monde, des histoires drôles qui font rire toutes les générations sans exceptions au milieu d'une intrigue passionnante. Carton plein pour les rééditions deluxe des Tsukasa Hojo

Je suis heureux de retrouver city hunter !!!!!

https://jukeboxcornerblog.wordpress.com/

Bienvenu à Shinjuku, quartier très animé la nuit où la police n'a plus le bras assez long pour étendre son autorité mais où un tandem, City Hunter, se charge de rendre justice aux cas désespérés.

City Hunter, c'est Saeba, la gâchette imparable, et Makimura, l'ancien flic, que l'on embauche en dernier recours quand on a besoin d'un privé, d'un garde du corps ou d'un tueur à gages efficace et expéditif. Ces deux acolytes ne font pas dans la dentelle, mais ils n'acceptent jamais un contrat si la motivation derrière n'est pas juste.

Dans ce tome nous avons droit à 3 histoires très sombres dont la dernière fait se rencontrer Ryo Saeba et Kaori Makimura suite à un événement tragique.

Les bases sont posées, nous savons tout de suite dans quel univers nous atterrissons et à quel type d'affaires nous allons être confrontés.

Le dessin de Tsukasa Hojo qui se veut réaliste, n'est pas encore bien maîtrisé au niveau des visages, mais déjà on constate une amélioration entre le premier et le troisième chapitre! La mise en page est typique des années 80, tout comme les fringues. En dehors de ça, cette série est intemporelle à l'image de son personnage principal faisant preuve d'autant de classe folle que de clownerie désespérante!

J'ai découvert City Hunter en animé, via le club dorothée et je suis le premier à avouer que redécouvrir ce manga sous sa forme originelle est tout simplement une merveille. Pas de censure et surtout de "mauvaise" traduction rendant parfois des scènes un peu incohérente. Je suis vraiment comblé par ce tome, je le recommande vivement.

Ce manga est géniale surtout le personnage de Ryo qui est à la foit drôle et sérieu

De bons souvenirs, et une très agréable lecture, je recommande !

Si les premiers tomes sont sombres (tant dans les dessins que dans les thèmes abordés) et présentent un City Hunter froid et sans coeur, le manga évolue avec le temps vers un style plus humoristique et détendu, et présente aussi un style graphique plus net et plus assuré.

Présentation de la collection ici >> http://book-otheque.blogspot.fr/2013/08/city-hunter-tsukasa-hojo.html