Commentaires de livres faits par clairou_
Extraits de livres par clairou_
Commentaires de livres appréciés par clairou_
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- Du commerce. Nous vendons tout ce que nous volons.
- Je vois...
-Ce n'est qu'un vaurien de pirate, monsieur le duc!
- Vaurien ? Ça signifierait donc que je n'ai aucune valeur ? Détrompez vous, je me vends toujours au plus offrant.
- c'est quoi le problème ?
- on a augmenté le prix des piercings ?
- encore une grève des fabricants de jambes de bois?
-ah, neskooïk, c'est une tradition très ancienne et un grand honneur pour ceux qui sont choisis comme guetteurs.
-oui, je sais, mais c'que j'te dis c'est QUE PERSONNE NE VIENS JAMAIS ICI!!
- c'est vrai ! C'est ce qui rend la tâche plus symbolique que nécessaire et donc purement artistique, dans sa parfaite inutilité pratique.
-Koolakau!! Y a quelqu'un qui approche !!
- impossible ! Personne ne vient jamais ici, tu le sais bien !
- eh ben, là bas , il y a quelqu'un qui s'approche...
-quelle excitation ! Quelle curiosité ! Quelle peur! Comme ça, tout d'un coup !! Qu'est ce qu'on fait ? Qu'est ce qu'on fait ?
- le protocole ! Regarde ce que dit le protocole !
- dans l'hypothèse où des étrangers seraient repérés à proximité de la palissade, remplir le questionnaire (page 13) avant d'autoriser l'entrée.
- voyons page 13, page 13, page...
- dépêche toi, koolakau!! Ils arrivent !
- étrangers, l'île de Bakalaooest un territoire privé. Si vous venez dans un esprit de paix, dites "un", si vos intentions sont belliqueuses ou si vous prétendez assassiner notre président dites "deux".
-un
- est ce qu'il a dit "deux"? Parceque depuis que mes oreilles sont tombées...
- hmmm... J'suis pas très sûr...
- étrangers : dîtes CLAIREMENT "un" si vos intentions sont pacifiques, "deux" si elles ne le sont pas.
- UN!
- un! Il a dit "un"
- alors je continue : si vous avez déjà eu précédemment un contact avec notre communauté, dites "citron", si c'est la première fois que vous nous rendez visite, dites "melon".
- citron.
- il a dit "citron"?
- moi, j'ai l'impression qu'il a dit "médaillon" ou "bataillon" ou "saucisson"... Mais, d'un autre côté, il aurait pu tout aussi bien dire "taux de cholestérol", qu'est ce que j'en sais... Moi depuis que mes oreilles sont tombées...
- bon, neskooïk, koolakau, une bonne fois pour toutes, ouvrez les portes de la palissad, s'il vous plaît !!!
- mais... Ce sont les Campbell!!
- Où sont les autres ? Demanda Benedict en scrutant la porte d'entrée d'un oeil méfiant.
- Mme Crabtree est partie chercher des vêtements convenables pour Sophie, expliqua le gardien en déposant son fardeau sur le bureau de Benedict. Lard ou bacon ?
- Les deux, je suis affamé. Que diable entendez-vous par < des vêtements convenables > ?
- Une robe, monsieur Bridgerton. C'est ce que portent les femmes, en général.
Bénédict envisagea un instant de lui envoyer une bougie à demi consumé à la figure.
- Ce que je me demande, reprit-il en s'exhortant à la patience, c'est où Mme Crabtree espère trouver une robe.
M. Crabtree s'approcha, portant une assiette pleine sur un plateau à pieds qu'il deposa devant Bénédict.
- Mmme Crabtree en a plusieurs. Elle est toujours heureuse de partager.
Bénédict s'etrangler avec la bouchée d'œufs au plat qu'il venait de porter à ses lèvres.
- Votre épouse ne fait pas du tout la même taille que Sophie !
- Monsieur non plus, répliqua le gardien d'un ton placide, mais les vêtements vont tout de même à Mlle Sophie.
- Je croyais que le pantalon avait glisser de sa taille, tout à l'heure, dans le couloir ?
- Eh bien, nous n'aurons pas ce souci avec la robe, n'est-ce pas ? Je ne pense pas que ses épaules risquent de passer à travers l'encolure.
Décidant qu'il état préférable pour sa santé mentale qu'il se mêle de ses propres affaires, Bénédict se concentra sur son petit-déjeuner.
- Quelqu'un finira par vous assassiner dans votre sommeil, un de ces jours, marmonna Apollon, qui congedia le valet sans se servir, parce qu'il voulait garder les idées claires pour la soirée à venir.
- À condition que le quelqu'un en question parvienne à déjouer les pièges posés sur son chemin, répliqua le duc d'un air absent.
Il plaisantait probablement, encore que...
Montgomery pouvait très bien dormir avec des piéges disposés autour de sa chambre. Il avait des manières de potentat oriental.
- Vous avez mal aux dents, madame ?
Silence sursauta en s'apercevant qu'un des garçons de l'orphelinat la dévisageait. Joseph Smith? Ou Joseph Jones? Bonté divine ! Pourquoi son frère et sa sœur s'entêtetaient-ils à appeler tous les garçons Joseph Quelques choses, et les filles Mary Quelques choses? C'était à y perdre son latin.
- C'est pour vous. Pour vous dire merci et à Morgan aussi. Vous avez fait de nous de sacrés hommes. Vous êtes les plus fichus entêtés d'Ecossais que je connaisse et l'honneur de votre noble clan. Nous ne vous oublierons jamais.
Sur la fin, la voix de McHugh s'était brisée d'émotion.
Morgan scruta le visage d'Amalie et comprit qu'elle était plus mal en point qu'elle ne le pretendait. La rencontre avec les soldats français l'avait terrifiée. Depuis ce moment, elle avait fourni de terribles efforts, manifestement désireuse de mettre le plus de distance possible entre les rangers et ses compatriotes. Il admirait sa vaillance, mais ne tolérerai pas qu'elle exige trop d'elle-même alors que tant de lieues les séparaient encore de leur destination.
-Aucun de nous n'attend de toi que tu rivalises avec des hommes entraînés, rangers de surcroît, Amalie. Même si tu as un immense courage, tu n'as ni l'habitude de la guerre ni celle des grands espaces sauvages.
Obstinée, elle continua à avancer.
- Je ne vous ai déjà que trop ralentis.
Morgan se tourna vers Dougie qui les suivait
- Dougie, tu me parais fatigué. Tu as besoin qu'on s'arrête un peu pour te reposer, non ?
Dougie le regarda comme s'il avait subitement perdu la tête.
- Que je me repose ?
Morgan lui montra discrètement Amalie d'un mouvement du menton.
- Oh... Oui... Je... Je suis fatigué, c'est vrai.
L'information remonta la colonne en un éclair:
Amalie était épuisée mais trop entêtée pour l'admettre. En quelques instants, Morgan fut accablé de plaintes murmurées: on en a assez, on n'en peut plus, on veut faire une halte, on a mal à la tête, au dos, aux pieds...
Puis Connor surgit à sa hauteur, l'air contrarié.
- Que diable arrive-t-il aux hommes ? Ils se plaignent comme de vieilles femmes et...
Il jeta un coup d'œil à Amalie, et son expression s'eclaira.
- Je crois que les hommes ont besoin de repos.
Le temps qu'ils atteignent l'endroit sûr choisi par Joseph et ses guerriers, Amalie était exténuée.
- Je m'en rends compte. Disposez, lieutenant, et fermez la porte derrière vous.
- Bien, monsieur, dit Cooke en se retirant.
- Votre Immensité, commença Iain MacKinnon sans s'embarasser de formules de courtoisie autres qu'ironiques.
Le colonel avala une gorgée de thé et se mit à réfléchir à ce nouveau développement. Ivres de rhum, les rangers s'étaient agités dès la nuit tombée, exigeant que leur major soit pardonné et libéré. Wentworth avait immédiatement envoyé des troupes sur le pont de bâteaux pour les prévenir qu'une insurrection serait sévèrement réprimée. Ils avaient répondu en soufflant dans leurs cornemuses, émettant des sons stridents insupportables pour une oreille anglaise, jusqu'à ce ce que le fort tout entier soit réveillé.
- Quel lien pourrais-tu avoir avec des personnes que tu n'a jamais vues ? Que peux-tu avoir en commun avec elles ?
- Je n'en sais rien. C'est justement ce que j'ai envie de découvrir.
- Ah bon ? Alors c'est quoi ce lien ?
- Je viens de te le dire : ils sont tous fous.
- Comment ça ?
- Elle a dit que parmi les patients admis à l'hôpital, il y en avait une forte promiscuité...
- Proportion, peut-être ?
- ... qui avait des problèmes de santé mentale, que se soit des skis aux fraises, des ours polaires ou de l'assiette au beurre.
Pour sa défense, il était mort avant que ces termes fassent leur entrée dans le vocabulaire courant.
- Donc des schizophrènes, des bipolaires ou des victimes de la maladie d'Alzheimer.
- Oui, voilà. Ils sont tous fous, quoi !
Je pris l'autoroute 40 et évitait de peu un semi-remorque.
- Sur le chemin du retour, pourquoi ?
- Tu semblés distraite.
- Pas étonnant. Garrett me suit, figure toi.
- C'est vrai ? Il est habillé comment ?
- Cook, je suis sérieuse.
- Attends, qu'est ce que tu fais ?
Apparemment, elle avait entendu à ma voix que j'étais tendue. C'est parce que je me tordais le cou.
- J'essaie de voir au-delà de la petite fille qui se trouve sur mon capot.
- Oh, c'est pas dangereux ?
- Normalement, si. Mais elle a un couteau.
- Oh, alors, dans ce cas, j'imagine que tout va bien.
- vous vouliez me voir, mademoiselle...?
- Mme... Magenta. Violette Magenta, répondis-je avec de plus grand sérieux.
Le garde du corps s'avença et posa le caméscope qu'il avait trouvait dans mon sac sur le bureau de Price.
- elle m'a dit qu'elle s'appelait Lois Lane.
C'est triste à dire mais je pense qu'il m'avait crue. "
- On m'a toujours enseigné que la voie du voleur, à l'opposé de celle du Chevalier, était mauvaise et sans honneur. Méprisable. Pourtant je te dois la vie. Je ne sais plus trop où j'en suis mais je te remercie. Je te suis redevable et je ne l'oublierai jamais.
Difficile d'expliquer comment j'arrive à cette conclusion, mais je suis convaincue qu'il n'a pas quitté le Maine. J'ai l'impression que nous sommes reliés par un fil. Si je me concentre assez fort, j'arrive à percevoir sa présence. Ou, plus précisément son absence. De plus en plus étrange.
- Les mauvaises herbes vont infester tout le bac et tuer la beauté qui y réside. Un peu comme les pensées négatives.
- Comment ça ?
Il m'offre un sourire doux, et ses yeux pétillent.
- Assieds-toi avec moi, Lucita.
Je lui obéis et je pose mes fesses sur le bord d'un pot rempli de fleurs.
- Les pensées négatives se plantent dans le cerveau comme une graine. Lorsqu'elles poussent, elles envahissent ton esprit et t'empêche de voir clairement la vérité et la beauté qui t'entourent, ou de voir la sincérité d'une personne. En fin de compte, ces pensées prennent le dessus et tu ne peux plus profiter de la joie que te procure cette personne. Comme cette mauvaise herbe. Elle va grandir et infester tout le pot, jusqu'à ce que toute la beauté qu'il contient soit détruite et qu'il ne reste plus que la seule chose que tu ne voulais pas. Dans ce cas, la mauvaise herbe est la pensée négative. "
Tu as oublié ta clé. Elle n’ouvre pas qu’une simple porte. J’espère qu’un jour tu t’en serviras.
Wes
J’attrape les clés de Suzi et de mon appartement, et j’y attache la clé de Wes. Son message est on ne peut plus clair. Si je reviens à lui, je dois être prête à lui offrir mon cœur, car il m’a déjà donné le sien."
- je croyais que c'étaient les mortels que je ne comprenais pas, dit Carrick. Je pense maintenant que ce sont surtout les femmes. Expliquez moi ça, Judes Frances. L'amour ne suffit pas?
- si, quand il existe.
- pourquoi parlez vous par énigmes ?
- parce que tant tant que vous n'avez pas élucidé ces énigmes par vous mêm, ça ne sert à rien de vous les expliquer. Et lorsque vous les avez comprises, c'est inutile.