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Extrait

Le 19 juillet 1870, Monet est à Trouville où il passe l'été. Il y apprend que la guerre est déclarée entre la France et la Prusse. Monet n'a pas la tête politique. Seule la peinture lui importe et il ne se voit pas se réengager dans l'armée. Au contraire de Bazille, qui s'est engagé comme sous-lieutenant du 3e régiment de zouaves pour défendre la France et qui croyait en la vie : "Pour moi, je suis bien sûr de ne pas être tué, j'ai trop de choses à faire dans la vie..." Pourtant, à vingt-neuf ans, les balles prussiennes l'arrachent à la vie. Un 28 novembre 1870, à Beaune-la-Rolande. Le bon Samaritain de Monet s'éteint comme il a vécu. Généreusement.

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