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Claus Schenk von Stauffenberg : Le chevalier foudroyé



Résumé

Chaque époque peut se mesurer à l'aune des figures d'exception qu'elle engendre. Le cours tumultueux pris par l'histoire européenne au XXe siècle a ainsi porté à leur incandescence le dévouement, et pour finir le sacrifice de ces hommes qui se sont mis au service de causes qui dépassaient leurs propres vies. Parmi eux, la figure de Claus Schenk von Stauffenberg revêt une dimension exemplaire appelant à emprunter le chemin d'épreuve sur lequel s'est engagé un homme, pétri par les traditions chevaleresques de sa lignée, porté par le souffle de l'œuvre de Stefan George, et qui a donné corps à l'Allemagne secrète au nom de laquelle il a accompli son destin.

Allant jusqu'au terme de l'enseignement du poète et de son idéal, il a ce faisant offert sa vie pour la rédemption des générations futures, afin que celles-ci puissent fonder leur existence non pas sur la négation de leur histoire et de leur origine, mais en renouant avec une Allemagne fidèle à ses sources immémoriales, celles-là même où Stauffenberg était allé puiser afin de conjurer la course à l'abîme du peuple, du pays et de la civilisation dont il était l'héritier.

Ces lignes ont été écrites avec la conviction que les vertus liées à l'esprit européen - dont Stauffenberg fut la plus parfaite incarnation - sont encore propres à enfanter l'avenir.

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extrait

Le 7 avril 1943 marque un tournant décisif dans l'existence de Claus von Stauffenberg. En reconnaissance dans le désert du sud-tunisien (près de Sebkret-en-Noual), entre les montagnes, son véhicule, une jeep Horch, est pris sous le feu d'un chasseur-bombardier anglais P-40. Grièvement blessé, Stauffenberg perd l'œil gauche et doit être amputé de l'avant-bras droit et de deux doigts de la main gauche. Il subit en outre de graves séquelles au genou.

Transféré d'urgence à l'hôpital de Carthage, il craint pendant de longues journées devenir aveugle. Rapatrié en Allemagne, il reste hospitalisé pendant cinq semaines à Munich. Sujet à de violents accès de fièvre et à de terribles douleurs, Stauffenberg refuse la morphine qu'on lui propose afin d'apaiser ses souffrances, suscitant l'admiration de tout son entourage. Il apprend à écrire avec les trois doigts de la main gauche et réussit à s'habiller seul.

Sur son lit de douleur, il confie à sa femme Nina : "Je sens que je dois faire quelque chose pour sauver le Reich."

Ses amis qui lui rendent visite à ce moment-là notent que "Stauffenberg semblait brûler du feu intérieur de l'homme qui sait que la mission de sa vie l'attend." Contraint à une longue convalescence dans la demeure de Lautlingen, seul son indestructible courage lui permet de rester dans l'armée.

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