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Extrait ajouté par romanedc 2016-04-02T11:12:27+02:00

- Est-ce qu'on peut parler d'autre chose ? Tout ce bavardage hautement viril me donne envie d'essayer des robes et de me faire épiler les couilles.

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Extrait ajouté par maude122 2016-03-04T21:37:06+01:00

— Quand je te regarde manger un cupcake, ça me fait plus d’effet qu’un porno.

— Vraiment ?

Je le regardai en battant des paupières, puis suçai le glaçage sur mes doigts.

La main de Hayden disparut sous la nappe, et il remua sur sa chaise. Son nez effleura ma joue.

— Beaucoup plus. Infiniment plus.

— Tu es à table, Stryker, pas dans ta chambre. Garde tes mains là où je peux les voir, dit Jamie.

Tout le monde se mit à ricaner, et je me sentis rougir. La main de Hayden réapparut, le majeur dressé pour répondre à Jamie. Il n’essaya plus de me tripoter après ça, cependant.

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Je serai plus fort la main de Hayden afin de maitriser mes tremblements.

- Je ne peux pas leur demander de faire une croix sur leurs projets à cause de ma phobie de l’avion. J’ignore totalement si je surmonterai un jour cette peur.

Je frissonnais.

- Je n’ai perdu connaissance que lorsque l’avion s’est écrasé.

- Tu… quoi ? je ne comprends pas.

- Quand je suis revenue à moi, l’avion était en feu. J’ai trouvé Connor alors que j’essayais en m’enfuir. Il était mort. La moitié de sa tête était broyé. C’est le dernier souvenir que j’ai de lui – et il hante toujours mes cauchemars. Maintenant, vous me demandez de revivre ce scénario. Dis-moi un peu comment je pourrais envisager une chose pareille !

Hayden pâlit brusquement. Je ne lui vais toujours pas expliquer certains détails par ce que c’était trop douloureux d’en parler.

- Je suis vraiment désolé. Si seulement je pouvais te faire oublier tout ça.

Vidée de toute énergie, je m’affaissais contre lui, entre ses bars protecteurs. Je passai les miens autour de son cou et mes jambes autour de sa taille, recherchant désespérément une proximité, un lien. Il me tint contre lui un long moment, et j’observai son calme apaisant comme une éponge.

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Extrait ajouté par Sabine68 2017-10-25T11:47:47+02:00

Tenley était partie depuis trois semaines. Chaque jour sans elle était une privation sensorielle atroce et interminable du réveil au coucher. La première semaine, je l’appelai tous les jours. Je finissais toujours par tomber sur sa messagerie. Elle ne me rappelait jamais. Au bout d’un moment, je laissai tomber parce que ça me soûlait de m’être fait jeter aussi facilement.

J’avais des souvenirs d’elle partout : chez moi, au boulot, à Serendipity. Impossible d’y échapper. Maintenant, je comprenais très bien pourquoi elle s’était installée à Chicago : elle avait voulu fuir ses souvenirs omniprésents. Je n’arrivais pas à comprendre ce qui l’avait obligée à retourner là-bas, cependant. Me fuir était une chose, mais si c’était pour retrouver la vie dont elle avait voulu s’échapper, ça n’avait pas beaucoup de sens. À moins qu’elle cherche de nouveau à s’engluer dans la culpabilité. Il est facile de nier qu’un avenir est possible quand on se laisse freiner par le passé. J’en savais quelque chose. C’est ce que j’avais fait pendant des années avant l’arrivée de Tenley.

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Extrait ajouté par romanedc 2016-05-07T09:32:20+02:00

- Et qu'est-ce qui s'est passé quand vous êtes rentrées ? demanda Sarah.

- Hayden et Chris étaient en plein combat de catch, répondit Cassie.

- Quant à Nate et Jamie, ils étaient occupés à parier sur le gagnant, dit Lisa en riant.

- J'aurais pu gagner beaucoup d'argent si Hayden avait gagné, parce que c'était clairement l'outsider, dit Jamie.

- Tu rigoles ! s'exclama Hayden. Chris était bien plus bourré que moi.

- Oui, mais toi, tu es tout maigrichon, espèce d'enfoiré. Moi, au moins, j'ai des muscles, le provoqua Chris en gonflant ses gros biceps.

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— En fait, j’ai pris un peu de vacances. Il faut que je m’occupe de certaines choses ici.

— Viens donc me raconter ça dans mon bureau.

Il regarda Catherine.

— Est-ce que tu peux reporter mon déjeuner ?

— Bien sûr.

— Je te préviendrai si nous devons aussi reporter mes rendez-vous de cet après-midi, lui dit Frank avant de m’emmener dans son bureau.

Lorsque les portes furent refermées, je lui racontai toute l’histoire et lui montrai le fameux document. Frank chaussa les lunettes à double foyer qui étaient suspendues à son cou et lut rapidement les quelques pages, l’air de plus en plus soucieux.

— Pourquoi ne m’a-t-on pas montré ce document avant ? demanda-t-il.

— Je ne l’ai découvert que ce matin. Je suis venue te voir immédiatement. Est-ce que Trey a raison ? Il peut vraiment tout me prendre ?

Je n’étais pas intéressée par la propriété, ni sa valeur financière. Je craignais simplement qu’on me dépouille de mes pouvoirs, car l’idée de perdre quelque chose de plus m’était insupportable.

— C’est ta signature ?

Frank tourna la dernière page du document vers moi.

— Oui, mais je venais de sortir de l’hôpital et je prenais beaucoup de médicaments. Je ne me rappelle pas avoir signé ça.

— Le fils de...

Frank secoua la tête.

— Il pourrait être radié du barreau pour avoir fait une chose pareille.

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Extrait ajouté par Asile_b 2022-06-26T12:20:04+02:00

« — Tenley ?

— Hmm ?

Je lui embrassai le bout du nez.

— Tu veux ouvrir le reste de tes cadeaux ?

Elle ouvrit les yeux.

— Oh ! mon Dieu ! Bien sûr !

Elle roula vers le bord du lit, bondit sur ses pieds, puis s’effondra sur le sol. Je me penchai vers elle sans très bien comprendre ce qui s’était passé. Ses mains apparurent sur le bord du matelas, puis je me retrouvai nez à nez avec elle quand elle tenta de se relever.

— Booooon, fit Tenley. Je crois que je n’ai pas totalement récupéré après notre petite gymnastique d’hier soir. »

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Extrait ajouté par Ivynea 2021-03-03T12:58:51+01:00

Tout comme le soir ou nous avions fait l'amour ensemble pour la première fois, il prit mon menton dans sa main et chuchota d'une voix rauque :

- Regarde-moi.

Une certaine vulnérabilité faisant briller ses yeux bleu glacé.

- J'ai..., J'ai besoin..., dit-il en secouant la tête. Tu es à moi.

Et puis son corps se raidit.

C'était comme si j'avais toujours été à lui. Mon cœur lui appartiendrais aussi longtemps qu'il voudra le garder.

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Extrait ajouté par Sabine68 2017-10-25T11:46:39+02:00

Dans le cimetière silencieux et froid, je pleurai mon ancienne vie. Je laissai mes larmes couler en pensant à Connor, nos familles et nos amis comme je ne l’avais encore jamais fait. Je laissai mon cœur exprimer sa culpabilité et sa souffrance tout en ressentant une paix extraordinairement nouvelle.

J’aimerais Connor toute ma vie, mais il était parti. Il était temps de l’accepter.

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