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Extrait ajouté par okeanos01 2015-05-24T13:59:40+02:00

» – Je ne me suis jamais senti aussi vivant que lorsque je suis avec toi, je ne me suis jamais senti autant moi. Et bon sang, j’aime ta façon de te battre, de te révolter, de ne jamais chercher à être comme il faut. Tu mérites de connaitre enfin la paix, le bonheur et quelqu’un sur qui compter. Je veux être ce quelqu’un et j’en serais malade si ça ne devait pas être moi (…) «

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Extrait ajouté par adele 2015-05-23T09:39:43+02:00

Je prie pour qu'elle saisisse enfin. Je la veux! Je veux être celui à qui elle confiera ses problèmes, je veux que mes bras la rassurent, je veux être le seul responsable de ses sourires, le seul à pouvoir la calmer, le seul à pouvoir la comprendre. Je veux lui appartenir et qu'elle m'appartienne. Elle est à moi, nom de Dieu! Je ne supporterais pas de la voir avec un autre.

source site "dans notre petite bulle"

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Extrait ajouté par Oce1510 2015-03-30T17:45:34+02:00

- Sandre, je suis venu pour parler.

- Vraiment ? Et tu es sûr de ne pas vouloir plus ? insiste-t-elle, en tendant son corps vers moi.

- Je veux ton coeur.

- C'est dommage, je n'ai pas ça en magasin !

elle s'obstine, refuse d'entendre que je souhaite être avec elle, que je la connais bien mieux qu'elle ne le pense.

Spoiler(cliquez pour révéler)- Tu crois vraiment que tu aurais besoin de te protéger derrière des vêtements trop grands et des phrases cinglantes si tu ne craignais pas d'être blessée. J'ignore pourquoi tu as tenu à me sortir des mensonges dans lesquels je m'étais enfermé, mais tu l'as fait. Tu ne m'as pas juste dépucelé, Sandre, tu m'as ouvert les yeux. Tu m'as montré qui je suis vraiment. Pas un mec parfait, pas un sale obsédé, non, juste un gars comme les autres avec ses défauts et ses envies. Je ne savais même pas ce que je voulais avant de te rencontrer. Et je sais que tu crois que je souhaite qu'on soit ensemble juste parce que j'aime le sexe avec toi, mais tu te trompes. Regarde-moi, Sandre, la supplié-je, en prenant son visage dans mes mains.

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Extrait ajouté par Oce1510 2015-03-30T17:29:23+02:00

- Moi c'est Daisy.

Elle a la voix et le prénom de la vraie cruche avec la cervelle placée un peu trop bas.

- Josh, répliqué-je, sans conviction.

- Et tu viens d'où, Josh ?

- Du Connecticut.

- C'est dingue, moi aussi !

C'est bien ma veine. Je n'ose plus la regarder de peur de loucher encore là où je ne devrais pas. Elle va se faire des idées et je ne pourrais plus m'en débarrasser. Je cherche un truc pour qu'elle me foute la paix et comme par magie, Colin qui patauge vers moi, règle le problème en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.

- Laisse tomber, mon frère est puni. Maman ne veut plus qu'il baise.

Daisy le fixe, un brin surprise, un brin choquée et je hausse les épaules en retenant un rire.

- La vérité sort de la bouche des enfants.

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Extrait ajouté par Oce1510 2015-03-30T17:57:17+02:00

Elle m’entraîne par la main dans les couloirs du lycée et j'en profite pour reluquer son charmant postérieur moulé dans une jupe en jean. Elle ouvre une porte et la referme derrière nous avant de me coller contre un bureau massif. sa bouche se presse contre la mienne et je la soulève du sol pour qu'elle enroule ses jambes autour de moi. Sa jupe remonte et je grogne en sentant ses cuisses nues sur mon ventre.

- On est où ? suffoqué-je, après avoir savouré sa langue plus longtemps que nécessaire.

- Labo de chimie. Il n'y a pas cours le mardi.

Je souris comme un imbécile, en faisant courir mes lèvres le long de son cou. Je m'aventure entre ses seins, tandis que ses mains s'aventurent sur ma ceinture.

- Et tu as prévu quel genre d'expérience ?

Spoiler(cliquez pour révéler)Elle sourit en atteignant enfin mon entrejambe et j'écarte sa culotte pour sentir son désir contre le mien.

- Juste quelques révisions, gémit-elle, en se soulevant pour me glisser en elle.

J'adore qu'il n'y ait plus rien entre nous, j'adore qu'elle me fasse confiance et mes sens sont décuplés par la crainte de nous faire surprendre. Je me retourne pour al déposer délicatement sur le bord du bureau. Elle se penche en arrière et je savoure son cou qui m'appelle, tandis que je m'active en elle. C'est merveilleux ! Je suis le plus heureux des mecs et je suis sûr que même Steve n'a jamais éprouvé autant de plaisir dans l'une de ses planques préférées.

Je suis à deux doigts d'exploser. Je m'interromps un instant pour m'assurer qu'on est bien sur la même longueur d'onde. En découvrant son regard trouble et ses mains qui me pressent contre elle, je sais qu'elle n'attend que ça. Je plaque mes lèvres sur les siennes pour retenir mes gémissements et elle râle dans ma bouche en jouissant autour de ma queue.

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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2017-08-22T15:37:00+02:00

- Je ne le dirais pas, mais je le pense, je le pense vraiment, chuchote-t-elle, la voix tremblante, me prenant de court.

- Je peux le dire pour toi ?

Elle hoche la tête et je me penche sur ses lèvres pour préciser, dans un murmure chargé d'émotion :

- Je t'aime, Sandre. Je t'aime comme un fou, plus que personne ne pourra jamais t'aimer.

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Extrait ajouté par Poevai 2015-10-07T06:10:10+02:00

– Tu es nouvelle c’est ça ? m’interroge la copine de Paul. Moi, c’est Betty.

Je lui souris et Marcy précise de la table d’à côté :

– Elle n’est pas nouvelle, elle veut juste faire croire à tout le monde qu’elle est une fille bien, alors qu’elle n’est rien de tout ça.

Je dévisage Marcy. J'aimerais lui faire passer l’envie d’ouvrir sa gueule de Sainte-Nitouche en ma présence, mais je me retiens. Josh détesterait ça ! Je la fixe en lui souriant comme si elle était capable d’un peu d’humour, mais elle est trop cruche pour comprendre que c’est un avertissement.

– Le sexe, c’est l’option de facilité pour attraper les garçons, mais ça n’a jamais été la solution pour les garder, précise-t-elle sûre de son jugement.

Les leçons de morale de Marcy ont toujours été exceptionnelles et je jubile en me redressant pour monter sur la table, négligeant que je suis en jupe et que j’offre une vue imprenable.

– Eh, les gars ! m’écrié-je. Marcy pense que le nombre de fois où vous fourrez votre bite n’est pas important dans une relation durable.

Et partout, dans le bowling bondé, des voix de mâles en rut me répondent : « Fais-moi l’amour bébé et je t’épouse sur le champ », « ouais », « T'es trop bonne, tu peux t’installer chez moi quand tu veux », « si je peux te la fourrer 3 fois par jour, je veux bien me mettre à genoux »… et des horreurs encore plus crues.

Marcy est rouge comme une tomate et si elle avait pu se glisser dans un trou de souris, je pense qu’elle l’aurait fait.

– Tu vois, insisté-je, sans quitter mon perchoir. La prochaine fois que tu auras envie de me faire chier, tu repenseras à cet instant mémorable où tous les mecs ont déclaré leur amour éternel à ma chatte.

Son visage blêmit, elle vient de passer par toutes les couleurs et je ne peux retenir un rire [...].

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Extrait ajouté par Oce1510 2015-03-30T17:15:43+02:00

Prude saute joyeusement sur mon lit comme si je n'étais pas en train de la fusiller du regard.

- Tu n'es pas censé faire chier Will maintenant ? répliqué-je sèchement, toujours irritée par les mots de Phil.

- J'y vais, ricane-t-elle, en se dandinant comme si elle avait envie de pisser. Je voulais... je voulais juste te demander un truc.

Ne me dites pas que je vais devoir faire son éducation sexuelle ?

- Euh... Si William... Enfin, il ne m'a pas embrassée au bal... alors, ça veut dire...ça veut dire qu'il n'est pas intéressé ?

Elle a l'air franchement déçue et j'en aurais presque de la peine pour elle.

- Prude, c'est Will ! m'indigné-je.

Mais à la tronche qu'elle tire, il est clair que je vais devoir préciser.

- Je suis sûre que tu lui plais, mais tu l'intimides.

C'est vraiment moi qui ai dit ça ? Et elle continue comme si elle ne m'avait pas déjà achevée :

- Alors je fais quoi ?

- Tu lui saute dessus, raillé-je, avant de me reprendre. Non, tu vas nous le traumatiser ! Attends un peu et s'il ne fait rien, lance-toi !

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Extrait ajouté par Oce1510 2015-03-30T16:59:35+02:00

- Pourquoi as-tu fait ça ? me demande-t-il, indécis, la clé sur le contact.

Je me retourne pour l'observer. Il est impeccable, rasé de près, bien coiffé, la chemise même pas froissée alors qu'il a passé sa journée avec et pourtant il semblerait qu'un train vient de le percuter violemment. Il n'a pas les épaules pour être mon père, pas maintenant que mon cœur ravagé bout de colère.

- Je ne suis pas certaine que tu puisses l'entendre, soufflé-je, en scrutant son visage décomposé.

- Je préférerais savoir quand même.

- Il voulait qu'on baise, j'ai refusée. Il m'a menacée, alors j'ai pris les devants, histoire de remettre sa bite à sa place.

Ses mains se crispent sur le volant, il déglutit bruyamment et démarre enfin, en tentant de retrouver une respiration normale.

- OK, tu avais raison, je n'étais pas prêt à l'entendre.

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Extrait ajouté par Oce1510 2015-03-30T16:15:09+02:00

- Sandre, je sais que tu es forte. Tu as réussi à gérer toute seule les problèmes qu'ont pu entraîner le départ de tes parents. Je n'ai pas pitié de toi, je veux t'aider parce que je suis ton père et que j'ai besoin, moi aussi, de faire partie de ta vie.

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