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Commentaires de livres faits par cocoille

Extraits de livres par cocoille

Commentaires de livres appréciés par cocoille

Extraits de livres appréciés par cocoille

date : 27-12-2019
Petite rétrospective de ma soirée de la veille : fête dans la villa d’un ami, musique, alcool, voiture de luxe, débauche, piscine à débordement, rousse chaussée de Louboutin, pelotage dans la cuisine, main dans le jeans dans ma Mini Cooper et pour finir chevauchée sur mon canapé. Un samedi soir ordinaire, en somme. Si je me souviens bien, son petit nom c’est Anne-Lise, ou Anne-Louise, je ne sais plus. Enfin, ce n’est pas comme si ça avait une grande importance.
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- qu'est-ce que vous aviez en-tête? L'interrogea-t-elle.
- je voudrais un collier avec des charms. Sept charms.
L'assurance de cet homme était surprenante. La plupart des clients n'avaient aucune idée de ce qu'ils voulaient.
- c'est précis. Pourquoi sept?
- parce que c'est le nombre que je désire, repondit-il avec un haussement d'épaules.
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date : 29-07-2019
Il n’arrivait pas à comprendre pourquoi. Il était habillé de cette façon – un style qu’il avait fini par qualifier de gender-fuck – depuis la troisième, quand le harcèlement et les moqueries avaient atteint un point de rupture, le conduisant littéralement au bord du gouffre. Il avait presque sauté du toit du lycée après une farce particulièrement humiliante et cruelle.
Ce qu’il avait appris cette année-là, c’était de ne pas cacher qui il était, mais de le clamer ; de se mettre en face de ceux qui osaient le défier, en leur disant :
— Va te faire foutre, ma sœur. Je suis comme ça. Si tu n’aimes pas, c’est ton problème, pas le mien.
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« Ta propriété, est magnifique. Et tu as raison, c'est le plus bel endroit que j'ai jamais vu ».

J'ai souri en voyant ça. Je me sentais... rassasié. Plein d'orgueil, plein de bonheur et curieusement, plein d'amour. Cette femme, merde, cette femme me fait sentir qu'il y avait plus dans la vie qu'un lopin de terre et un rêve. Elle était ce que nous attendions, ce qui manquait. Le destin l'avait-il mise sur notre chemin ?
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« Oui, exactement », déclara Anne Marie. « Il y a eu un petit changement. Mon mari et moi sommes partis à Hawaii, alors ma sœur célibataire et très disponible prend notre réservation à notre place ».
Colt et Micah ont tous deux regardé le téléphone dans ma main.
J'allais tuer ma sœur, j'en étais sûre. « Anne Marie », ajoutai-je en gémissant.








« Quoi ? Tu es célibataire et très disponible. Et tu as dit qu'ils étaient super sexy ».

J'ai jeté un coup d'œil au duo qui maintenant souriait largement.
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date : 29-07-2019
À cet instant, je hais tout, cet accident, cette amnésie qui a bousillé ma vie, mon passé, mon présent et mon avenir. Et de gros sanglots m’étouffent quand je pense que je suis désormais seule pour toujours avec ce passé vide et terrifiant. J’ai le sentiment affreux que ma vie m’échappe à nouveau. Mais, cette fois, je suis définitivement seule pour tenter de la rattraper.
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date : 29-07-2019
Toujours souriant, l’homme rejette calmement ses cheveux en arrière. Des yeux bleus apparaissent, étincelants et visiblement amusés par ma petite provocation. Mon verre en l’air, je reste bouche bée. Et je manque de renverser mon verre en sursautant. Jesse Halstead ?
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date : 29-07-2019
- C'est pas deux cents kilos, ça, hein.
Le vieux observait toujours la forêt.
- Les traces, a repris Oscar, elles font le double des précédentes.
- Un autre ours, vraiment? à demandé Annabelle, éberluée. Vlad s'est retourné.
- Oui.
- Un gros ?
- Oui.
- Mais ... et l'autre, celui qu'on suivait ; il est où ?
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date : 29-07-2019
Et puis, d'un coup, comme si la fin de la rue sonnait la fin du territoire, le petit groupe s'immobilise. Mais Hadrien ne s'arrête pas, ne se retourne pas. Il marche vite, traverse les rues, enjambe les trottoirs, la main de Lior dans la sienne. Longtemps, des enfants les accompagnent, bavardant, et piaillant - leurs semblent menaçants pourtant, ombres du quartier qui le refoule et les recrache, même leurs rires, même leurs sourires, même quand Adrien leur jette des pièces de monnaie pour les éloigner, et qu'ils reviennent en courant telles des petites mouches collantes. Cela dure un quart d'heure, vingt minutes. Une éternité...
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Mon camarade se mura dans le silence tout le long du trajet de retour, perdu dans ses pensées. De quoi avait-il discuté avec sa tante ? Que savait-il vraiment à mon sujet ? Je n’osai lui poser la question. Le souvenir de ma réaction à notre étreinte me rappelait que je n’étais pas prête pour certaines choses. Je n’étais prête pour rien, en réalité. Il me faudrait progresser à tous petits pas pour m’habituer à cette nouvelle vie. Nous rentrâmes à l’appartement sans avoir échangé trois mots. Heureusement, Anita était sortie. Nous ne nous sentions d’humeur, ni l’un ni l’autre, à faire la conversation. Au moment où je me dirigeai vers ma chambre, Thierry me rattrapa par le poignet.
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Le camion de livraison roulait trop vite pour cette zone limitée à trente kilomètres par heure. Le choc fut si violent que je n’eus même pas le temps d’avoir mal. Le scooter s’envola d’un côté, mon sac d’un autre, moi d’un troisième. Je retombai aussitôt sur mes pieds. Pas une égratignure ! Indignée, je me retournai vers le camion immobilisé au milieu de la chaussée. Le chauffard serrait son volant de toutes ses forces, les yeux braqués devant lui, tétanisé. Un petit attroupement se formait déjà sur le trottoir
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date : 27-07-2019
Je ne veux pas rouvrir les yeux. Je sais que je viens de me remémorer un souvenir. Je serre les poings pour prolonger ce flash, mais c’est à nouveau le trou noir. Sa main vient se poser sur la mienne et je rouvre les yeux. Il est toujours là, je ne rêve pas. Jonathan est devant moi. Il me regarde avec tristesse. Il a l’air bouleversé lui aussi, ou alors il est simplement mal à l’aise de me voir en larmes. Je retire ma main brusquement et attrape un mouchoir dans mon sac. J’essuie mes larmes et évite de le regarder à nouveau. Je n’ai toujours pas prononcé un mot.
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date : 27-07-2019
Dans ma dernière tentative de vouloir bien faire, j’ai commis la plus grosse erreur de ma vie : prévenir le père de Cécile que je voulais demander à sa fille de s’installer avec moi à Paris. Il m’a regardé avec stupéfaction et a commencé à déballer son ramassis de conneries sur mon incapacité à rendre sa fille heureuse. Mais lorsqu’il m’a lancé que je finirais comme mon père : en prison après avoir braqué une station essence. J’ai vu rouge ! Je ne contrôlais plus rien. J’ai compris mon erreur, quand la porte a claqué. J’ai pris conscience que je venais d’enfoncer mon poing dans la figure de son père qui avait le nez en sang et tout cela devant ses yeux.
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date : 27-07-2019
Je ressens toujours le manque d’Abby au fond de moi. C’est un sentiment qui ne me quittera jamais. Quelque chose qui s’est gravé au fer rouge dans ma chair. Depuis deux ans, j’avance, tête baissée, sans trop savoir où je vais, sans autre objectif que de vivre. Les personnes qui ont vécu le même drame comprendront qu’il est dur de s’en relever. Cela remet beaucoup de choses en question dont, en priorité, sa propre existence. Demain sera peut-être le dernier jour de votre vie. Alors, je profite de ce que la mienne peut m’apporter. Si vous acceptez une banalité, je dirai que je vis au jour le jour. J’ai aujourd’hui vingt-six ans et, à l’heure où je vous parle, je suis célibataire… Les prochaines heures seront déterminantes, mais vous le découvrirez au fil des pages de mon histoire.
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date : 27-07-2019
Trois grands pas et je sonne. Ma montre affiche huit heures et quart, c’est parfait. La porte s’ouvre. Voilà Julien. Mmmm… Effectivement, pour celles qui ont le cœur tourné vers la Méditerranée, il est à croquer. Brun, si brun, une barbe taillée week-end. J’adore ses yeux, si noirs. Il a l’air dangereux… La taille un peu courte, sans doute, mais si je devais m’arrêter à ce genre de considérations, je serais en train de moisir depuis bien longtemps au couvent…

Le silence se prolonge, nous nous sourions, ses yeux laser ont fini de me déshabiller pour la deuxième fois et il a maintenant la bouche entrouverte. Il cherche de l’air, le coquin ! C’est souvent l’effet que je provoque, au premier contact visuel. Crise d’anaérobie légère dans le meilleur des cas, crise d’apoplexie plus rarement, mais ça, c’est le plus souvent chez les vieux barbons. C’est pour ça que je fais toujours très attention à ce que je mets quand j’ai rendez-vous avec un senior, comme on dit. Je déteste provoquer des accidents. Les morts sur la conscience, ça pèse.
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