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La plupart d'entre vous connaissent sans doute la cicatrice qu'il porte sur la joue. Pour autant que je sache, je suis la seule personne vivante à pouvoir dire d'où il la tient.
J'ai vu saigner Coeur d'Acier.
Et je jure que je le reverrai saigner.
Afficher en entierElle était vraiment jolie. Et elle devait avoir à peu près mon âge, peut-être juste un ou deux ans de plus. Je ne savais toujours pas très bien pourquoi elle était devenue si froide avec moi. Peut-être qu'une conversation spirituelle aiderait à y remédier.
— Hum, donc, commençai-je. Depuis combien de temps est-ce que vous êtes… vous savez, avec les Redresseurs ? Tout ça ?
Nickel.
Afficher en entierJ'aurais dû lui faire un clin d'oeil ! Pourquoi est-ce que je n'y ai pas pensé ?
Est-ce que j'aurais eu l'air stupide ? Je ne m'étais jamais entraîné à cligner de l'oeil. Mais était-il possible de le faire de travers ? C'était quelque chose de très simple.
— Vous avez quelque chose à l'oeil ? demanda Balle Courbe.
— J'ai… heu… j'essaie de déloger un cil, répondis-je.
Afficher en entierJ'ai vu saigner Cœur d'Acier.
- Ouverture du roman
Afficher en entierCes lampes éclairaient des armes à feu, accrochées au mur du couloir par centaines.
De l'acier magnifiquement poli et des noirs intenses et assourdis. Des fusils d'assaut. Des pistolets. Des engins massifs et hypercompressés comme celui que portait Abraham, équipés de générateurs gravitoniques. Des revolvers à l'ancienne, des piles de grenades, des lance-roquettes.
[...]
Abraham pénétra dans le couloir d'un pas nonchalant. Il n'accorda pas une grande attention aux armes. Megan entra et je lui emboîtai le pas, regardant attentivement les murs et leur marchandise.
— Waouh, commentai-je. C'est comme… une bananeraie d'armes.
— Une bananeraie, répéta Megan d'une voix neutre.
— Ben oui. Tu vois les bananes, la façon dont elles pendent aux arbres sur lesquels elles poussent ?
— Courbette, tu es vraiment une brêle en matière de métaphores.
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