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1960 : Enfant triste et rêveur, entre un père disparu et une mère en proie à des soucis d’argent, Bobby fait la connaissance d’un voisin mystérieux, qui se dit traqué par de mystérieuses crapules en manteau jaune.
1966 : à l’université, Pete mène joyeuse vie entre la musique, la contestation et les cartes, sur fond de guerre au Vietnam.
1983 : Willie, vétéran de la guerre, gagne sa vie en jouant les aveugles — une cécité qui est aussi une forme de provocation.
Des destins différents qui se croisent autour d’une femme, Carol. Tous l’ont aimée. Bobby la retrouvera.
L’Atlantide ? C’est l’Amérique de leur jeunesse, au long de ces sixties devenues légendaires mais qui, nous rappelle l’auteur, ont bel et bien existé... C’est un Stephen King inédit qu’on découvre dans ce roman-fresque. Un King dont les thèmes d’élection — l’enfance, la malédiction, la peur — entrent ici en résonance avec toute une époque.
Le grand et sans doute le meilleur livre jamais écrit par King... Une réussite absolue tant sur la forme que sur le fond.
La première partie était super intéressante même si un peu bizarre. La deuxième et la troisième, j'ai rien compris. La quatrième était prometteuse mais n'a servi à rien... Du coup je ne sais pas trop quoi penser de ma lecture... L'espèce de société secrète était vraiment prometteuse mais j'ai comme eu l'impression que passer la première partie, King l'a oublié et qu'il a écrit tout ce qui lui passait par la tête... Bref, j'ai rien compris.
Une histoire qui nous fait découvrir la période des sixties aux États Unis. On n’est pas forcément dans la veine des romans de cet auteur en terme de thèmes bien qu’il évoque quand même l’enfance et d’autres thèmes sociaux. Par contre, il existe des liens avec la tour sombre.
Pour ma part, j’ai pris plaisir à suivre cette histoire et voir l’évolution des personnages par un jeu de regards à travers différents narrateurs.
Ce roman n'était pas fait pour moi. L'histoire commence bien mais s'essouffle vite. Je n'y ai pas trouvé beaucoup d'intérêt, les nouvelles m'ont ennuyée. Le seul aspect positif est que l'auteur a bien capté et reconstitué l'essence de cette époque.
Roman en 3 parties, la première histoire avec plusieurs de ses thèmes de prédilection : l' enfance et le fantastique. Roman pourtant beaucoup plus profond, critique de l'Amérique autour d'un de ses sombres moments la guerre du Vietnam. L'auteur prouve ,encore une fois,par ce roman qu'il n'est pas juste un auteur de science fiction mais un véritable écrivain ( ce que les fans tels que moi savent déjà bien sûr) avec l'esprit critique et des choses intéressantes à dire.
Une fresque de l'histoire américaine sur fond de guerre du Vietnam, dans un Stephen King assez inattendu, où l'auteur dépeint les sixties, à « l'Atlantide ayant sombré sous les flots ». Il évoque, non sans nostalgie, l'ère de sa prime jeunesse et de sa génération qui n'a pas réussi à continuer à exister avec les idéaux pacifistes, antiracistes et libertaires.
Hommage aux années 60, ce roman se découpe en 2 courts romans et 3 nouvelles intimement liées. Cette fois, Stephen King nous submerge d'émotions et nous ne baignons pas dans le sang et l'angoisse.
Dans la première histoire, Ted, homme âgé et richissime, s'installe chez le petit Bobby et sa mère. Une complicité s'installe très vite entre l'homme et l'enfant. L'auteur en profite pour louer Sa Majesté des mouches. Quelques allusions à La Tour sombre parsèment le récit, mais si vous ne l'avez pas lu, ça n'en gêne pas la compréhension.
Dans la seconde, Pete et ses potes sont à la Fac et nous voyons en 1966, les premières années de faculté avec toutes les tentations qui s'y rattachent, le tout sur fond de révolte étudiante contre la guerre du Vietnam.
Dans la nouvelle suivante, nous suivons Willie, vétéran de la guerre Vietnam, qui sombre dans la folie. On pourrait dire qu'il souffre d'un SPT et la guerre non encore terminée, fait des ravages parmi les survivants.
Puis vient Sully, qui "enterre" l'un de ses camarades de guerre, malade également.
Le livre se termine en 1999, la boucle est bouclée. Comme je l'ai dit plus haut, beaucoup d'émotion et de nostalgie dans ces récits. Le lecteur s'immergera différemment selon l'époque à laquelle il est né et sa propre sensibilité, mais difficile de rester indifférent.
Roman ou recueils de nouvelles ? Pour le coup, on peut se perdre entre les deux notions. Coeurs perdus en Atlantide étant en effet une oeuvre assez unique dans la carriére de Stephen King...
Car si, dans les faits, il s'agit d'un recueil composé de 2 romans court et de 3 nouvelles, elles ont toutes un but similaire, et présentent également des personnages récurrents, dont celui de Carol Gerber qui sert plus ou moins de fil rouge. Revenons donc sur ces histoires :
01 - Crapules de bas étage en manteau jaune
Bobby Garfield est encore un enfant, il va seulement sur ses 11 ans. Il est trés ami avec Carol Gerber et Sully-John. Vivant seul avec une mére qui peine à gagner sa vie et qui accuse son pére de l'avoir laissé avec presque rien, il va faire la connaissance d'un vieil homme qui s'installe dans l'appartement au dessus de chez lui : Ted Brautigan. Celui-ci est persuadé d'être poursuive par des sales types qu'ils nomment "Les crapules de bas étage". Et avec ce texte de plus de 300 pages, King nous dépeint une amitié profonde mais peu ordinaire entre ce Bobby et Ted. Une amitié trés touchante qui signe aussi la fin d'un âge et le passage à un autre pour Bobby. Et, plus étonnant, cette histoire posséde un lien assez fort avec La Tour Sombre, puisqu'on y retrouvera le personnage de Ted. Une jolie histoire qui débute bien ce recueil sur les années 60.
02 - Chasse-coeurs en Atlantide
En 1966, Pete Riley est à l'université du Maine. Et comme tout les autres éléves, il va se laisser prendre à un jeu de carte nommé le Chasse-Coeur. Au passage, il croise une certaine Carol Gerber et en tombe amoureux. le tout pendant une période qui verra le peuple se divisé, pour ou contre la guerre au Viet Nam...
Si les premiéres pages de ce court roman d'un peu moins de 200 pages ne m'emballait pas, j'ai fini par tomber totalement sous le charme de cette histoire. Elle comporte forcément quelques liens avec la précédente et laisse ressortir tout ce que King pense de cette époque. Une époque qui semble lui manquer, tout autant qu'il en regrette certains aspects. Une histoire vraiment touchante, vraiment belle, sans aucun élément fantastique. Une histoire qui vient du coeur, trés clairement.
03 - Willie L'aveugle
Il y a bien des années, Willie a fait partie du groupe qui a tabassé Carol Gerber. Et depuis, il regrette énormément. Maintenant, Willie est marié. Il est partie au Viet Nam et a sauvé John-Sully. Aprés cela, il n'a pas repris un métier classique. En fait, Willie, pour se repentir, fait l'aveugle, s'installe sur la cinquième avenue, et se contente de l'argent récolter par la générosité des autres...
Une nouvelle fois, la connexion avec les histoire précédentes est clair. Celle ci fait à peine une soixantaine de page mais s'avére également importante, en explorant les regrets de cet homme et ses souvenirs liés à son enfance. Pas forcément la plus marquante du livre, mais une bonne nouvelle !
04 - Pourquoi nous étions au Viet Nam
Encore une bonne pioche. Cette fois, Sully-John se rend à l'enterrement d'un de ses anciens coéquipiers lors de la guerre. Il y croise son ancien lieutenant et ils vont évoquer leurs souvenirs. L'occasion de revenir aussi sur un massacre perpétré par son unité...
Une nouvelle fois, on trouve dans cette nouvelle un ton que l'on n'a pas l'habitude de voir chez l'auteur. Et c'est plaisant de lire cette histoire, dure une nouvelle fois, mais trés bien écrite et qui fait encore de nombreux liens avec les précédentes, notamment lorsqu'il évoque, une fois de plus, les ratés d'une génération...
05 - Ainsi tombent les ombres célestes de la nuit
Bobby Garfield a bien vieilli et il retourne à Harwich. Il faut bien, Sully-John est mort et son enterrement a lieu. Sur place, il va retrouver Carol.
Si cette nouvelle sert clairement de conclusion, comme un moyen de boucler la boucle, elle est plutôt réussit malgré tout, laissant libre court aux pensées de Bobby, à ce qu'il a pu manquer, et à la vie qu'il a, qu'il aime même si elle n'est pas forcément celle qu'il voulait au départ...
Et ce qu'on retiendra de ce roman, c'est que, avec peu d'éléments fantastiques (en dehors des liens avec La Tour Sombre), King livre un de ses plus beaux romans, sur une époque (les 60's), sur les regrets qu'il nourrit vis à vis de celle ci et de sa génération, et sur des actes manqués. Une bien belle oeuvre, singuliére dans le style, mais au final, totalement "king-ienne" !
Un livre à part dans l'œuvre du King. Personnellement, je l'ai dévoré ... et plus d'une fois ! Une Amérique troublée décrite de main de maitre sur plusieurs décennies. Le rythme narratif peut déconcerter... On accroche ou pas.
Un roman dans le pur genre de Stephen King, tant dans le style d'écriture, que dans la construction de l'histoire. Son originalité tient de ses deux points, puisqu'il est construit en quatre parties, dans lesquelles nous retrouvons un ou plusieurs personnages à des époques différentes, le point de départ étant cette histoire fantastique prenant racine dans les années 70.
Bien qu'original et écrit d'une main de maitre, ce roman ne m'a pas vraiment emporté car j'ai trouvé dommage que l'intrigue de la première partie ne se poursuive pas, j'ai trouvé la suite un peu longue sans beaucoup d'actions.
Cette lecture se décompose en plusieurs histoires qui se déroulent sur plusieurs décennies. Le lien entre toutes les histoires est Carol Gerber même si ce n'est pas le personnage principal.
La 1ère histoire avec Bobby et Ted est la meilleure. On retrouve des rappels à la Tour Sombre et au Talisman des Territoires. Moi qui adore ses livres, c'est super!
Les autres histoires sont un peu moins intéressantes même si l'on découvre ce que devienne plusieurs personnages rencontrés.
Résumé
1960 : Enfant triste et rêveur, entre un père disparu et une mère en proie à des soucis d’argent, Bobby fait la connaissance d’un voisin mystérieux, qui se dit traqué par de mystérieuses crapules en manteau jaune.
1966 : à l’université, Pete mène joyeuse vie entre la musique, la contestation et les cartes, sur fond de guerre au Vietnam.
1983 : Willie, vétéran de la guerre, gagne sa vie en jouant les aveugles — une cécité qui est aussi une forme de provocation.
Des destins différents qui se croisent autour d’une femme, Carol. Tous l’ont aimée. Bobby la retrouvera.
L’Atlantide ? C’est l’Amérique de leur jeunesse, au long de ces sixties devenues légendaires mais qui, nous rappelle l’auteur, ont bel et bien existé... C’est un Stephen King inédit qu’on découvre dans ce roman-fresque. Un King dont les thèmes d’élection — l’enfance, la malédiction, la peur — entrent ici en résonance avec toute une époque.
Le grand et sans doute le meilleur livre jamais écrit par King... Une réussite absolue tant sur la forme que sur le fond.
Bruno Corty, Le Figaro
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