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Commentaires de livres faits par Colophane

Extraits de livres par Colophane

Commentaires de livres appréciés par Colophane

Extraits de livres appréciés par Colophane

date : 14-01-2020
La romance est-elle un art mineur ? La plupart du temps, je trouve que oui ; il fut d'ailleurs un temps où courait la rumeur selon laquelle les romans Harlequin étaient composés par ordinateur... Souvent, je considère que ce genre n'est pas aussi "nourrissant" que d'autres -qui pourtant il y a peu étaient à peine mieux considérés -, comme le roman policier. "Romans de gare", en somme, vite consommés et vite oubliés.

Eh bien, "Le pacte" est le dessus du panier.

J'ai apprécié tous les personnages ; chacun a sa place, ce ne sont pas des "bouche-trous". C'est surtout l'évolution des relations entre les héros que j'ai trouvé attachante, basée en premier lieu sur une estime réciproque plutôt que sur une attirance tout épidermique ! Le héros est chevaleresque et plein d'humour; quant à Jocelyn, elle a de l'esprit et sait faire preuve d'auto-dérision. Je la trouve honnête, beaucoup moins superficielle que toutes ces débutantes qui inondent les romances historiques "Regency".

Il y a du vocabulaire, un contexte historique travaillé (vie militaire, médecine, droit), de la répartie, les péripéties ne sont pas trop téléphonées, on ne nous farcit pas d'atermoiements plus ou moins crédibles pour faire du remplissage. On a même droit à une seconde romance, entre Sally et le docteur Kinlock, qui est encore plus "terrienne", je dirais - et réjouissante.

Bref, même si les réactions de Jocelyn sur la fin ne sont pas tout à fait satisfaisantes, c'est très très agréable à lire ; je suis d'ailleurs revenue sur plusieurs passages dès ma lecture terminée; un très bon signe...
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Le titre "Godspeaker" est tellement bien traduit que je suis passée à coté de la version française !

Bon, c'est assez facile à lire en V.O. dans la mesure où le vocabulaire est terriblement répétitif. J'espérais que la pauvreté de mots du début était seulement un écho de l'univers étriqué de Hekat. D'ailleurs, pourquoi diable avoir traduit ce prénom en "Fulie" ? Hécate aurait tout de même eu davantage de sens, même si la mythologie grecque n'est plus aussi connue qu'elle le fût. Malheureusement, malgré l'éducation reçue -ou arrachée...-, les horizons du personnage restent limités ; obsessionnelle, la donzelle. Le dictionnaire a pu se reposer. D'un autre côté, ces termes martelés inlassablement retiennent le lecteur dans l'ambiance.

Sans compter les tournures "Mijakiennes"... Une critique en anglais sur Amazon m'a bien fait sourire, qui dit "The god see you, Karen Miller. The god see you in its overbearing eye. The god sees you, Karen Miller. The god holds you in its much-spoken-of eye." C'est tout-à-fait cela...

Clairement, on n'est pas chez les bisounours, et si l'auteur cherchait à nous écœurer littéralement avec l'odeur du sang qui "imprègne" chaque page, c'est réussi. Quand ce ne sont pas les batailles, les sacrifices rituels prennent le relais. Amis végan, passez votre chemin devant cette hécatombe de colombes, agneaux, chèvres, chevaux (et humains, accessoirement).

Heureusement, les horizons s'ouvrent vers la fin de l'ouvrage (vers 80%... faut être patient). Juste à temps pour donner envie de lire la suite, histoire de savoir si l'exaspérante Hekat devra enfin en rabattre.
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I enjoy this one very much ! First I felt appalled as I realized there shall never be such thing as a translation for the whole set of novels. Nevertheless, I gave it a try, since many readers prize it as the author's best work ; which is the reason why I bought the original English version (moreover, it is cheaper, as far as e-books are concerned. Especially when you choose the set of the first three books).
I was quite fond of the "Veronika Speedwell" first book, too, although I am not sure wether I shall take volume 2 ; nonetheless I must admit this one lies one notch higher.
Far away from clichés, a most enticing immersion in realistic Victorian London. Well, realistic may quite not be the word, for there is some supernatural stuff, but - among other things - the relationships between masters and servants are far more interesting and lifelike than those you can read in most books about this period.
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date : 31-05-2018
Bon, ce n'était pas un livre pour moi, mais un pansement.
Il fallait faire passer une rupture difficile avec la trilogie de LowTown - enfin, Basse-Fosse -, un roman policier devant permettre de tourner la page et changer les idées. Le scénario n'est pas des plus aboutis, la "finition" des personnages laisse à désirer, la construction est inégale - cela dit, en sortant de Basse-Fosse, rien n'aurait trouvé grâce à mes yeux...
Un divertissement honnête, à condition d'être bon public. Au moins, il n'y a pas une surenchère d'horreurs.
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Bon, je me doutais que ce serait dur d'arriver au bout.
Ça s'est confirmé.
Refermer ce livre donne un sacré sentiment de perte.
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date : 19-05-2018
La langue est très travaillée, d'une grande variété, d'une belle finesse.
Je suis malheureusement restée à la porte de cette histoire, cette légende si joliment ciselée, car les personnages sont enfermés dans leur solitude, leur destin. Nulle affection familiale ne peut les réchauffer, l'amitié semble inconnue, la fraternité n'existe pas. Froid, froid, froid.
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Portée par mon élan en sortant de "Tomorrow, the Killing", j'aborde le tome suivant. Doucement, puisque c'est le dernier et qu'il faudra ensuite dire adieu à Warden.

Le nez dans le dictionnaire (et encore, la liseuse m'épargne beaucoup avec le dictionnaire en ligne) pour cerner une langue toujours riche et inventive. Je m'essaie à traduire quelques paragraphes en passant; ce qui m'emplit d'admiration pour les traducteurs de tous bords...

Le temps a filé entre les différents opus (6 ans depuis The straight razor cure), les personnages évoluent, Wren a grandi. La répartie et l'humour à froid de Warden restent à la hauteur. Toujours un régal !
On prend du champ, l'histoire de Warden prend forme. Et les perspectives d'avenir s'assombrissent.

Cette série me remplit d'admiration, pour la maîtrise du discours, des différents registres de langage (pour autant que mes connaissances me permettent d'en juger), les pensées de Warden, la construction du récit, avec ses incursions dans le passé si précisément dosées, si habilement incrustées dans l'action. On prend de la hauteur, mesurant l'entrelacs des compromissions et des arrangements de ceux qui luttent pour prendre le pouvoir, ou pour le garder.

Un mélange de fatalisme et de lutte acharnée pour la survie, pour la protection de ceux qui comptent. Même si la prouesse de Polansky est fort différente, des réminiscences "Ellroyennes" (gros compliment !)

Merci, l'artiste.
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Ah, voilà une romance où j'ai pleinement savouré les escarmouches entre nos héros. Pleines d'ironie mais avec aussi beaucoup de douceur de la part de Geneviève, ce qui nous change des héroïnes un peu "pestes" sur les bords dont il est de bon ton d'admirer les velléités d'indépendance. Et comme le note Jazzmen, très romantique, ce qui est finalement assez rare (un comble pour le genre...)
Bonne surprise.
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Bon, il y a beaucoup de choses que j'apprécie dans cette romance. Je trouve le personnage de Tomasi émouvant. Et l'univers geek m'a bien fait sourire. Alors pourquoi n'ai-je pas envie de continuer? Ce n'est certes pas à cause de la plume de Chani !
Mais je n'arrive vraiment pas à m'attacher à Jessica. Contrairement à son partenaire, j'ai l'impression qu'elle ne fait pas "vrai". Et je ne comprends même pas réellement pourquoi. L'enfance qu'on lui devine et les peaux de bananes que l'auteur glisse sous ses escarpins devraient pourtant nous la rendre attendrissante...
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date : 15-04-2018
Déçue.
Un mystère vite éventé, des personnages qui disparaissent brutalement des radars, un style lourdingue - est-ce la traduction?
Le cœur de glace m'a laissée de marbre.
L'homme aux yeux verts est très prévisible également, mais a davantage de cohésion.
Très daté.
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N'étant pas une inconditionnelle de Mary Higgins Clark, j'ai été agréablement surprise par ce récit romancé de la vie sentimentale du premier président des Etats-Unis. Pas de suspense, mais une histoire aimablement racontée, et qui donne envie d'en connaître davantage.
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Argh. Obligée de le lire en version originale, puisque l'espoir d'une traduction est bien mince; la version originale du tome 1 est sortie en 2011, traduite début 2012, ce deuxième tome est paru à l'automne 2012... Ma maîtrise de la langue de Shakespeare laissant à désirer, et le style de l'auteur se révélant plutôt riche (il mêle plusieurs registres de la langue, le bougre), je passe plus de temps dans le dictionnaire que dans Low Town...
Mais cela vaut la peine, oh oui.
La traduction du premier tome n'avait pas menti, et c'est presque une chance que le second n'ait pas été traduit, je ne m'y serait jamais plongée en VO sinon. Dans ce tome, exit la magie. Les spectres du passé, eux, sont présents, plus que jamais. Les dialogues, sacrément bons.
Et Warden, qui encaisse, dans tous les sens du terme.
Au rythme où je progresse, dans deux ou trois ans, je pourrai vous raconter (et mon vocabulaire en anglais aura été multiplié par dix)...
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Finalement, six mois auront suffi, mais certains passages ont été avalés avec trop de hâte. Il faut que j'y retourne avec le dico.
Je n'ai qu'un mot à dire.
Sonnée. Besoin d'une pause avant le tome 3.
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date : 16-02-2018
Une magnifique découverte. Tandis qu'Edouard déverse ses confidences sur Lisbeth, notre intérêt peu à peu prend ses distances avec le bel aristocrate disert et amer, pour s'attacher à la discrète domestique, ses silences, ses regards, à la fois franche et retenue.
Certains dessins sont en effet crus (récits d'Edouard...), l'album n'est pas "tout public".
Les dialogues et les sentiments sont tout en finesse et en suggestion.
Au premier abord, je n'étais pas attirée par le trait de Virginie Augustin, mais au final je suis sous son charme.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Une intrigue plus niaise aurait pu tourner à la romance, mais la libération de Lisbeth fait du bien.
Je trouve que cette fin, ouverte, avec toujours le silence de Lisbeth (mais cette fois elle se permet le sourire) est très belle.
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date : 27-01-2018
Un bon livre où s'entrecroisent l'histoire de la "chute" de Tom, et une enquête qui semble maudite. Enquête qui pourrait être sa rédemption pour avoir trahi autrefois sa morale de journaliste.
Car d'autres journalistes sont tombés pour mettre au jour la vérité, pourtant Tom parvient à rassembler les informations. Pour une "bonne" raison...
Flash-back, enquête, suspense, émaillés de réflexions sur le travail de journaliste, l'intégrité, la quête du spectaculaire...
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Un récit empli de lyrisme, une ode à la nature et à la tolérance. Mais il est difficile de soutenir ce ton tout au long du roman, et j'ai parfois souffert de baisses de régime au fil de la lecture.
Adepte de roman historique, j'ai aussi découvert avec plaisir la période de la "Glorieuse Révolution" ; l'homme qui recueille les mots de Corrag est un rebelle jacobite (partisan de Jacques II Stuart; donc, catholique) en lutte contre Guillaume III (né Guillaume d'Orange, stathouder de Hollande depuis 1672, gendre de Jacques II, protestant), appelé sur le trône d'Angleterre 3 ans avant le massacre de Glencoe.
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date : 26-01-2018
Une gentille romance, avec une héroïne attachante et d'une bonne humeur communicative. Je me rappelle bien le livre, plusieurs mois après sa lecture, donc ce n'est pas aussi "vite lu, vite oublié" que je le craignais. Et on adore détester J-Lo.
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Un petit bijou.
Céline accepte d'épouser Philippe.
De bonne foi, elle tente de "se faire" à l'existence de jeune bourgeoise mariée. Un mariage qui est plutôt un éteignoir...
J'ai pris grand plaisir à ce court roman et à la réaction de Céline
Spoiler(cliquez pour révéler)
qui comprend que cette vie n'est pas pour elle et dynamite joyeusement les tentatives d'étouffement de son conjoint.
Jubilatoire.
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Cet ouvrage, très agréable à lire, si érudit soit-il, met en évidence les jeux de miroir et de décalages mis en place par Alexandre Astier entre la geste arthurienne - avec sa magie, et sa Dame du Lac-, le contexte historique dans lequel le roi Arthur est censé évoluer (déclin de l'empire romain et invasions barbares), et enfin l'époque d'écriture des grands textes sur la légende (haut Moyen-âge), avec amour courtois, chevaliers et troubadours.
De quoi apprécier davantage la lecture de Kaamelott !
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date : 22-01-2018
Amateurs de "belles" histoires de chevalerie, passez votre chemin ! Comme si l'auteur avait voulu nous montrer l'envers du décor, la réalité âpre et sordide qui pouvait donner naissance à une légende... Une généalogie du mythe, en quelque sorte. Re-(ou dé-) construction virtuose; mais on peine à s'attacher aux personnages.
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La parodie a cet inconvénient qu'elle lasse très vite. Et là, c'est carrément du burlesque, alors tout lire d'un seul tenant n'est pas recommandé.
Chapitre par chapitre, ça se laisse lire...
Mon préféré, c'est "Un temps pour mourir lentement grâce aux médecines douces... (en toute franchise médicale)", avec Aimée qui se transforme en Emma et se fait soigner par Mr Homais ; et la bonhomie de Boris Cytuldick provoque notre "sympath(sc)ience", en plus de rebondir avec "apesentence" sur l'histoire d'Emma.
En l'occurrence, pour apprécier ces chapitres, il faut avoir en tête Madame Bovary et les ouvrages de Cyrulnik...
Le chapitre sur la Shiantologie de Don Rubbarb n'est pas piqué des hannetons non plus !
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date : 06-11-2017
En voilà une dystopie qui vaut son pesant de noix de cajou. Une construction à la Bussi. Un essai philosophique à la Herbert (Franck, hein, pas Brian...) Beaucoup plus convaincant pour moi que "Reproduction interdite", qui pêche dans les mêmes eaux.

Les personnages sont par contre moins entraînants que ceux des livres que j'apprécie d'habitude.

Ce qui a installé une certaine distance avec le roman, d'autant que le style m'a donné du mal au démarrage. De l'anti-Anouilh en quelque sorte ; ce dernier savait croquer en quelques traits des personnages emblématiques, livrer des dialogues d'une élégante simplicité et d'autant plus mordants : j'ai trouvé les personnages de "Habeas Corpus" un peu engoncés, le raisonnement parfois inutilement démonstratif. Le style est recherché, mais pas toujours efficace; les dialogues du débat, je ne les "entends" pas. Les personnages, je ne les "vois" pas (j'en confondais même deux au début, aïe).

En résumé, le fond est bon, et le livre est monté dans mon estime au fur et à mesure de la lecture, ce n'est pas un livre que l'on oublie. Mais les personnages se sont évanouis dès que j'ai fermé la dernière page, ou bien leurs contours sont restés trop grossièrement esquissés.
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Non traduit en français, hélas ! Mais si vous êtes en manque après "Le baiser du rasoir", vous pouvez vous jeter sur cette courte nouvelle (28 pages) pour retrouver Prévôt/Warden en version originale.
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date : 18-07-2017
Ce livre se présente en plusieurs parties, écrites par des auteurs différents; malgré tout je n'ai pas le sentiment d'un ouvrage inégal, comme souvent en pareil cas. Évidemment, ma préférence va aux chapitres de la main de Boris Cyrulnik, dont la clarté, l'humour et la précision du discours remportent toujours mon adhésion.
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Ferdinand Buisson a dirigé la rédaction du Dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire, "bible" des hussards noirs de la République. Ce livre retrace son parcours et nous fait découvrir de nombreux textes commentés.
Un livre qui a changé mon regard sur la laïcité, bien loin de l'irréligion dans l'esprit de ce directeur de l'Enseignement Primaire de la IIIe République. Des discours qui montrent une élévation des sentiments et du sens du devoir, dont je me demande si elle peut encore être audible aujourd'hui.
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date : 08-07-2017
Un roman qui commence avec un cours magistral (Art et société...) pour s'achever en montagne face à un impitoyable géant de rocher et de glace. J'ai apprécié le personnage principal, le style pince sans rire de l'auteur, la course en montagne. Tout comme le retournement final...
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Impossible d'attendre bien longtemps pour plonger dans la suite des aventures de Locke et Jean. Plonger, puisqu'une grande partie de ces nouvelles aventures se déroule en mer... et c'est un euphémisme de dire que nos héros n'entravent que pouic à la navigation.

On retrouve le brillant emblématique du premier tome.

Addictif, virevoltant, mais l'impression demeure que l'on reste à la surface des personnages et de ce qui se joue dans cet univers.
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