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Extrait ajouté par Laurine-25 2019-11-18T10:07:28+01:00

— Qu’est-ce qui vous prend ?

— Je crois que je dois être fatiguée, hoquetai-je. Et si vous voulez une bière, ne vous gênez pas. Vous n’êtes pas de service et c’est moi qui conduis.

Son humeur se ragaillardit, et il ne tarda pas à vider sa première chope de Samuel

Adams pendant qu’on nous apportait son hamburger au fromage et ma Caesar’s

Salad. Nous mangeâmes en échangeant quelques mots de temps en temps, assourdis par les conversations bruyantes et ininterrompues de la foule qui nous entourait.

— Je lui ai dit, tu veux aller quelque part pour ton anniversaire ? racontait un cadre. De toute façon, tu vas toujours où tu veux.

— Ma femme est pareille, répondit un autre, la bouche pleine. Elle passe son temps à

gémir que je ne l’emmène nulle part. Bon sang, on va au restaurant presque toutes les semaines

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Extrait ajouté par SherCam 2019-05-31T14:44:38+02:00

Gerde était un jeune pathologiste aux cheveux noirs et aux yeux d'un bleu étincelant. Il avait travaillé dans mon bureau trois ans auparavant et, comme il était encore novice dans la profession, on faisait rarement appel à lui au tribunal. Mais il était humble et méticuleux, et ces qualités étaient à mes yeux plus précieuses que l'expérience, particulièrement dans la situation présente. A moins que Gerde n'eût considérablement changé, il était très peu probable qu'il ait touché au corps en apprenant que je venais.

- Dites-moi où nous en sommes, demandai-je, alors que nous descendions un large couloir gris et immaculé.

- Je l'ai mesuré et pesé, et je m'apprêtais à faire les examens internes quand le coroner a appelé. Dès qu'il m'a dit que l'ATF était partie prenante et que vous arriviez, j'ai tour arrêté.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2018-09-23T09:20:22+02:00

Il était presque minuit lorsque je ralentis devant la guérite du garde de ma résidence. Fait inhabituel, le vigile de service m’arrêta. Je craignis qu’il ne me dise que mon alarme avait retenti pendant la moitié de la nuit ou qu’un autre cinglé avait tourné autour de chez moi pour voir si j’étais là. Marino somnolait depuis une heure et demie et il émergea quand je baissai ma vitre.

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Extrait ajouté par SherCam 2017-12-28T19:19:08+01:00

- Bon sang, combien de fois, faudra-t-il que je dise au docteur Carmichael que "arrêt cardiaque" n'est pas une cause de décès. Seigneur, mais tout le monde meurt d'un arrêt cardiaque. Quand on meurt, le cœur s'arrête de, non ? Et quand ce n'est pas ça, c'est "arrêt respiratoire," j'ai beau le lui répéter et corriger constamment, ajoutai-je en soupirant d'agacement. et ça fait combien de temps qu'il est expert médical du comté d'Halifax ? repris-je en continuant ma diatribe. Vingt-cinq ans au moins ?

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Extrait ajouté par SherCam 2017-12-28T19:18:23+01:00

« Des visages ravagés vivants dans un autre univers, vides ou remplis du mépris amer de celui qui est enfermé et regarde des gens comme nous, qui n’étions esclaves ni de la drogue, ni de la folie. »

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Extrait ajouté par annick69 2015-09-28T11:51:23+02:00

C’était vrai. J’avais travaillé sur des affaires où des gens s’étaient eux-mêmes égorgés, poignardés en pleine poitrine, amputés d’un membre ou tiré une balle dans les organes sexuels, ou s’étaient noyés de sang-froid dans une rivière. Sans parler de ceux qui se jetaient dans le vide ou qui s’immolaient par le feu. La liste des choses atroces que les gens étaient capables de se faire était trop longue et chaque fois que je me disais que j’avais tout vu, quelque chose de nouveau et d’encore plus horrible était poussé dans notre parking.

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Extrait ajouté par feedesneige 2015-07-16T15:59:59+02:00

chapitre 1

Benton Wesley ôtait ses chaussures de jogging dans ma cuisine quand je me précipitai vers lui, le cœur battant de peur, de haine et de souvenirs d’horreur. La lettre de Carrie Grethen était restée enfouie dans un tas de courrier et de paperasses que j’avais laissé de côté jusqu’au moment où je m’étais préparé un thé à la cannelle, bien tranquille dans ma maison de Richmond, en Virginie. C’était un dimanche après-midi, à 17 h 32 exactement, le 8 juin.

— Je suppose qu’elle l’a envoyée à ton bureau, dit Benton.

Il avait l’air imperturbable et continuait de retirer ses chaussettes Nike blanches.

— Rose n’ouvre pas les enveloppes qui portent la mention Personnel et confidentiel, précisai-je, bien qu’il le sache parfaitement.

— Peut-être devrait-elle. Tu as l’air d’avoir des tas de fans, répondit-il d’un ton cinglant et narquois.

Il posa ses pieds nus et pâles sur le sol, les coudes appuyés sur les genoux et la tête baissée. La sueur ruisselait sur ses épaules et ses bras, bien dessinés pour un homme de son âge. Mon regard contempla distraitement ses genoux, ses mollets et ses minces chevilles, qui portaient encore la marque des chaussettes. Il passa une main dans ses cheveux argentés humides et se radossa.

— Bon Dieu, murmura-t-il en s’essuyant le visage et le cou avec une serviette. Je suis trop vieux pour ces conneries.

Il prit une profonde inspiration et poussa un lent soupir de colère. La Breitling Aerospace en acier que je lui avais offerte pour Noël était sur la table. Il la ramassa et la passa à son poignet.

— Bordel, ces gens sont pires qu’un cancer. Laisse-moi voir, dit-il.

La lettre était manuscrite, rédigée en étranges caractères majuscules tracés à l’encre rouge. Tout en haut figurait un blason grossièrement dessiné représentant un oiseau à longue queue. Etait griffonné au-dessous le mot latin ergo, « donc », dont je ne voyais guère le sens dans un tel contexte. Je dépliai la feuille de papier blanc du bout des doigts en la tenant par les coins et la posai devant Benton, sur la vieille table en chêne. Sans effleurer le document, qui pouvait constituer une preuve, il lut attentivement les phrases décousues de Carrie Grethen et commença à les passer au crible de son implacable base de données mentale.

Tentant toujours de rationaliser et de nier l’évidence, je poursuivis :

— Le cachet de la poste est de New York et, bien sûr, là-bas, on a beaucoup parlé de son procès. Un article est paru dans la presse à sensation, il y a à peine deux semaines. N’importe qui aurait donc pu connaître le nom de Carrie Grethen. De plus, n’importe qui peut se procurer mon adresse professionnelle. Ce n’est certainement pas elle qui a écrit cette lettre. C’est sûrement un autre dingue.

— Non, la lettre est probablement d’elle, dit-il en continuant à lire.

— Elle pourrait poster un truc pareil depuis un hôpital psychiatrique pénitentiaire sans que personne ne le lise ? contrai-je, alors que la peur me serrait le cœur.

— Saint Elizabeth’s, Bellevue, Mid-Hudson, Kirby, dit-il sans lever le nez. Les Carrie Grethen, les John Hinckley Junior, les Mark David Chapman sont des patients, pas des internés. Ils jouissent des mêmes droits civiques que nous, même lorsqu’ils sont dans un pénitencier ou un asile psychiatrique. Ils créent des forums de discussion pédophiles et ils vendent des conseils et des recettes de serial-killing sur l’Internet. Sans oublier les bordées de sarcasmes qu’ils écrivent aux médecins-chefs.

Sa voix s’était faite plus mordante encore, et son débit plus haché. Les yeux qu’il leva enfin vers moi brûlaient de haine. Il poursuivit :

— Carrie Grethen est en train de se payer ta tête, grand chef. Et celle du FBI. Et la mienne.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-04T16:27:45+02:00

 Tu sais très bien pourquoi, dit-il. Pour te manipuler, te faire tourner en bourrique. Ce que les gens dans son genre font le mieux. Elle veut que tu lui procures ces photos. Pour qu’elle puisse voir Gault réduit en charpie, fantasmer et s’éclater devant ce spectacle. Elle mijote quelque chose et le pire que tu puisses faire, c’est réagir, de quelque façon que ce soit

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-04T16:27:39+02:00

Il s’appuya contre la porte du grand salon où un feu brûlait dans la cheminée, car la température n’avait pas dépassé quinze degrés aujourd’hui. La tristesse se lisait dans son regard. Il n’aimait pas que je parle ainsi, pas plus qu’il n’aimait s’aventurer dans cette obscure partie de son âme. Il ne voulait pas imaginer les actes malfaisants que Carrie risquait de commettre, et bien sûr il s’inquiétait aussi à mon sujet. J’allais être convoquée pour témoigner lors du procès de Carrie Grethen. J’étais la tante de Lucy. Il y avait fort à parier que ma crédibilité comme témoin soit mise en doute et ma réputation ruinée

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-04T16:27:32+02:00

— Il faut prévenir Lucy, dit-il en se levant à son tour. Même si Carrie est internée en ce moment, elle va encore lui causer des ennuis. C’est ce qu’elle te promet dans sa lettre. Il sortit de la cuisine

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