Commandant Servaz, Tome 3 : N'éteins pas la lumière

Il y a du rythme, de l'action et des rebondissements… en bref, un polar à dévorer sans modération !

J'ai bien aimé l'idée. Roman psychologique au départ, cela part malheureusement trop dans tous les sens pour moi.

Les 150 dernières pages m'ont souvent fait sourire... Et le dénouement est quelque peu improbable, dommage !

Je l'ai quand même préféré aux précédents. Moins de longueurs et de descriptions inutiles.

J’ai vraiment aimé ce tome , avec des rebondissements assez imprévus. Même si l’histoire paraît par moment un peu tirée par les cheveux j’ai vraiment accroché à ce tome. Le seul petit bémol reste pour moi que l’enquête policière n’est pas vraiment présente et que Servaz l’est encore moins. Sachant que la série est sur lui je trouve ça un peu dommage , après je vois ça comme un tome de transition pour lui et j’espère un vrai retour à l’enquête policière dans le prochain.

Je finis ma lecture un peu mitigée.

D'un côté, je dois dire que j'ai été embarquée aux côtés de Christine. J'ai vraiment vécu sa descente aux enfers avec elle, tout en me demandant qui pouvait être le coupable et lui en vouloir à ce point. J'ai vraiment ressenti l'aspect psychologique de ce thriller.

De l'autre côté, j'ai été déçue que le livre soit autant centré sur Christine. J'ai trouvé que Martin apparaissait trop tard dans le livre et intervenait vraiment tardivement dans l'enquête. L'enquête en elle-même était finalement assez courte. J'ai apprécié les rebondissements et les fausses pistes, autant du côté de Christine que de Martin, mais j'ai trouvé que la découverte du vrai coupable n'avait finalement pas de vrai fondement pour Martin Servaz.

Si j'aime bien un petit côté thriller psychologique, ce qui me plaît beaucoup dans ces livres, c'est surtout l'enquête et la recherche du coupable et/ou du mobile du crime. Même du côté de Christine, l'enquête n'est finalement apparue qu'assez tardivement.

En bref, une fois les premiers chapitres passés (pour m'habituer à Christine alors que je m'attendais à retrouver le commissaire), j'ai été happée par l'histoire mais j'aurais aimé passer plus de temps avec Martin et le voir davantage enquêter.

Bernard Minier nous avais habitué à beaucoup mieux. Un livre mineur.

Après 2 romans que j'ai particulièrement apprécié, je sois bien avouer que ce 3 ème ouvrage m'a franchement déçu. La faute notamment à une enquête policière qui est constamment au second plan avec un Martin Servaz largement sous exploité. De plus, la découverte du meurtrier par Martin m'a laissé sur le postérieur tellement c'est bâclé. Enfin, la descente aux enfers de Christine ne m'a pas captivé plus que ça. Au final, "n'éteins pas la lumière " est un petit Bernard Minier qui souffre se quelques longueurs, d'une histoire très moyenne et d'un final bâclé. C'est vraiment dommage après 2 livres vraiment bons. Ma note: 11/20

Époustouflant !! Encore mieux que les 2 premiers de Minier du commandant Servaz !! Haletant de bout en bout …

Le soir de Noël, Christine Steinmeyer, animatrice radio à Toulouse, trouve dans sa boîte aux lettres le courrier d'une femme qui annonce son suicide. Elle est convaincue que le message ne lui est pas destiné. Erreur ? Canular ? Quand le lendemain, en direct, un auditeur l'accuse de n'avoir pas réagi, il n'est plus question de malentendu. Et bientôt, les insultes, les menaces puis les incidents se multiplient. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s'effondre. Dans les ténèbres qui s'emparent de sa vie, la seule lueur d'espoir pourrait bien venir d'un certain Martin Servaz.

Ravie de retrouver Servaz dans ce troisième tome, j'ai légèrement déchanté face à sa présence toute relative. Cloîtré dans un home pour policiers dépressifs, il offre constamment la parole à Christine, personnage très attachant mais à la paranoïa contagieuse. Et même si j'ai apprécié ce changement de focus, j'ai trouvé que les deux parties de l'histoire se rencontraient trop tardivement. De plus, les réactions de l'entourage de Christine m'ont paru artificielles et assez exagérées... J'ai également trouvé ce roman un peu lourd car composé de très longs chapitres ; cependant, passé la première moitié, je me suis totalement immergée dans le récit pour ne plus le lâcher. J'ai d'ailleurs adoré sa structure complexe élaborée autour de l'opéra, composante primordiale de l'univers de Servaz. Pour terminer, j'ai été subjuguée par les ultimes retournements de situation et par le dénouement positif, rempli d'un espoir inébranlable.

Après avoir lu Glacé et le Cercle, j'ai passé un bon moment de lecture avec ce thriller psychologique où j'ai eu plaisir a retrouver Servaz, en arrêt maladie pour dépression suite aux derniers événements avec Hirtmann. Mais ce ne pas ce dernier que l'on va traquer ici, même s'il reste toujours présent, comme Marianne, dans l'esprit de Servaz. On suit la descente aux enfers de Christine, animatrice radio, harcelée par une personne inconnue et machiavélique qui prend le contrôle de son existence. Ce livre est complètement addictif, malgré les 700 pages je l'ai avalé très rapidement. L'auteur nous égare complètement sur les personnalités, très travaillées, et c'est avec plaisir et surprise que l'on se rend compte qu'on n'y était pas du tout! Servaz enquête de façon non officielle car il est en arrêt maladie, il n'est pas omniprésent et une grande partie de l'histoire est vue du point de vue de différents personnages, ce que j'ai beaucoup apprécié. Agréable aussi de le voir petit à a petit remonter la pente, avec en prime un super rebondissement final! Un régal, hâte de lire la suite de ses aventures!

Ici l'auteur va nous plonger dans l'effroyable de la manipulation psychologique. Celle qui va jusqu'à l'anéantissement. Celle qui est savamment orchestrée pour déstabiliser, pour discréditer et isoler de tous.

Mais attention, un manipulateur pourrait bien en cacher un autre ...

Bernard Minier va en profiter aussi pour nous emmener dans les étoiles de diverses manières, et rythmer son récit sur des airs d'opéra.

Il paraît qu'un opéra se termine toujours avec la mort d'une femme. L'auteur va-t-il adhérer à cette thèse ?

Si on démarre la lecture en douceur (avec quelques petites longueurs aussi) la seconde partie du roman est beaucoup plus rythmée et addictive.

On va suivre une descente aux enfers effrayante de l'un des personnages, et une remontée des profondeurs de la dépression de notre Servaz adoré.

Une lecture qui devient captivante et m'a mise quelque peu sur les nerfs jusqu'au dénouement final assez spectaculaire.

J’ai poursuivi la lecture des livres de la série sur le commandant Servaz.

J’ai, malheureusement, abandonné ma lecture car j’ai trouvé cela long et fastidieux. Il y a un manque d’action, de rebondissements, de noirceur que j’aime dans les thrillers.

Les personnages ne sont pas intéressants, Servaz non plus puisqu’ici il est diminué psychologiquement (ce qui est logique par rapport aux tomes précédents). Il est moins hargneux, moins charismatique.

L’intrigue ne m’a pas captivé. Je ne l’ai pas trouvé extrêmement intéressante. Bref, je me suis arrêtée et je ne lirais pas les autres tomes. Je ne suis pas emballée par l’écriture de l’auteur. Dommage…