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Les morts sont morts, tout simplement. Mais la seule vraie tombe, c'est l'oubli, songea-t-il.

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Il n'en restait plus rien, sinon des morceaux qui jamais ne se recolleraient.

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L’une avait quinze ans, l’autre seize – mais on les aurait prises pour des jumelles. Mêmes longs cheveux couleur de foin mouillé, même visage étroit, mêmes grands yeux dévorant le visage, même silhouette montée en graine… Elles étaient jolies, indubitablement ; belles même – à leur façon bizarre. Oui, bizarre. Il y avait quelque chose dans leurs regards, dans leurs voix, qui mettait mal à l’aise.

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C'était tellement facile de manipuler les hommes. C'en était presque décevant. Il n'y avait nul besoin d'être belle ni très intelligente. Il suffisait juste de leur donner ce qu'ils voulaient - mais pas trop vite.

Ni trop souvent.

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Extrait ajouté par Ambere 2018-04-28T16:45:04+02:00

Elle s’écarta et vit avec satisfaction la façon dont son regard devenait noir, une noirceur qu’elle avait aperçue dans bien d’autres regards. Une noirceur qu’elle aimait susciter. Elle devina son tumulte intérieur. C’était tellement facile de manipuler les hommes. C’en était presque décevant. Il n’y avait nul besoin d’être belle ni très intelligente. Il suffisait juste de leur donner ce qu’ils voulaient – mais pas trop vite.

Ni trop souvent.

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Extrait ajouté par Orphee3 2024-03-10T13:19:54+01:00

" Comme l'a dit Freud, les mots faisaient primitivement partie de la magie et c'est pourquoi ils gardent beaucoup de leur puissance de jadis. Avec des mots, on peut rendre quelqu'un heureux ou très malheureux, entraîner et convaincre, les mots provoquent les émotions, tout écrivain le sait, et permettent aux hommes de s'influencer les uns les autres."

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Elles avaient commencées à le lire à douze ans.

Des romans pour adultes pleins d'une violence quasi insoutenable, de scènes choquantes et révoltantes, de meurtres, de mutilations. Ce qu'elles aimaient, c'est que les coupables s'en tiraient souvent et que les victimes n'étaient jamais complètement innocentés.

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Extrait ajouté par Palmyre 2021-12-15T12:45:10+01:00

-En tous cas, c'est illégal de photographier des cadavres sans le consentement des proches, tu le sais, ça?

Il garda le silence.

-Surtout dans des poses si...dégradantes.

-On est rarement à son avantage quand on est mort.

-Qu'est-ce que tu sais de la mort, toi? rétorqua Kowalski en surveillant sa réaction.

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Servaz remarqua que Lang transpirait. Deux auréoles sombres étaient apparues sous ses aisselles.

— De quelle heure à quelle heure ? demanda-t-il.

— À partir de 21 heures, répondit Kowalski.

L’écrivain prit le temps de réfléchir.

— De 21 heures à 23 heures environ, j’ai regardé un film en VHS. La cassette doit encore être dans le magnétoscope.

— Quel film ?

— My Own Private Idaho

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Deux très jolies jeunes filles. Seules dans la nuit avec lui. Et qui l’adorent, le vénèrent. Voilà ce qu’il voit. Et c’est pour ça qu’il viendra.

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