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Commandant Servaz, Tome 8 : Un œil dans la nuit



Description ajoutée par Marie-France-46 2023-04-13T19:55:42+02:00

Résumé

Dans les montagnes, retiré du monde, un réalisateur de films d'horreur, Morbus Delacroix.

Culte, misanthrope, fou.

Parmi ses fans, une étudiante en cinéma.

Fascinée, intrépide, inconsciente.

A Toulouse, un as des effets spéciaux est retrouvé mort, ligoté sur un lit d'hôpital.

Et si ce meurtre trouvait sa source dans un film maudit ?

Pour le commandant Martin Servaz, peut-être la plus grande énigme de sa carrière.

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Classement en biblio - 162 lecteurs

extrait

Il contemplait la mort atroce d’un homme dont il avait pu apprécier au fil des ans les nombreuses qualités, un homme avec qui il avait travaillé, un homme qui lui avait fait don de son amitié, en même temps qu’il s’était montré l’un des flics les plus compétents de son groupe. Un flic qui ne serait plus là pour sa femme et ses enfants, lesquels avaient accueilli Gustav comme s’il faisait partie de la famille. 

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Commentaires récents

Argent

C'est un thriller haletant, l'écriture est addictive. J'ai beaucoup aimé retrouver Martin Servaz, ma dernière lecture de la série remontant à plusieurs années.

J'ai trouvé que ce tome 8 était moins dynamique cependant, avec des longueurs. L'auteur laisse un peu trop de place aux recherches qu'il a entreprises sur le cinéma d'horreur. Ça donne parfois l'impression de passages "Wikipédia".

L'épilogue laisse présager une suite à venir Spoiler(cliquez pour révéler)avec le retour de son ennemi et traqueur le psychopathe tueur en série Hirtmann Julian.

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Poubelle

Après avoir lu il y a quelques années "La chasse" de Bernard Minier, je me suis laissée tenter par son dernier roman paru avant le nouveau qui arrive en avril.

"Un œil dans la nuit" a plus d'un corps dans sa bobine de cinéma. Les corps s'accumulent et les points communs avec dont celui de travailler avant ou actuellement dans le cinéma, plus exactement dans le genre des films d'horreur et un certain Morbus Delacroix. À première vue, rien ne rapproche les décès successifs mais pour Servaz, son intuition lui dira qu'il y a anguille sous roche et qu'il faut creuser davantage. Aura-t-il raison et vu juste ? Face à la complexité de l'affaire ou plutôt des affaires et au sang des victimes qui s'accumule, Servaz et son équipe vont plus que s'arracher les cheveux. L'enquête devient nationale avec un déploiement de l'équipe dans toute la France.

Les scènes de crimes sont tous des plus frissonnantes et dignes d'un film d'horreur. Tiens, on y revient ! En effet, Bernard Minier a fait de ce genre cinématographique le sujet principal de son dernier polar. Ceux qui ne sont pas friands ou qui ont peur de ce type de films, accrochez votre ceinture, car ils vont se manifester jusqu'à la dernière page. Les menaces pour ceux ayant côtoyé Delacroix vont aussi perdurer jusqu'au bout. Judith, une jeune étudiant en cinéma va voir ses jours en danger mais reste tout de même fascinée par le personnage. Pourquoi ?

La menace grandissante et afin de protéger les potentielles victimes, la police va devoir déployer les grands moyens pour ne pas sombrer dans l'univers des films d'horreur. De nombreux pièges et obstacles vont effectivement se mettre en travers de leur chemin, y compris la mort atroce et les coups d'avance du ou des auteurs des crimes.

Malgré un challenge intéressant, je n'ai pas été captivée par "Un œil dans la nuit". Pour tout vous avouer, je me suis malheureusement ennuyée le plus souvent. Hormis quelques passages rythmés et intenses avec une touche de suspens que l'auteur maîtrise à la perfection, je me suis régulièrement perdue face au changement de personnages et de lieux beaucoup trop souvent à plusieurs reprises dans chaque chapitre. En bref, la lumière était encore très loin du bout du tunnel.

De plus, l'univers des films d'horreur et la culture cinématographique dans l'ouvrage prouvent que Bernard Minier a su y retranscrire un univers sombre et étrange. Néanmoins, je l'ai trouvé beaucoup trop omniprésent avec une intrigue qui a peu de sens et tirée par les cheveux. J'ai connu un meilleur Bernard Minier avec "La chasse". J'espère que son prochain roman ne sera pas dans la même lignée.

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Lu aussi

Le sujet de ce huitième tome de la série du Commandant Servaz est le cinéma d’horreur. Le début est bon et intriguant mais je me suis vite lassée des longues tirades entre les personnages sur les films, les réalisateurs etc. Tout comme je me suis lassée des passages décrivants rue après rue l’itinéraire des personnages que ce soit à Toulouse ou à Paris. La fin rattrape un peu l’ensemble. Spoiler(cliquez pour révéler)La mort d’un des personnages principaux n’apporte rien à l’histoire. Espérons que le retour de l’ennemi juré de Servaz ravive la flamme dans le prochain opus

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Or

Hâte de lire la suite excellent

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Argent

Beaucoup de commentaires positifs pour ce 8e opus... et pourtant, bien que fidèle admirateur du Commandant Servaz dont j'ai lu toutes les aventures et péripéties, je n'ai pas autant apprécié ce 8e tome que les précédents. Je n'ai pas été passionné par l'univers des fils d'horreur et je n'ai pas trouvé que le final était "renversant" comme j'ai pu lire, ayant compris bien avant la fin qui tirait les ficelles.

Ce roman reste bien écrit mais je sors de cette lecture plutôt déçu. Mais je reste partant pour dévorer une 9e aventure du Commandant Servaz!

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Diamant

Un très bon Bernard Minier. J’ai aimé de la première page à la dernière. Des bouleversements, une enquête périlleuse. L’attente du prochain qui je l’espère sera très bien lui aussi. J’ai aimé les clins d’œil tout au long du roman à d’autres récits et écrivains. La rencontre, au 36 rue du bastion, avec Sharko, un personnage de Franck Thilliez que j’affectionne particulièrement. Ce roman avait ses parts d’ombre, très sombre, glauque. Ses parts de drame et de tristesse aussi. Une page se tourne vers une nouvelle.

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Diamant

Un peu déçue par ce 8ème tome. J'ai trouvé l'écriture moins dynamique, trop de métaphores dans les descriptions, toujours plus longues. Un "retournement de situation" plutôt attendu et convenu de mon point de vue. Dommage.

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Argent

J'ai apprécié l'aventure. L'univers des films d'horreurs et toutes les légendes autour, sont un terrain de jeu riche et propice à la paranoïa ce qui sert le récit et fait travailler notre imagination tout le long. J'aime beaucoup lorsque les pièces du puzzle s'imbriquent ensemble petit à petit pour former l'image finale et nous révéler la vérité, confirmant ou non nos soupçons et je dois dire que j'ai tourné les pages en voulant toujours en apprendre plus. C'est fluide, facile à lire, avec des personnages intéressants (et d'autres qui m'ont moins convaincue) et on passe clairement un bon moment. J'avoue avoir été un peu moins emballée par la toute dernière partie, la fin convenue et déjà vue selon moi, ayant un peu calmé mon excitation.

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Diamant

Beaucoup de suspense et d'émotions .

Histoire originale dans le milieu du cinéma horreur.

J ai hâte de retrouver servez à la recherche de hirtman qui s'est échappé .

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Diamant

Difficile de noter mieux un livre qu un Servaz. Ces livres de Bernard Minier font vraiment partie des meilleurs thrillers de sa génération.

C est halletant, passionnant, on est accros au bout de 3 pages. J ai hâte de commencer le livre et à la fois déçue quand je le finis parce qu il faut attendre le suivant, hélas.

D autant que celui ci… finit sur un suspense insoutenable : Spoiler(cliquez pour révéler)l évasion de Hirtman de sa prison alors que Martin attendait le retour de Léa après son engagement auprès de médecins sans frontières. Si bien qu on ne sait pas à la toute fin si c est Léa ou Hirtman qui est venu frapper à la porte de son appartement Toulousain.

Fin mise à part, ce roman est tout bonnement époustouflant. Je l ai lu en 3 jours. Il s agit de l assassinat de plusieurs personnes liées au milieu du cinéma d horreur, et surtout au cinéma de Morbus Delacroix.

D abord De Weld, un cinéaste devenu fou et séjournant dans un asile, retrouvé mort entaillé d étrange manière, rituelle. Puis, un autre retrouvé mort torturé dans sa baignoire.

On assiste avec l envie qu il ne lui arrive rien, au séjour de Judith chez Morbus. Celle ci dit vouloir écrire une thèse sur l’oeuvre de Morbus. Spoiler(cliquez pour révéler)On découvre qu en fait, elle est la fille d une des actrices fétiches de Morbus, et à la toute fin, que c est sa fille et aussi l instigatrice des meurtres, car elle pense que Morbus est responsable de la mort de sa mère .

Il existe aussi une autre histoire dans l histoire. Celle de snuff movie, de rituels faits en dehors des plateaux de Morbus, Spoiler(cliquez pour révéler)organisés par Artemisia, la compagne de Morbus. Ceux là assassinent Vincent Esperandieu quand il se montre trop curieux lors d une soirée de Vip du cinéma d horreur.

Spoiler(cliquez pour révéler)Charlène semble prendre Martin pour responsable de la mort de Vincent. On ne sait pas pourquoi est revenue Léa. Le mystère reste entier. C est insoutenable.

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Date de sortie

Commandant Servaz, Tome 8 : Un œil dans la nuit

  • France : 2023-04-06 (Français)

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Les chiffres

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Commentaires 32
extraits 3
Evaluations 56
Note globale 8.02 / 10

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