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Extrait ajouté par sorcieregarou 2016-09-23T18:09:00+02:00

J'ai de nouveau la colère qui m'envahit. Putain, on n'est pas mourants. On est juste homos. Ce n'est pas la fin du monde.

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Extrait ajouté par Lily01 2016-04-03T11:07:19+02:00

Pendant tout ce temps où j’ai cru qu’elle représentait mon avenir, je me trompais. Elle a été la porte qui s’ouvrait sur mon avenir. Mais j’ai franchi cette porte à présent et je suis prête à la refermer derrière moi.

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Extrait ajouté par sorcieregarou 2016-09-23T18:07:53+02:00

Taylor me regarde droit dans les yeux et j'ai l'impression de fondre sur place. Puis elle se penche vers moi et avant que j'aie le temps de dire ou de penser autre chose, elle m'embrasse. Et je l'embrasse aussi.

Ça commence presque au ralenti. Ses lèvres, douces sur les miennes, des petits baisers légers, comme à tâtons. Puis elle ouvre légèrement ses lèvres et m'embrasse avec plus de vigueur. Je n'arrête pas de penser que nos deux bouches s'entremêlent à la perfection. Ses lèvres sont si délicates, sa langue m'attire en elle. Je me perds en elle.

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Extrait ajouté par celia_cat 2016-04-16T20:33:09+02:00

Je l'observe alors qu'elle me parle de dos. Des mèches de cheveux lui caressent la nuque et le désir de la toucher jaillit soudain en moi. Je m'approche davantage.

-Vous êtes la meilleure personne que j'aie jamais connue, dis-je d'une voix agitée, tremblante de désir.

J'ai envie de lui embrasser les cheveux. Je ne sais pas si je peux m'arrêter.

Elle fait volte-face et son visage se trouve à quelques centimètres du mien.

-Ash, je ne pense pas que...

J'ai les yeux rivés sur sa bouche, tandis qu'elle commence à parler. Mais elle ne finit pas sa phrase et ne me regarde pas. Brusquement, tout ce qui se trouve en dehors de la salle ne compte pas, n'existe pas. La seule chose qui a de l'importance, c'est ce qui se passe en ce moment, ici, entre nous deux.

Je vais l'embrasser.

Je vais le faire. Je sens déjà presque ses lèvres, douces contre les miennes. Le désir est si intense que ça ressemble à une douleur physique, une douleur que je n'ai jamais connue - celle qu'on éprouve quand on a trop besoin de quelqu'un.

Je me penche. Je ferme les yeux. Je...

-Ash,on... Ce n'est pas ce que je... Tu dois...

Elle s'interrompt, se passe une main dans les cheveux, tourne la tête.

Mes yeux s'ouvrent aussitôt.

-Il n'y a personne, dis-je dans un sourire nerveux, stupide. Ca va...

Deuxième partie: Chapitre 29: pages 212-213

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Extrait ajouté par celia_cat 2016-04-16T20:22:57+02:00

Sa main tient si fort la poignée que ses phalanges sont toutes blêmes. Elle fixe le sol.

-Mademoiselle Murray...

-Quoi?

Elle reste immobile.

Je la regarde fixement, mais elle non.

-Je vous aime.

L'atmosphère de la salle est glaciale, chaque atome comme en suspens. Puis, son corps tendu se relâche. Sa main desserre son emprise sur la poignée de la porte et elle tourne lentement la tête vers moi. Elle soutient mon regard un instant. Ses yeux sont cernés de noir. Des sillons creusent son front soucieux. Ses joues sont pâles. J'ai envie que tout aille bien. J'ai envie de la rendre heureuse. Je crève d'envie de toucher son visage.

-Je sais... dit-elle calmement.

Puis elle ouvre la porte et attend que je sorte.

-A lundi! je lui crie, tandis qu'elle ferme le gymnase à clé, avant de rejoindre sa salle de classe.

Mais elle n'a pas dû m'entendre parce qu'elle ne réagit pas.

Deuxième partie: chapitre 20: pages 214-215

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Extrait ajouté par cassy15_ 2016-02-28T16:06:29+01:00

Il serait temps que le monde cesse de porter un jugement sur les gens à cause de la personne que le hasard a voulu qu'ils aiment. L'amour ne fait pas de discrimination, pas plus que la loi ne devrait en faire. Ni dans ce pays. Ni dans ce monde. Ni dans cette vie.

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Extrait ajouté par Yulii 2019-01-05T00:32:43+01:00

Ma mère ? Pourquoi elle s’inquièterait ? Elle ignore que je passe le plus clair de mon temps à penser à la prochaine fois où je vais vous voir, ou que le moment fort de ma journée c’est quand je vous croise dans le couloir alors que vous allez à la salle des profs pendant la pause. Elle ignore à quel point je suis déçue si je ne vous vois pas, ou si je vous vois et que vous ne me souriez pas. Elle ignore à quel point je ne pouvais pas me concentrer sur ce que vous disiez l’autre jour, quand on était assises ensemble à votre bureau, parce que je n’arrêtais pas de penser que vous étiez tout près – si près, à un moment donné, que votre jambe a effleuré la mienne. Je n’ai pas osé remuer un seul muscle pour ne pas briser le contact, et quand vous avez déplacé votre jambe, je n’ai pas pu me concentrer non plus, parce que j’étais trop occupée à me demander si vous l’aviez déplacée exprès.

Elle ignore que parfois je regarde votre bouche quand vous parlez et j’imagine que je vous embrasse. Que j’ai tellement envie de le faire que ça m’effraie au cas où un jour je me laisserais aller et je le ferais, sans réfléchir. Elle ignore que je n’ai jamais, pas une seule fois, pas même en silence, admis aucune de ces pensées auparavant, même dans ma tête

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Extrait ajouté par sorcieregarou 2016-09-23T18:05:02+02:00

- Et celui-ci ?

Je regarde le profil qu'elle montre du doigt.

Jeune homme cherche femme mûre pour moments coquins.

- Maman !

Elle sourit.

- Je croyais que tu voulais pas que je reste seule !

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Extrait ajouté par Brochmael 2016-06-01T23:07:48+02:00

Ni elle ni moi n'avons dit un mot. Croyez moi, il n'y a absolument rien à dire quand on vous surprend assise sans l'armoire de quelqu'un. Rien.

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Extrait ajouté par Brochmael 2016-06-01T23:05:27+02:00

Je ne sais pas ce qu'elle dégage, mais dès qu'elle arrive dans une pièce, c'est comme si quelqu'un avait mis la lumière et le chauffage.

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