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Liste des extraits

Kieran Nelson est graphiste. Ma copine Kerry l’a rencontré il y a six ans, alors qu’il se promenait la braguette ouverte dans une galerie d’art. Elle l’a menacé d’appeler la sécurité, et ils ne se sont plus quittés. Si elle n’était pas ma meilleure amie de tout l’univers, je la défierais en duel pour la main de son promis.

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JE SUIS RÉVEILLÉE À 8 H 30 PAR LE BRUIT D’ADAM ET GRACE QUI SORTENT FAIRE DES COURSES. J’entends Grace pouffer de rire alors qu’Adam lui demande si elle veut conduire, puis la porte d’entrée se referme avec un fracas que seul un enfant hyperactif est capable de produire. Le soleil passe à travers mes stores Ikea pour me brûler les yeux comme un rayon laser, et je me recouche en tirant la couverture jaune citron sur ma tête. Dès que j’aurai eu ma paie du mois, je vais m’acheter des rideaux occultants. Et peut-être repeindre ma chambre en noir pour accentuer l’effet. J’ai besoin de sommeil, moi.

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— Bonne nuit, maman. Oh, avant que tu partes… Tonton Adam a fait un « prout » dans le salon, et ça puait la mort.

— Rendors-toi ! dis-je en pouffant de rire.

Je tente de m’éloigner, mais elle me retient en riant. Puis elle se blottit contre son nounours et tombe aussitôt endormie. Je referme la porte derrière moi, après un dernier regard assassin à l’horrible chat qui ne me quitte pas des yeux dans l’obscurité. Puis je regagne mon joli appartement, heureuse d’avoir la soirée pour moi. J’ouvre la serrure et franchis le seuil, suivie d’Helen.

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L’affection d’Adam et Helen pour Grace est réciproque, et je ne devrais pas ronchonner comme je le fais. Ils me sont d’une aide précieuse, pourtant il m’arrive de ne plus en pouvoir d’habiter sur le même palier qu’eux. Helen entre chez moi comme dans un moulin, déplace les objets et me déconcentre quand j’essaie de travailler… mais lorsque j’ai besoin qu’elle s’occupe de Grace, elle est toujours là, et je lui en suis reconnaissante. Peter préférerait se passer la bite au mixeur que de me dépanner quand ce n’est pas son tour d’avoir la petite.

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APRÈS SEPT ANS, C’EST ENFIN TERMINÉ. NOUS SOMMES SÉPARÉS.

J’ouvre la porte blanche de ma confortable maison à trois chambres, descends l’allée bien lisse que nous avons fait bitumer il y a six semaines, et déverrouille les portières de ma Honda bleue.

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— Mes plus humbles excuses pour ce fâcheux contretemps, madame, déclare-t-il. Je n’ai pu me soustraire à mon travail, et j’ai eu toutes les peines du monde à trouver un taxi depuis le West End. Puis-je vous offrir une consommation ?

(« Mes plus humbles excuses » ? Helen, tu me le paieras !)

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Et me voilà, en train de boire seule, avec un sourire de femme soûle et trois pour cent de batterie sur mon téléphone. Ça suffit. Je finis mon verre d’un trait, enfile mon manteau, et jette mon Smartphone au fond de mon sac. J’ai mieux à faire que d’attendre un homme qui…

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J’avais de bonnes raisons de me montrer suspicieuse : ma sœur ne fréquente que deux types d’hommes : ceux qui sont mariés, et ceux avec qui elle veut me caser.

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IL EST EN RETARD. D’UNE BONNE DEMI-HEURE.

Nerveuse, je range une mèche de cheveux derrière mes oreilles et continue à tripoter mon Smartphone.

Ce n’est pas grave. Être en retard, ça arrive tout le temps.

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La meilleure façon de faire fuir un homme, c'est de lui dire qu'il n'est pas assez bien.

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