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[...] Puis il m'embrasse. Son baiser est audacieux, mais tendre, puis il tourne la tête pour murmurer à mon oreille les mots les plus doux qu'il m'ait jamais dits. Des mots que je n'oublierai jamais, comme jamais je n'oublierai sa demande en mariage ou les voeux que nous venons de prononcer.

- Un jour, Jessica, souffle-t-il, tu seras face à moi dans cette même chambre, et nous nous préparerons pour quelque évènement officiel. Nous en aurons l'habitude. Avec un sourire, tu ajusteras ma cravate, comme tu le fais toujours. Et l'un de nos enfants, notre fils aîné, peut-être, attrapera l'ourlet de ta robe pour réclamer notre attention. Alors je t'embrasserai, avant de te prendre dans mes bras en songeant "Comment puis-je être aussi heureux" ?

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J'avais souvent vu mon époux dans son sommeil. J'aimais le regarder dormir, car c'était l'unique moment où je pouvais l'observer sans craindre d'être distraite par ses yeux si changeants, ou par ses remarques taquines.

- Trouves-tu ton prince à ton goût ? plaisantait-il fréquemment, lorsqu'il surprenait mon regard béat, comme ceux que Mindy lançait aux garçons du lycée. Dire qu'il t'a fallu tant de temps pour tomber amoureuse ! Moi, j'étais conquis dès le début, même lorsque tu portais ces horribles tee-shirts à têtes de chevaux.

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[Mindy]

- Raniero Lovatu, arrête ! Arrête-toi immédiatement, espèce de crétin de vampire italien ! Arrête, parce que je t'aime, parce que je veux vivre avec toi sur cette plage, parce que je veux que tu retrouves ton bouc, tes tee-shirts ridicules et que tu quittes avec moi cet endroit par le premier avion, avant qu'il ne soit trop tard ! Je regrette de t'avoir demandé de changer, de te battre pour moi, mais... arrête-toi. Tout de suite !

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Je frappai à la porte et l'ouvris, mais Jess n'étais pas là.

A sa place , je trouvai la princesse Antanasia Dragomir Vladescus.

-Eh bien, on dirait que tu n'as plus besoin de moi !

A son mariage, elle était resplendissante. Aujourd'hui, elle paraissait redoutable.Je ne voyais pas d'autre mot.

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- Je t'aurais emmenée n'importe où, tu sais, s'amuse mon nouvel époux en m'attirant à lui. Nous n'étions pas obligés de rester ici, sous notre propre toit, pour notre nuit de noces !

- Voyager ne me tentait pas, dis-je avec un sourire. Je voulais simplement me retrouver seule avec toi.

Il sourit à son tour, m'embrasse dans le cou et ajoute :

- Je n'ai aucune objection, chère épouse. Je préfère de loin te porter jusqu'à notre chambre plutôt que de tirer des valises dans les couloirs des aéroports !

Quelque peu nerveuse, j'éclate de rire. J'attends cet instant depuis si longtemps... mais j'ai soudain conscience de mon manque d'expérience.

Tout l'inverse de Lucius.

Je le vois à la façon dont il se débarrasse de sa veste sans cesser d'effleurer ma gorge du bout des lèvres. Et en une seconde, il a défait ses boutons de manchette, les mains derrière le dos, et je les entends résonner sur le sol.

J'ignore même comment accrocher des boutons de manchette. Et je suis censée l'aider ? Me déshabiller, peut-être ?

Bien sûr, Lucius devine mon appréhension et sent que je me raidis dans ses bras.

- Ne sois pas inquiète, me souffle-t-il. Je t'aime.

- Je t'aime aussi.

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Je ne portais ni tailleur ni talons hauts, mais personne dans la salle ne doutait de mon sérieux. J'aurais pu arriver en chemise de nuit, mon regard aurait suffi à faire taire toute l'assistance.(Antanasia)

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[Lucius à Raniero.]

Antanasia est époustouflante, Raniero. Tu dois assister à notre mariage, ne serait-ce pour faire la connaissance de l'unique jeune femme capable de me laisser, crois-le ou non, sans voix.

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—Un jour, Jessica, souffle-t-il, tu seras face à moi dans cette même chambre, et nous nous préparerons pour quelque événement officiel. Nous en aurons l'habitude. Avec un sourire, tu ajusteras ma cravate, comme tu le fais toujours. Et l'un de nos enfants, notre fils aîné, peut-être, attrapera l'ourlet de ta robe pour réclamer notre attention. Alors je t'embrasserai, avant de te prendre dans mes bras en songeant « Comment puis-je être aussi heureux » ?

Cette petite scène m'enchante. Mon prince guerrier contemple déjà son quotidien en famille. La famille que nous allons fonder. Il nous imagine, bien longtemps après ce soir, heureux et à l'aise ensemble, mais toujours sous le charme l'un de l'autre, car jamais nous ne cesserons de l'être. Et soudain, toutes mes angoisses s'envolent. Je le taquine, car son allusion à un fils n'était pas anodine.

—Et si nous n'avons que des filles ?

Sa culture valorise les héritiers. Je passe mes bras autour de sa taille, froissant sa chemise immaculée entre mes doigts. Moi aussi, j'ai rêvé d'avoir des enfants un jour. Je n'ai que dix-huit ans et je n'en ai jamais parlé à personne.

Mais j'y pense parfois.

—Et si le prince Lucius n'avait que des princesses ? dis-je en riant. Qu'arrivera-t-il ?

Un sourire amusé se dessine sur ses lèvres, tandis qu'il les approche de mon oreille et me serre contre lui. Je sens alors toute sa puissance et une agréable tension croître en lui, car si nous évoquons l'avenir, c'est bien le présent qui nous submerge peu à peu.

— Si nous n'avons que des filles, je serai le plus heureux des vampires, souffle-t-il. Car tu m'as appris une chose, c'est que les princesses peuvent être aussi redoutables que les princes.

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- Cela va te sembler contraire à tous mes principes, Antanasia, mais si tu entends devenir reine et sauver ton mari - dont les force s'amenuisent peu à peu -, c'est maintenant que tu dois lutter, et de toutes tes forces. Tu n'as plus le temps de te comporter comme une enfant, ni de te plaindre.

J'étais médusée. J'avais pourtant eu l'impression de faire de mon mieux...

- Et il faut te décider une fois pour toutes si tu veux t'allier à moi, ajoute-t-il, car je dois savoir. Je donnerais avec joie ma misérable existence, mais je préfère le faire pour quelqu'un qui mesurera mon sacrifice et sera prêt à tomber à mes côtés, si tel en est le prix. Et pour combattre, conclut-il en se dressant de toute sa hauteur, je te conseille très vivement de quitter ce lit.

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Je souhaiterais donc que tu répandes la rumeur : si quelque chose arrivait à Antanasia durant mon emprisonnement, je démolirais ces murs, pierre par pierre et une fois dehors j'abandonnerais toute obéissance à la loi et détruirais volontiers le moindre suspect. Car si on touche ne serait-ce qu'à un cheveu de ma femme, quand je suis dans l'incapacité de la protéger, ce royaume subira des conséquences que les rares survivants raconteront dans les livres d'histoire.

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