Commissaire Antoine Marcas, Tome 13 : Marcas

Toujours captivant

Merci

Une fin trop frustrante pour être acceptable.

Ce n'est pas le meilleur de cette série.

Je suis déçue.

Le fait de n’avoir lu aucun tome de la série avant ce douzième opus ne m’a pas dérangée car l’histoire est assez longuement introduite avec beaucoup de détails permettant de cerner Marcas. Par contre, le début du roman est très lent et assez décousu car les 100 premières pages présentent des personnages différents dans des époques et des lieux différents et il y a peu d’action. J’ai trouvé la perception du climat actuel très réussie (gilets jaunes, black blocs, émeutiers, COVID…). N’étant pas fan de paranormal, la partie en Périgord ne m’a pas tellement plu. J’ai trouvé que globalement le rythme était lent même si le roman est bien écrit et explique bien (presque trop : on a parfois l’impression que l’on nous fait la leçon) tous les aspects historiques et géopolitiques. Le « cinquième élément » est un parfait MacGuffin. Au final pas tout à fait convaincue par ce titre et pas sûre de lire un autre roman de cette série.

Très bien écrit, du rythme et du suspense mais... Trop de fantastique en fait. Pour moi la franc-maçonnerie n'est pas le terrain du surnaturel. En même temps je ne suis pas franc-maçon 😁.

Une excellente histoire dans laquelle on n'a pas le temps de s'ennuyer, de l'action, des mystères et un Marcas toujours aussi dynamique.

Cette histoire ne ressemble à aucune autre avec un apport toujours aussi enrichissant sur le plan historique et ésotérique.

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé le commissaire pour sa dernière aventure. Très agréable moment de lecture.

Ce treizième tome des aventures de Marcas m'a semblé un peu mou par rapport aux autres romans de la série. l'intrigue est moins riche en rebondissements, et le ton général un peu plat.

Je crois que j'aurais passé un meilleur moment de lecture si je n'avais pas lu la plupart des romans de Ravenne et Giacometti et ainsi fat la comparaison.

Voilà le dernier volet de la série Marcas vient de se refermer. Fidèle à lui-même, le commandant Marcas se débat dans les méandre d’une enquête bien compliquée. Tout ce que j’ai envie de dire va spoiler les futurs lecteurs alors je vais m’abstenir. J’aimerais juste que cet opus ne soit pas le dernier de la série. Je vais passer à Tristan Marcas je verrai bien.

Clairement, je ne suis pas thriller, mais j’ai vraiment accroché avec cette serie qui comporte une pointe d’esoterisme et surtout qui fait la part belle à l’histoire de France.

Ce point est sans doute celui qui m’a le plus séduit dans ce roman : la légende de la Dame Blanche de Castelrouge est fascinante. L’idée d’avoir un Marcas plus apaisé moins dans les crises de conscience est aussi bien plus agréable.

En revanche, c’est un avis qui sera plus mitigé que les précédents, car je trouve que ce tome « sent » le clap de fin pour le personnage d’Antoine. Du coup, cela donne un roman un peu poussif qui prend parfois des tours et des détours qui n’étaient pas nécessaires. Et surtout, c’est la fin qui m’a laissée sur ma fin : elle me laisse le sentiment qu’elle a été expédiée. C’est dommage car ça vient gâcher un ensemble qui se tient.

En somme, ce roman reste une bonne histoire mais qui n’a pas la belle saveur des précédents.

Le retour d'Antoine Marcas fait plaisir à lire. Comme à leur habitude Giacometti et Ravenne plongent leur franc maçon préféré dans une enquête aux frontières du réel, ou se mêlent Histoire de France, légendes et mafia russe.

Un régal.