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Extrait ajouté par Manon_15 2012-03-09T19:44:28+01:00

-Il n'y a pas à dire, fit doucement cette dernière, les mains sur les hanches, vous ne m'ôterez pas de l'idée que nous, les nobles, nous sommes...

-Assez ! crièrent six voix en coeur.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-15T11:30:54+01:00

Je suis convoquée demain à Versailles pour être présentée à la reine.

– Ah ?

– Après, j’emménage dans ma chambre.

– Ah oui ?

– … Avec ma femme de chambre…, lança Pauline qui attendait sa réaction.

– Mais nous n’avons pas de servante, fit remarquer Cécile, tout sourire dans le noir.

– Non. Et cela va être dur d’en trouver une d’ici demain…

– Femme de chambre…, guérisseuse, c’est presque la même chose…

Pauline fit semblant de réfléchir une seconde puis elle lui tendit la main :

– Topez là, jeune fille, je vous engage !

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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-15T11:28:17+01:00

Mémoria, la cruelle, m'a abandonnée, me laissant un grand vide au front.

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Extrait ajouté par DuducheAl 2013-08-25T16:55:26+02:00

- Arrêtez, je vous en supplie ! Guillaume, cesse tout e suite, dit-elle en le prenant par le bras.

- Vous connaissez donc ce butor ? s'étonna Silvère en fronçant les sourcils.

- C'est mon frère, Silèvre ! Et lui, c'est mon ami, Guillaume !

Les deux jeunes hommes se toisèrent avec méfiance avant de rengainer, comme à contrecoeur. Pourtant ce fut Pauline qui s'égosilla à son tour.

- En voilà assez ! Je ne te vois pas pendant deux ans, et la première chose que tu fais est de venir m'insulter ! Quand je pense que j'étais folle de joie de te savoir à Versailles ! fit Pauline en repoussant son frère du plat de la main. Et l'autre qui joue les matamores pour me défendre ! ajouta-t-elle en se retournant vers Silvère les mains sur les hanches.

Les deux jeunes gens, qui un instant plus tôt étaient prêts à s'entre-tuer, se regardèrent avec stupeur.

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Extrait ajouté par Chloe37 2014-07-12T17:29:38+02:00

"- Tudieu ! La petite blonde, là-bas... Elle a de quoi réjouir les mains d'un honnête homme !

Guillaume croisa les bras. Il soupira en hochant du chef :

- Eh bien, laisse donc tes mains dans tes poches. La petite blonde, c'est ma sœur.

- Ta sœur ? La dernière fois que je l'ai vue, elle jouait encore à la poupée... Et la belle brune, alors ?

Guillaume observa la robe simple et les gestes gracieux. Elle n'avait pas changé, pensa-t-il avec une inexplicable émotion.

- Ne t'avise pas d'y toucher, c'est Cécile. Quasiment la sœur de ma sœur.

- "Ta" Cécile ?

Il hocha la tête en la suivant des yeux. Au loin, il la vit soulever sa sacoche et partir presque en courant.

- La troisième, monsieur, je peux ?"

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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-15T11:29:09+01:00

- Il y a quelques temps, raconta Suzon, Colbert a crée de nouvelles charges pour renflouer les caisses de l'État. Je te le donne en mille, il a proposé des "charges d'affaires"...

- Le nom à l'air sérieux, fit Cécile impressionnée.

- Ca s'est vendu comme des petits pains. Pour 30 000 livres, tu as le droit de rester avec le roi quand il fait ses...besoins sur sa chaise percée, sa "chaise d'affaire", comme on dit. Pendant ce temps, tu peux lui parler. Une aubaine !

Cécile hocha la tête d'un air incrédule:

" Que l'on ne vienne pas me dire que les nobles ne sont pas bizarres !"

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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-15T11:28:43+01:00

- Je vous dit que j'ai été empoisonné, hurlait le regrattier, jaune comme un coing.

- Non, vous avez juste une indigestion !

- Que nenni ! Ma femme veut ma peau, vous dis-je. Elle lorgne l'héritage depuis des années !

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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-15T11:28:06+01:00

Par la porte entrouverte, on entendait les médecins au chevet de la malade discuter âprement des bienfaits comparés du clystère et du vomitif, chacun étant sûr de détenir le traitement miracle.

" Purgare primore, commentait Fagon dans son latin de cuisine.

- Non, répliquait Daquin. La malade est née sous le signe de la Balance et la lune est décroissante. Ce serait criminel !

- Purgare, vous dis-je, et saignare !

- Ignare. Non, un soupçon de sel d'alun peut-être, pour dégager les humeurs peccantes, et un clystère au séné !

- Pas pour le poison ! Elle vomit bien assez sans votre aide !

- Encore une saignée, alors, continuait Daquin en se grattant le menton. A la nuque, cette fois.

- Non, au coude, voyons..."

Mendoza, à demi-consciente, suivait l'échange sans comprendre. la veille, Gervais, le chirurgien de la reine, l'avait saignée trois fois. Mendoza s'était défendue comme un beau diable, rassemblant le peu de force qui lui restait pour échapper sans succès à la lancette.

"Elle est perdue, j'en ai bien peur, continua Fagon.

- Sûrement, renchérit Daquin, enfin d'accord avec son collègue.

- Prévenez donc un prêtre ", ordonna pour toute médecine Fagon en sortant dignement.

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Extrait ajouté par aliya84 2014-02-09T13:12:33+01:00

Alors qu'elle allait traverser la pièce pour prendre la porte d'en face, elle entendit gesticuler derrière le paravent.

-Je vous demande pardon..., commença-t-elle tandis qu'une tête d'homme émergeait tout à coup.

-Vous êtes dans mes appartements, mademoiselle, tonna le garde, en colère.

-J'en suis confuse, monsieur. Je me suis perdue. Je cherche les appartements de la reine.

-De qui? fit hautainement l'homme en jaillissant de derrière le paravent en chemise.

-La reine, monsieur, articula Pauline un rien énervée. La femme du roi...

L'homme la toisa un instant bouche bée, les mains sur les hanches.

-Vous voyez de qui je parle? insista Pauline qui commençait à bouillir.

Pourtant, le garde n'avait pas l'air d'un demeuré! La quarantaine, bel homme, d'épais cheveux châtains bouclés et de beau yeux bruns qui brusquement se mirent à pétiller de malice.

-La reine loge dans l'autre aile, mademoiselle, finit-il par dire.

-C'est impossible! J'ai bien pris le petit escalier, avant de me perdre dans ce labyrinthe de pièces...

-...interdites au public. Sans compter que par là, c'est un escalier privée, mademoiselle.

Pauline, pour le coup désorientée, regarda l'homme, au désespoir.

-Je suis en retard et la reine m'attend, reprit-elle au bord des larmes.

Elle vit l'homme prendre un gilet de satin posé sur une chaise. Il l'enfila sans même se soucier d'elle.

-C'est donc si grave? demanda-t-il enfin.

-Pire, monsieur. Si je suis renvoyée, mon grand-père me tuera.

-Vraiment, mademoiselle? Et qui donc est ce bourreau sanguinaire?

-Le chevalier de Saint-Béryl, monsieur.

L'homme éclata de rire! Pauline eu soudain la détestable impression que quelque chose lui échappait.

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Extrait ajouté par toulousegirl 2019-03-28T16:21:28+01:00

-Il n'y a pas à dire, fit doctement cette dernière (Cécile) , vous ne m'ôterez pas l'idée que nous, les nobles, nous sommes…

-Assez ! crièrent six voix en choeur.

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