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Extrait ajouté par harumina 2018-03-11T13:38:23+01:00

Owen- Auburn je comprends que tu veuilles rester près de ton fils mais, parfois, il faut savoir commencer par sacrifier une relation, pour mieux la préserver ensuite.

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Extrait ajouté par Orphee3 2018-02-04T13:53:03+01:00

" - Parfois, on n'a pas le droit à une deuxième chance, Owen. Parfois, il faut renoncer."

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Extrait ajouté par Orphee3 2018-02-04T12:05:26+01:00

"J'aurai tendance à croire que ma réalité est plutôt nulle, mais certainement pas assez pour me valoir un tel état tous les matins. En revanche, ça explique peut être pourquoi tant de gens deviennent alcooliques. On boit pour échapper à une douleur émotionnelle et, le lendemain, on recommence pour échapper à la douleur physique qui en découle. Si bien qu'on boit de plus en plus et que, bientôt, on ne dessaoule plus, et que ça devient aussi nul, si ce n'est pire, que la réalité à laquelle on voulait échapper au début. Sauf que maintenant, on doit trouver une évasion à l'évasion , alors on se rabat sur quelque chose d'encore plus fort que l'alcool. Et voilà ce qui pousse les alcooliques à devenir des droguées.

Cercle vicieux."

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Extrait ajouté par Orphee3 2018-02-04T11:53:30+01:00

"Tout ce que je sais, c'est que, furieuse ou contente ou triste ou enthousiaste , elle irradie une énergie apaisante. Chaque jour de ma vie, j'ai l'impression de grimper à rebours un escalator qui descend. J'ai beau courir pour essayer d'atteindre le sommet, je reste sur place, à m'épuiser sans arriver à rien. Mais, quand je suis avec elle, je me sens plutôt sur un tapis roulant, qui m'emporte sans effort où je veux. J'ai l'impression de pouvoir enfin reprendre mon souffle, sans éprouver cette obligation constante de courir pour m'empêcher de toucher le fond."

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Extrait ajouté par Orphee3 2018-02-01T19:41:12+01:00

"- Je t'aime tellement, souffle-t-il d'un ton marqué par la peur. Je t'aimerai toujours, même quand je ne pourrai plus."

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Extrait ajouté par Orphee3 2018-02-01T19:39:43+01:00

" - Je n'ai jamais dit à personne ce qui me passait par la tête quand je m'endors, la nuit.

Ses mains s'immobilisent sur mon épaule.

- Et qu'est-ce qui te passe par la tête ?

Je rouvre les yeux.

- Je pense à tous les gens que je souhaiterai voir mourir à ta place."

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Extrait ajouté par Orphee3 2018-02-01T19:36:10+01:00

"Pas besoin d'en discuter. Ca allait de soi. Dès qu'il m'a regardé, dès que j'ai vu mes propres pensées se refléter dans ses yeux, on n'a plus cessé de s'embrasser. On s'embrassait en se déshabillant, on s'embrassait en se caressant, on s'embrassait en criant. On s'est embrassés jusqu'au bout et plus loin encore, pour fêter cette petite victoire sur la vie, sur la mort, sur le temps. Et on s'embrassait encore alors qu'il me tenait dans ses bras pour me dire qu'il m'aimait."

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Extrait ajouté par Beanewromance 2017-10-01T01:20:48+02:00

« Je suis prêt à prendre tout ce que tu voudras bien m’offrir. Parce que je sais que si tu franchis la porte, alors dans dix ans… dans vingt ans… en repensant à ce soir, nous regretterons de ne pas avoir écouté nos cœurs. »

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Extrait ajouté par Moirabelle 2017-09-20T16:11:55+02:00

– J'ai peur de ne plus jamais ressentir ça avec quelqu'un d'autre, chuchote-je.

Il me serre les mains.

– J'ai peur que tu le fasses.

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Extrait ajouté par Moirabelle 2017-09-20T16:08:20+02:00

Je suis assis par terre dans le couloir, devant la chambre d’hôpital de mon père. Je la regarde sortir de la chambre voisine.

– Vous allez jeter tout ça ? demande-t-elle incrédule.

Ces paroles s’adressent à la femme qu’elle vient d’entraîner dans le couloir. Je connais cette femme, elle s’appelle Lydia, mais j’ignore le nom de la jeune fille. Malgré l’intérêt que je lui porte.

Lydia se retourne. Elle jette un regard vers le contenu du carton qu’elle porte dans les bras, relève les yeux vers son interlocutrice.

– Il n’a pas touché un pinceau depuis des semaines. Il n’en a plus besoin, et ça prend de la place.

Là-dessus, elle place le carton sur le comptoir des infirmières.

– Pourriez-vous jeter ceci ? demande-t-elle à l’une d’elles.

Sans lui laisser le temps de répondre, Lydia retourne dans la chambre puis en ressort quelques secondes plus tard, armée de toiles vierges qu’elle vient déposer à côté du carton avant de repartir.

Restée seule, la jeune fille vient regarder de plus près le matériel. Elle semble triste. Comme si elle avait autant de mal à le voir partir que son propriétaire.

Je l’observe un moment, jusqu’à ce qu’elle se mette à verser des larmes. Elle les essuie, avant de demander à l’infirmière :

– Il faut vraiment les jeter ? Vous ne pourriez pas… au moins les donner à quelqu’un ?

L’infirmière semble comprendre son désarroi et lui sourit en hochant la tête. Après quoi la jeune fille retourne à son tour dans la chambre.

Je ne la connais pas, mais j’aurais sans doute eu la même réaction si quelqu’un était venu prendre les affaires de mon père pour les jeter.

Jusqu’ici, je ne me suis jamais essayé à la peinture, mais il m’arrive de dessiner parfois. Et voilà que je me lève, que je m’approche du comptoir. Je jette un regard dans le carton, plein de tubes de peinture et de pinceaux.

– Je peux… ?

Je n’ai pas le temps d’achever ma phrase que l’infirmière pousse le tout devant moi.

– Je vous en prie. Prenez-les. Je ne saurais pas quoi en faire.

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