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Hans arriva chez Gretel.
- Bonjour, Hans. Que m'as-tu apporté, ce matin ?
- Je n'ai rien apporté, mais je voudrais emporter quelque chose.
Gretel lui donna un couteau et il dit :
- Au revoir, Gretel.
- Au revoir, Hans.
Hans emporta le couteau, le planta dans sa manche et rentra chez lui.
- Bonsoir, mère.
- Bonsoir, Hans. Où étais-tu ?
- Je suis allé chez Gretel.
- Que lui as-tu donné ?
- Je n'ai rien donné mais j'ai reçu.
- Que t'a-t-elle donné ?
- Un couteau, mère.
- Qu'en as-tu fait, Hans ?
- Je l'ai planté dans ma manche.
- Quel sot tu es ! Tu aurais dû le mettre dans ta poche.
- Bien, mère, je ferai mieux la prochaine fois.
La fois suivante, la mère demande :
- Où vas-tu, Hans ?
- Chez Gretel, mère.
- Fais attention, Hans.
Hans alla chez Gretel.
- Bonjour, Hans. Que m'as-tu apporté, ce matin ?
- Je n'ai rien apporté, mais je voudrais emporter quelque chose.
Gretel donna à Hans un chevreau.
- Au revoir, Gretel.
- Au revoir, Hans.
Il emporta le chevreau, lui lia les pattes et le mis dans sa poche. Lorsqu'il arriva chez lui, le chevreau était mort étouffé.
- Bonsoir, mère.
- Bonsoir, Hans. Où étais-tu ?
- Je suis allé chez Gretel.
- Que lui as-tu donné ?
- Je n'ai rien donné mais j'ai reçu.
- Que t'a-t-elle donné ?
- Un chevreau, mère.
- Qu'en as-tu fait, Hans ?
- Je l'ai mis dans ma poche.
Afficher en entierLa belle-mère partit avec ses deux filles prétentieuses. Comme il n'y avait plus personne dans la maison, Cendrillon alla sur la tombe de sa mère, s'assit sous le noisetier et dit :
" Petit arbre, petit arbre secoue-toi !
Fais pleuvoir l'or et l'argent sur moi. "
L'oiseau fit alors descendre une robe d'or et d'argent, ainsi qu'une paire de pantoufles brodées de soie et d'argent. Cendrillon mit aussitôt la robe et alla au bal. Sa belle-mère et ses soeurs ne la reconnurent pas et la prirent pour une princesse étrangère tant elle resplendissait dans sa robe somptueuse. Elles ne songèrent pas un instant ce ce pût être Cendrillon, qu'elles croyaient restée à la maison, assise dans les cendres. Le fils du roi alla à sa rencontre, la prit par la main et dansa avec elle. Il ne dansa avec aucune autre et ne lui lâcha plus la main,et lorsqu'un autre s'approchait pour inviter Cendrillon, il répondait : " C'est ma cavalière."
Afficher en entier" C'est ma mère qui m'a tué
C'est mon père qui m'a mangé
Mais la jolie Marlinchen de mes os s'est occupée,
Elle les a posés sous le genévrier.
Pituituit, pituituit,
Quel bel oiseau que je suis ! "
[...]
- Bel oiseau, comme tu chantes bien ! Rechante-moi cet aair.
- Nenni, je ne le chanterai pas deux fois pour rien ! Donne-moi la chaîne en or, et et je rechanterai pour toi.
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