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Contes et légendes du grand siècle



Description ajoutée par Myrae 2013-02-23T09:53:07+01:00

Résumé

Est-il vrai qu'en forêt de Saint-Germain la source de Tirefontaine se mit à couler du jour où le futur Roi Soleil poussa son premier cri et, non moins miraculeusement, se tarit lorsqu'il expira ?

Comment ce jeune tournebroche italien composa t-il "Au clair de la lune" dans les cuisines de la Grande Mademoiselle et se retrouva-t-il le lendemain "petit violon" du roi ? Cette rose des jardins de Le Nôtre que Louis XIV respirait pensivement, qu'évoquait-elle ? Nicolet fit-il vraiment fortune grâce à un bout de ruban rouge? Croirez-vous que le Masque de Fer est vraiment démasqué ?

Le XVIIe siècle, ses personnages devenus légendaires, l'atmosphère de la Cour avec ses charmes et ses intrigues se trouvent heureusement suggérés dans ce recueil captivant.

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Classement en biblio - 2 lecteurs

extrait

Les touristes qui visitent Londres auront peut-être l’occasion d’y voir l’Hôtel Royal des Invalides. Ce bâtiment, plus remarquable par sa ligne architecturale que par son ornementation, a été élevé par le roi Charles II, à Chelsea, maintenant un faubourg populeux, mais, à l’époque, localité jolie et élégante de la banlieue londonienne.

Dans l’intérieur de l’hôtel, se trouve un petit musée qui renferme des objets assez hétéroclites dont les plus intéressants sont des souvenirs des derniers Stuarts. On a l’impression qu’ils ont été placés là parce que les Anglais, conservateurs dans l’âme, n’ont pas voulu les détruire, mais qu’ils avaient, en même temps, le désir de les écarter de leur vue.

Au milieu d’une vitrine, parmi un bric-à-brac d’armes, de tabatières, l’œil est arrêté par un objet d’une rare beauté. C’est une statue de perroquet, de grandeur naturelle, taillée dans un bloc de marbre de Carrare.

L’oiseau est dressé sur une branche, son plumage est hérissé, son cou gonflé, ses ailes légèrement écartées, son bec est ouvert et tourné vers le ciel. On dit parfois d’une statue qu’il ne lui manque que la parole, tel est le cas du perroquet de Chelsea. L’oiseau est en proie à la colère ou à la terreur et il veut pousser un cri qui s’étrangle dans son gosier de marbre. Longuement, on se laisse aller à admirer cette image de la vie, si fidèlement rendue par l’artiste, puis on est séduit par le fini et la perfection des détails. On regarde de plus près et on lit, sur le soubassement, une signature et une date « Pietro Bambara-Roma, 1630. »

Sur la branche à laquelle l’oiseau s’agrippe a été sculptée cette phrase :

Ercole, per Giulio Manzarini ucciso

Hercule, tué par Giulio Mazarini

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Commentaires récents

Bronze

Un recueil sympathique à lire par curiosité. C'est assez bien écrit.

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Or

Des fait réels non élucidés pour certains ont donné lieu à des légendes. On n'a toujours pas d'explications pour certaines d'entre elles, surtout celle du Masque de fer... Bizarre...

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