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— Euh, tu nous fais quoi, là ? se moqua-t-elle avec un air méprisant. On t’a jamais dit que cracher ses poumons en public, c’était pas hyper sexy ? Mais j’dis ça, j’dis rien.
Je piquai un fard, mais aussitôt Benji s’exclama par-dessus ma tête :
— Mouais, et tu sais que donner à la moitié de l’amphi, tous les lundis matin, la preuve par A + B que t’es une pouffiasse et une ivrogne, c’est pas hyper sexy non plus ? Mais j’dis ça, j’dis rien…
Afficher en entier— Si je peux me permettre, ton ex est canon, mais il a l’air d’être un con fini, commenta Benji en fourrant son cahier dans un sac à dos qui craquait de toute part.
— Mais je t’en prie, permets-toi. Tu l’as complètement cerné, répondis-je en fermant le mien.
Afficher en entier-Jacqueline?
Je clignai les yeux.
-Oui?
-Le soir où on s'est rencontré... Je ne suis pas comme ce type là.
-Je sais qu...,
Il posa un doigt sur mes lèvres, et son expression s'adoucit.
-Alors, je ne veux pas que tu te sentes forcée. Ou que tu aies l'impression de me céder. Mais j'ai vraiment, vraiment envie de t'embrasser. Maintenant.
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Afficher en entier— Mademoiselle Wallace, vous êtes pleine de contradictions.
Je levai un sourcil malicieux.
— Je suis une fille. Ça fait partie du contrat, monsieur Maxfield.
Afficher en entierErin : Je nous ai inscrites à un cours d’autodéfense.
Moi : Quoi ??
Erin : À côté du poste de police du campus. C’est le samedi de 9 heures à midi, il y en a un cette semaine, et ensuite deux après le week-end de Thanksgiving.
Moi : OK.
Erin : On va pouvoir mettre une bonne raclée à des mecs en costumes rembourrés !!! Je me suis toujours demandé ce que ça faisait de filer un coup de genou dans les couilles d’un mec. Je vais enfin savoir, YES !
Moi : T’es une grande malade, tu sais.
Erin : Je plaide coupable, Votre Honneur. :)
Afficher en entierDans ma tête, j'entendis la voix d'Erin me crier "Couche avec lui, bordel !", et je m’étranglai de rire au plus mauvais moment.
Lucas se redressa, les sourcils levés.
- Chatouilleuse ? demanda-t-il d'un air incrédule.
Je ne savais plus où me mettre, et ne pouvais imaginer plus grande tragédie, en cet instant, que d'avoir les seins chatouilleux - à part, peut-être, d'avoir le pire sens de l'humour de la terre. Je me mordis la lèvre pour calmer le fou rire qui montait. Oh, bon sang. Je secouai la tête.
Son regard se pose sur mes dents, fermement plantés dans ma lèvre inférieur.
- T'en es sûre ? Parce que soit c'est ça... soit tu trouves mes techniques de séduction... marrantes.
Cette fois, j'explosai de rire, incapable de me contenir plus longtemps, et il secoua la tête en soupirant tandis que moi, assise sur ses genoux, les seins à moitié à l'air, j'étais morte de honte.
Afficher en entier« — Je veux voir tes tatouages.
— Ah ouais ? dit-il en me regardant intensément.
J’acquiesçai, et il ôta la main qui était sous mon pull pour se redresser, levant un sourcil interrogateur à mon intention quand il vit que sa chemise était déboutonnée. Je me sentis rougir et il se mit à rire, avant de l’enlever complètement et de la jeter par terre.
Puis il passa les mains derrière la tête et ôta son débardeur blanc comme seuls les garçons peuvent le faire sans se soucier de voir leur mascara flingué ou leur haut taché par le fond de teint. Le débardeur alla rejoindre la chemise au sol et il se rallongea sur le dos, s’offrant à moi pour que je puisse l’examiner. »
Afficher en entierErin: T'as toujours ton gobelet de café?
Moi: Oui, pourquoi?
Erin: Enlève la manchette en carton.
Moi: J'y crois pas!!!
Erin: Son numéro?
Moi: Comment t'as su??
Erin: Perce que je sais tout, tu sais bien. ;) Non, en fait, je me suis demandé pourquoi il avait écrit sur ton gobelet puisqu'il a préparer lui-même ta boisson.
Afficher en entier« — Primo, il faut que tu abordes cette opération sans peur. Je t’assure, ils sont comme les chiens, ils sentent la peur. Ça les déroute totalement.
Je fronçai les sourcils.
— Comme les chiens ? C’est carrément…
Je tentai de trouver une repartie un tant soit peu pertinente, mais mon cerveau n’avait pas encore redémarré.
— C’est carrément vrai. Écoute, les mecs, c’est l’équivalent humain des chiens. Les femmes savent ça depuis la nuit des temps. Les mecs n’ont pas envie qu’on leur coure après ; ce sont eux, les chasseurs. Alors si tu veux en attraper un, il faut que tu fasses en sorte que ce soit lui qui te coure après. »
Afficher en entier— Alors, c’était qui ce super beau mec et, plus important, pourquoi tu t’es pas dé-frustrée avec lui ? La vache, j’crois que je serais prête à virer Will de mon lit pour passer la nuit avec lui !
— Salope, répondit Erin en lui faisant les gros yeux dans le rétro.
Maggie éclata de rire.
— Pour lui… ouais. Carrément.
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