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Extrait

Extrait ajouté par vivie2508 2016-05-13T19:22:56+02:00

— Oh, oui, poupée… tu vas me la rejouer, je le sens…

Un peu rudement, il force mes jambes à s’ouvrir davantage, déchirant encore mon collant. Je m’accroche à sa nuque et me mords la lèvre pour ne pas le supplier de me faire jouir.

— C’est la mienne que tu dois mordre, poupée.

J’ouvre difficilement les yeux et je comprends ce qu’il me dit lorsqu’il approche son visage du mien. Sans réfléchir, je me jette sur sa bouche que je lèche, dévore, puis mords pendant qu’il me fait perdre la tête. Je suis dans un état second lorsqu’il ralentit la cadence et je prends un petit moment avant de percevoir le bruit de sa braguette qu’il défait.

— Génial… tu jouis vite. Si on se dépêche, j’ai peut-être le temps de te baiser avant que ma sœur revienne… Il sort déjà son sexe et ouvre l’emballage d’un préservatif. Une question éclate dans ma tête : qu’est-ce que je suis en train de faire, exactement ? Je viens de perdre un boulot parce que je couchais avec le patron, et voilà que je suis en train de négocier mon prochain contrat en ouvrant les cuisses !

Avec un goût amer dans la bouche, je glisse contre le mur pour m’éloigner de lui et redescendre maladroitement ma jupe. Mes cuisses collent à cause du collant déchiré, mais aussi parce que je suis trempée après ce qu’il vient de me faire.

— Retire ta culotte et place-toi face au mur, ordonne-t-il, ce sera plus rapide.

— Non, je… Sans façon.

Son érection dans une main, il me scrute avec un air ébahi pendant que je remonte la bandoulière de mon sac à main sur l’épaule.

— Finalement, ça ne me dit rien, j’annonce en reculant pour rejoindre la sortie.

— Non ! Tu déconnes, là ? Malgré moi, j’ai envie de rigoler en songeant que je suis en train de le planter là pour la seconde fois, mais je profite du fait qu’il ait son pantalon à mi-cuisses pour ouvrir la porte et foutre le camp.

— Hé ! Poupée ! Ne me fais pas ça ! Je t’ai fait jouir deux fois, merde ! gueule-t-il en essayant de me suivre.

Je l’entends qui titube derrière moi pendant que je me plante devant l’ascenseur. Au loin, il s’énerve :

— Putain, tu pourrais être gentille ! Et le boulot, alors ?

Je ne lui réponds pas et je m’engouffre dans l’ascenseur dès que les portes s’ouvrent. Au diable ce job étrange ! Je ne veux plus rien avoir à faire avec des salauds dans son genre ! Au moins, cette fois, c’est moi qui ai tout raflé. Lorsque je sors de l’immeuble, le corps apaisé, je m’installe au volant de ma voiture et je lâche le rire le plus libérateur qui soit.

Il en a pris pour son compte, celui-là, tiens ! Et plutôt deux fois qu’une !

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