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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-01-28T19:33:23+01:00

Je ne sais pas exactement ce qu’il attend de moi, mais je sais qu’il ne me veut pas de mal. Hormis le fait qu’il me déstabilise bien souvent, en fin de compte il passe son temps à me faire du bien. Dans tous les sens du terme. Je commence à regretter de l’avoir insulté tout à l’heure. Je me serre contre lui et je souffle :

– Swan, je…

– Chuuut, fait-il tout doucement. Il n’y a plus de Swan ni de Lily Diamond entre nous. Tu es Celia… et je suis Liam.

Liam ? Hum c’est joli, ça lui va bien !

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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-01-28T19:30:31+01:00

– Et maintenant, princesse, murmure-t-il, l’heure est venue de nous réconcilier !

Sans dire un mot de plus, Swan me saisit par le poignet et m’entraîne vers la maison. Quand nous arrivons dans le salon, il se tourne vers moi et déclare :

– Sans prétention, Celia, il est urgent que je te baise.

Je fais mine d’être choquée, avant de me moquer sur le ton de la plaisanterie :

– Quelle finesse, c’est édifiant ! On voit tout de suite que tu as des notions de philosophie…

Swan vient de m’interrompre, tout sourire, l’index posé sur ses lèvres. De son autre main il fait glisser mon string le long de mes jambes et s’en empare.

– Tu parles trop, Celia, souffle-t-il.

Sur ces belles paroles, il me fourre gentiment le string dans la bouche.

Pff, là tu exagères, mais bon, d’accord !

Il ouvre un tiroir pour en saisir des objets métalliques reliés à une petite chaîne et je crois défaillir.

À l’aide, des menottes !

Sans que j’aie le temps de comprendre, il me les passe aux poignets et me conduit vers le canapé.

Tu es dingue, Swan, mais j’aime ça.

Ses gestes sont fermes mais il ne me fait pas mal. Il m’invite à me pencher sur le dossier, soulève le bas de ma robe de plage rouge. Je suis partagée entre le refus et le désir. C’est ça, la notion de réconciliation pour Swan ?

Je gigote et gesticule, un peu agacée par son petit rire. Mais je ne dis rien, trop heureuse d’être à nouveau le fruit de ses fantasmes. J’accepte cette réconciliation selon Swan. Il me donne une petite claque sur les fesses et à ma grande honte je gémis en me cambrant vers sa paume. En fait, je n’ai pas honte, je suis d’accord pour le suivre sur les chemins escarpés de nos désirs. Et je m’aperçois que ça m’arrange qu’il m’attache pour me garder près de lui. Je dois franchement être en train de perdre la raison, mais je me fiche de la raison ! Cet homme est capable de me dire des mots d’amour et de réaliser un fantasme dans la foulée. C’est LUI, il est comme ça, incroyable et imprévisible.

– C’est déjà mieux, souffle-t-il tout en déchirant un étui à préservatif.

Oui, c’est mieux comme ça !

Je suis là, renversée sur le dossier du canapé, poignets menottés et robe relevée. Mon cul offert à son regard. Et je commence à être… excitée ! Je souris intérieurement de la folie qui s’empare de moi.

Promis, dès qu’il me libère, je prends un avion pour le pôle Nord…

– Ça va nous calmer, Celia, je te promets.

Mais j’emmène Swan avec moi si je vais au pôle Nord… Tout mais jamais sans lui…

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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-01-28T19:22:47+01:00

Il libère ma bouche et m’entraîne dans une pièce du manoir qui m’évoque une sorte de petit boudoir très chaleureux. C’est cosy, on se sent bien dans cet endroit. Il me désigne une corde de velours accrochée à l’une des poutres du plafond.

– Je vais t’attacher ici, tu seras à moi. Je vais t’admirer, te caresser, te baiser.

Il pose ses lèvres sur les miennes qui s’entrouvrent aussitôt. Sa langue vient à la rencontre de ma langue et il m’embrasse avec violence tout en glissant une main sous ma jupe en cuir pour caresser mes fesses qu’il a vraiment l’air d’apprécier.

Mmm, elles me manquaient, tes mains.

J’ai tellement envie, c’est plus fort que moi. Je suis peut-être folle, mais c’est ainsi. C’est comme s’il me connaissait par cœur et ne cessait de me révéler à moi-même. Avec un autre que lui j’aurais honte de ce désir de soumission. Mais je ressens comme un profond respect dans notre relation. Il pourrait me claquer les fesses, j’accepterais. Il sait comment s’y prendre, il sait comment me prendre, il sait ce que j’aime tout au fond de moi-même. Et son talent pour deviner mes désirs décuple mes sensations.

Il abandonne ma bouche, esquisse un sourire diabolique et m’entraîne avec fermeté vers le lieu de mon supplice.

– Viens, princesse.

Il me demande de lever les bras et il me lie les poignets avec la corde de velours en effectuant de savants nœuds.

Mmm, il est doué…

Comme s’il lisait sans arrêt dans mes pensées, Swan plaisante d’une voix douce :

– J’ai longtemps pratiqué la voile, je n’ai pas de mérite !

Il ajoute, l’air admiratif :

– Toujours est-il que tu es extrêmement désirable. Et je vais te confier un secret.

Dis-moi ton secret, Swan.

– Si je t’attache, c’est ma façon d’avouer que je désire t’avoir toujours près de moi.

Mmm, trop beau ! attache-moi tant que tu veux alors…

Il s’éloigne de quelques pas et me décoche un sourire magnifique. Bras en l’air, poignets liés à la corde de velours accrochée au plafond, je suis à sa merci, plus excitée et consentante que jamais. J’ai du mal à me reconnaître.

Il vient placer un grand miroir équipé de roulettes à quelques mètres de moi. Et là… oui, je me reconnais ! À moins de fermer les yeux, je ne peux pas tricher : c’est bien moi, Celia Campbell ! La robe de cuir moule mes formes. Mes seins pointent, mes muscles sont tendus.

Au secours, c’est vraiment moi, là ?

C’est dingue, mais avec lui j’adore. Tout est fou avec Swan. Même mon regard est fou, fou de désir pour lui. Tout simplement parce que je l’attends, lui. J’attends qu’il s’occupe de moi. Je n’attends que ça, je suis à fleur de peau…

Merde, d’où vient ce désir fou ?

– Je voulais que tu puisses voir à quel point tu es excitante, Lily.

– Euh, je…

– Chuuut, Lily. Ne parle pas, laisse-toi aller, ne pense qu’au plaisir qui t’attend.

Je me mords la lèvre inférieure pour ne pas gémir. À vrai dire, j’ai envie de rugir tant je suis excitée. Surtout quand Swan retire sa chemise et s’avance vers moi. Il est affolant à regarder ainsi, torse nu, muscles bandés, vêtu de son seul pantalon de toile qui dessine à merveille ses cuisses et ses jambes. L’opéra diffusé par les enceintes ajoute un côté majestueux à sa présence. Il tourne autour de moi en me frôlant du bout de l’index. Il se colle dans mon dos et souffle à mon oreille.

– Est-ce que tu es mouillée, ma belle ?

Je m’apprête à répondre quand il me bâillonne à nouveau d’une main tout en s’amusant des doigts de son autre main à pincer à tour de rôle les pointes de mes seins par-dessus le cuir de ma robe. Je gémis longuement dans sa paume, je me cambre. Je regrette presque que les cordes qui me retiennent ne soient pas des chaînes. Entendre leur cliquetis à chacune de mes réactions décuplerait probablement mon excitation.

C’est tellement bon de se laisser aller.

Sa main exerce toujours une pression sur ma bouche, m’interdisant de parler. Personne ne m’a jamais bâillonnée et j’avoue que ça me rend complètement folle.

– Je veux que tu n’en puisses plus d’avoir envie de jouir.

Mmm, c’est déjà commencé.

– Je veux que ton corps tout entier m’appelle. Sentir le désir te brûler.

Son souffle chaud sur ma nuque me colle des frissons. Je respire son parfum, j’adore l’odeur de sa peau mêlée à une eau de toilette aux fragrances de bois de santal qui semble avoir été créée spécialement pour lui.

Je voudrais lui crier que je suis vraiment mouillée, que je suis prête, que j’ai envie qu’il me prenne debout au milieu de ce salon jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter. Je tire sur les liens qui me retiennent et je ressens comme une légère brûlure aux poignets. Je sens tellement tout mon corps. Swan m’encourage à m’exciter de plus en plus. Je gémis interminablement sous sa paume qui me bâillonne. Son autre main s’occupe toujours de mes seins. Ses doigts en pincent les pointes à tour de rôle.

– Tu me plais tellement, Lily, souffle-t-il.

Je gémis de plus belle et il abandonne mes seins pour remonter le bas de ma robe de cuir.

– Joli string, dit-il, avant de l’arracher d’un coup sec.

Je pousse un cri d’exaltation sous sa paume. Et je crois défaillir quand sa main s’immisce par-derrière, entre mes cuisses. Je tremble, mon cœur bat fort, je le laisse se frayer un passage entre mes fesses, jusqu’à mon sexe ruisselant. Plusieurs doigts me pénètrent tandis qu’un autre se met à caresser mon clitoris en effectuant des cercles concentriques plus ou moins rapides.

J’ai la sensation inouïe d’être un instrument entre les mains d’un musicien virtuose.

Mmm, c’est délirant ce qu’il me fait.

Sa paume abandonne enfin ma bouche et j’ai la sensation étrange d’émerger du fond d’une piscine, je pousse un gémissement rauque, une sorte de cri libérateur. Je nous regarde dans le miroir. Un genre de Plácido Domingo chante en italien ce qui ressemble à des mots d’amour. Quand j’y pense il y a toujours de la musique entre nous.

Je devine son corps dans mon dos. Je vois ses cheveux noirs et décoiffés qui balayent mes épaules. Je vois ses doigts qui me fouillent et son autre main qui caresse mes seins. Je vois mon corps en sueur, ma robe relevée sur mes hanches et mes cheveux complètement décoiffés.

Waouh, c’est dément…

– Prends-moi, s’il te plaît…

C’est sorti tout seul. Comme un ordre et comme une prière. Je ne reconnais même plus ma voix qui répète :

– Possède-moi, possède-moi…

Swan gémit et tourne autour de mon corps pour se placer face à moi. Ses yeux brillent du désir qui les consume. Il passe une main dans mes cheveux pour m’obliger à mettre la tête en arrière, glisse entre mes lèvres les doigts imprégnés de mon parfum et plonge vers mon cou pour le mordiller sans pitié.

Mmm, c’est vraiment un délicieux vampire.

Il m’abandonne brusquement, recule d’un pas. Il me regarde en débouclant le ceinturon de son pantalon chino avant de le laisser tomber à ses pieds avec son boxer. Il se débarrasse de ses chaussures bateau. Et voilà ! Il est nu face à moi. Le miroir me renvoie l’image de ses fesses parfaites et si musclées. J’ai envie de les lécher, de les mordre, d’y promener mes doigts et de les griffer avec mes ongles.

Merci, miroir !

Le regard qu’il m’offre me donne envie de crier de bonheur. Il est si beau, si rayonnant et si sexy.

Viens vite s’il te plaît…

Il enfile un préservatif sans me quitter des yeux et je fais un effort pour ne pas laisser mon regard s’égarer vers son sexe. Et puis il vient tout contre moi, guide son membre vers ma fente et se redresse en agrippant mes fesses pour mieux me pénétrer.

– Mmm…

– Putain, Lily.

Nous sommes en osmose, loin du vocabulaire ampoulé usité à l’heure du thé. Nous sommes deux animaux en liberté, victimes de notre instinct primaire.

Merde, c’est hallucinant comme c’est bon !

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Extrait ajouté par bellajessica 2015-01-16T22:04:20+01:00

– Je l’ai achetée cet après-midi en pensant à toi. J’espère qu’elle te plaira.

Je m’exécute, gémissant au contact de la soie sur ma peau si sensible. Et je chuchote :

– Merci, j’aime beaucoup.

Swan m’offre un sourire délicieux en me tendant la main :

– Viens, princesse, je vais te servir un apéritif sur la terrasse face à la plage.

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