Commentaires de livres faits par Corentin17
Extraits de livres par Corentin17
Commentaires de livres appréciés par Corentin17
Extraits de livres appréciés par Corentin17
Étant un arc plus cours, l'action est condensée et l'intrigue ne s’égare pas. C'est toujours sympa de retrouver plusieurs anciens personnages et de les voir interagir. Le scénario mélange astucieusement les éléments du jeu tout en créant une intrigue originale.
Impatient de voir ce que donnera la suite !
En tant que policier l’enquête principal n'est pas vraiment palpitante mais tout l’intérêt repose sur les personnages. Au fil de l'enquête on apprend à mieux connaitre Erlendur avec ses aspirations et ses failles. Tout comme les autres personnage qu'il croise au cours de son enquête, c'est un récit au final très sensible.
Mais pour ma part la meilleur partie du livre reste les chapitres où nous sommes confronté au travail quotidien d'Erlendur. Ses interventions en tant que policier de proximité permettent de dénoncer plusieurs problèmes graves de la société.
Je lirais volontiers d'autres livres de l'auteur en particulier ceux avec Erlendur.
Mais de l'autre côté ma lecture s'est faite très difficilement. Je n'ai pas du tout adhéré à la façon que l'auteur a de raconter son histoire. J'avais l'impression que tout était brouillon et il m'arrivait de me demander ce qui venait de se passer. Je ne sais pas si c'est un problème de traduction (parce que certaines phrases me semblaient très bancales) mais ça m'a beaucoup gêné.
Quoi qu'il en soit c'est indéniablement un livre à lire.
Ce tome nous fait découvrir une nouvelle arche très différente du Pôle. J'avoue avoir été un peu déstabilisé au début mais on est vite attiré par Babel avec son organisation particulière et ses secrets. Ophélie rencontre une flopée de nouveaux personnages, tous aussi intéressants les uns que les autres et toujours aussi bien construits avec chacun leur petite évolution.
Mais ce tome est clairement centré sur Ophélie qui continu à être un des meilleur personnage que j'ai rencontré. Son évolution est une nouvelle fois impressionnante, on suit ses doutes et ses victoires et c'est un vrai bonheur d'être avec elle. Thorn apparait moins dans ce tome ci mais il n'en reste pas moins très présent dans les pensées d'Ophélie. Toujours fidèle à lui même, Thorn nous montre tout de même encore un peu plus de sa personnalité. Son couple avec Ophélie est loin des clichés et évolue de manière cohérente, c'est très rafraichissant.
Différentes intrigue se mêlent, celle du tome, bouclée après la lecture, nourrit l'intrigue générale sur la création des arches, Dieu et la place d'Ophélie là-dedans. Il faut être attentif pour ne pas se perdre mais l'auteur arrive à toujours rester claire et ne se perd jamais. Les différentes révélations entraînent d'autres questions, on voit qu'il y a un plan grandiose derrière tout ça que je meurs d'envie de découvrir.
Encore une fois la plume de Christelle Dabos fait des merveilles et élève encore plus le niveau de l'ensemble. Je lui fais totalement pour nous écrire un dernier tome inoubliable !
Toujours un plaisir à lire et vivement la suite !
Des personnages à l'intrigue tout est simple et facile à assimiler, ce n'est pas forcément une mauvaise chose. Ce premier tome se révèle alors très rafraichissant et permet de passer un bon moment de lecture. L'univers et les personnages auront le temps de se complexifier au fil des tomes.
En tant qu'athée convaincu, je regrette un peu le trait religieux très appuyé mais rien qui ne vienne gâcher la lecture.
On retrouve tous les ingrédients de ces précédents livres avec toujours plus de mythologie et d'humour. Les deux nouveaux personnages principaux sont excellents, ils changent des héros habituel de l'univers. Apollon est très drôle en loser narcissique et Meg a clairement pleins de secret à nous révéler. C'est aussi très sympa de revoir les anciens héros qui viennent jouer les second rôles. Et puis il y a Percy !
L'intrigue promet énormément et annonce de futurs combats épiques. Vivement la suite !
Le livre possède une sorte de nostalgie lumineuse qui nous berce malgré certaines scènes difficiles à lire. La fin est à la hauteur et fait réfléchir longtemps après la lecture.
Ça faisait très longtemps que j'entendais des louanges sur Eleanor & Park et je comprends pourquoi. C'est définitivement un des meilleurs livre Young Adult à mettre au niveau de Nos étoiles contraires.
Le triangle amoureux m'avait ennuyé dans le tome précédent mais c'était un mal pour bien car c'est le meilleur dénouement d'un triangle que j'ai jamais lu. Tout était cohérent et tellement bien pensé, Cassandra Clare a fait très fort sur ce coup la. Plein de détails de The Mortal Instruments prennent un nouveau sens.
L'intrigue principale est toujours très solide. On a toutes les informations et le final ne déçoit pas. Une fois de plus tous les personnages trouvent parfaitement leur place. En particulier Gabriel et Gideon qui sont nouveaux venus au premier plan. Cela a été dur de laissé partir ces personnages. L'auteur a un certains talent pour nous les rendre attachants.
La fin est tellement belle et puissante, qu'elle reste longtemps en mémoire.
Cette trilogie est à lire absolument pour tous fans de The Mortal Instruments. Elle change la vision qu'on a de la série (de manière bénéfique bien entendu).
J'ai eu un peu de mal avec l'avancée de l'intrigue principale. On apprend pas grand chose de plus,l'auteur a plus appuyé sur le développement de ses personnages. Notamment sur le triangle amoureux entre Tessa, Will et Jem. Si j'aime beaucoup ces personnages individuellement, le triangle m'a ennuyé. C'était le gros point faible du roman à mes yeux.
Mais j'ai trouvé mon compte avec les personnages secondaires comme Charlotte et Henry. Sans compter la révélation de Will qui bouleverse complétement notre point de vue. Cassandra Clare maîtrise ses personnages et les rebondissements à la perfection.
L'univers est toujours excellent et l'ambiance victorienne apporte vraiment quelque chose en plus.
Malgré mes petites réserves, c'est toujours une très bonne série et je suis impatient de connaître le fin mot de l'histoire.
Les personnages sont très vite attachants et trouvent chacun leur place dans l'intrigue. Les liens avec la série principale sont nombreux, c'est un bonheur lorsqu'on en voit un glissé entre 2 dialogues. L'intrigue ne elle même est intéressant et garde beaucoup de mystères qui donnent envie de lire la suite.
Ce spin-off est une vraie réussite !
Ce dernier tome confirme mon impression. J'ai apprécié les intrigues, Sébastien fait un excellent méchant, le déroulement est bon, digne d'un dernier tome. Mais ce qui me fait vraiment aimé ce livre c'est le développement des personnages. Même si certains pouvaient m'énerver dans les tomes précédent, dans celui ci je les apprécie tous. Jace et Clary se sont bien posés et ne prennent plus de décisions irréfléchies. Maia a droit à sa petite histoire de son côté. Mes préférés restent Alec, Isabelle et Simon qui continuent à être très bien exploités et qui m'ont plus émus que le couple principal.
L'univers des Chasseurs d'Ombre est encore enrichi. Cassandra Clare a crée un univers très complet et original. Son écriture s'est également beaucoup améliorée par rapport aux premiers tomes. Le livre devient très vite addictif, difficile à lâcher.
Un autre tour de force de l'auteur est de réunir les personnages de ses trois trilogies. Du coup j'ai énormément envie de les découvrir. J'ai commencé l'Ange Mécanique, qui trainait depuis un moment ma bibliothèque, juste après ma lecture.
L'épilogue m'a beaucoup plu, si j'aurais aimé qu'il soit plus amère, je ne peux pas bouder un happy end pour ces personnages. J'ai refermé le lire avec une sorte de vide sachant que je pourrais plus les suivre (heureusement qu'on peut encore plongé dans l'univers avec d'autres personnages). Je ne regrette pas d'avoir commencé cette série qui m'a plus touché que je ne le pensais.
Mais l'auteur lance des pistes de réflexions sur de nombreux sujets et nous laisse faire notre chemin. L'écriture participe beaucoup à ce sentiment, Ray Bradbury a un sens poétique incroyable.
Une lecture qui reste dans la tête longtemps après avoir refermé le livre.
Les personnages sont souvent très agaçants avec beaucoup de défauts mais ils sont au final très attachants. Ils semblent réels, ce qui est une grande force du roman. Tout sonne juste, ce qui permet une grande implication.
La transidentité est abordée est façon impeccable, ça fait du bien lire un livre comme ça. Peu de médias s'approprient le sujet et en font un bon traitement. Ici c'est sensible et (majoritairement) positif, il n'y a pas de tragique inutile.
A part ça, comme l'a dit Dalleux, la partie sur le mariage de Salah est clairement le point faible du livre. C'est assez lourd et j'ai eu du mal à sentir une continuité avec le début. On sent également que c'est un premier livre, l'écriture de l'auteur a besoin de maturer mais il y a beaucoup de potentiel.
Tous les personnages se retrouvent et les intrigues se regroupent pour donner un tome presque entièrement composé d'action. Tout va très vite, il y a de nombreux rebondissements. On ne s'ennuie pas une seconde. C'est clairement mon tome préféré qui termine avec brio l'aventure de tout les héros.
Un livre de très bonne qualité que je conseillerais à tout fan d'Harry Potter.
L'écriture est splendide autant sur les points de vue du fils que du père pour nous décrire cette femme au centre de leur vie.
En plus de ces qualités, j'ai pris beaucoup de plaisir lors de ma lecture. C'est ce qui s'appelle un coup de cœur.
Je me suis pris à aimer tout ce qui était autour du personnage de Paul mais Paul lui même m'était complétement indifférent.
L'histoire de sa famille, du jeu aux États-Unis et de ses amours sont intéressantes et originales mais Paul reste très détaché de tout ça. On perçoit à peine ses sentiments, il prend de grandes décisions d'un claquement de doigt. Aussi attachant qu'il puisse être, le personne montre vite ses limites.
La fin m'a au début déçu. Je ne voyais pas où le roman voulait en venir. Puis en y réfléchissant, j'ai découvert plein de pistes de réflexions sur la fatalité ou comment trouver sa place dans le monde. Plus le temps passe et plus je vois les qualités de ce roman.
C'est vraiment une belle histoire mais j'ai eu un peu de mal à accepter certains points. J'ai trouvé le personnage de la mère beaucoup plus intéressant que le fils qui a un traitement assez cliché. Le Kirghizistan est au final peu présent, je n'ai rien appris de particulier sur ce pays, j'ai l'impression que l'auteur a pris un pays au hasard sans l’approfondir.
Malgré ces quelques critiques, Continuer était une bonne lecture que je conseil volontiers.
Ce personnage qui est d'ailleurs compliqué à cerner et même à apprécier. Au final c'est un parfait exemple d'antihéros, ce à quoi je ne m'attendais pas du tout en ouvrant ce livre. Son évolution ou au contraire sa stagnation nous offre de grands moments de lecture.
C'est pendant ma lecture que j'ai appris que l'histoire était en fait réelle et que la narratrice était vraiment l'auteur. Ça a changé ma manière de voir le livre et au final l'a rendu encore plus fort.
A côté de ce personnages, L'autre qu'on adorait nous présente le milieu des universitaires. Un milieu élitiste au possible dont on peut se sentir exclu d’emblée. Pour ma part découvrir ce monde a été aussi fascinant qu'horrible, les inégalités sont durs à accepter concernant tous ces personnages privilégiés.
L'auteur met également l'accent sur les échecs subits par Thomas autant personnels que professionnels ouvrant une voie où l'on peut tous se reconnaître.
L'autre qu'on adorait a été un coup de cœur qui m'a accompagné en pensé longtemps après ma lecture.
On entre dans la tête de Gabriel, un enfant de 10 ans qui nous raconte avec la même innocence les joies de l'enfance et l'horreur de la guerre. Il y a des moments complétement hors du temps, des concentrés de bonheur et de naïveté. Puis la violence sous-jacente tout au long du récit éclate donnant des scènes déchirantes.
L'écriture est simple et belle, très poétique correspondant tout à fait au narrateur mais qui se fait plus noir tandis que l'histoire prend une tournure plus grave.
Petit Pays est un petit bijoux qui a su me toucher et m'en apprendre plus sur le génocide des Tutsis.
Mais personnellement, je trouve que le concept s'use rapidement malgré le faible nombre de page. Une fois que j'ai compris où l'auteur ovulait en venir, les approfondissements sur la vie de chaque personnages m'ennuyaient.
De plus je n'ai pas du tout été réceptifs à l'écriture de l'auteur. Il utilise souvent plusieurs synonymes d'un mot les uns à la suite des autres pour appuyer son propos. Ce procédé a alourdi ma lecture tout comme les longues énumérations des noms des révolutionnaires.
En fin de compte, je pense que c'est un très bon livre, je le recommanderais même. Je n'ai tout simplement pas été touché par l'écriture ni par le développement des personnages.
Si je connaissais déjà presque tous les éléments de l'intrigue, le livre nous permet de plonger encore plus dans les pensées de June. C'est un personnage exceptionnel, elle n'est pas l'héroïne sans faille qui va renverser le système; c'est une femme lambda mise dans une situation horrible où elle n'a presque aucun contrôle. Elle tente par tous les moyens d'oublier sa condition et alterne entre phases d'espoir et de désespoir mais essaie toujours de survivre.
L'ambiance générale est glaçante et difficile à supporter la plupart du temps. L'écriture de Margaret Atwood est empreinte de gravité mais trouve toujours une touche de poésie.
C'est un roman bouleversant et percutant qui dénonce tout en tas de problème malheureusement encore présents aujourd'hui.Je ne saurais que trop conseiller ce livre et la série adaptée.