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« Sans le vouloir, j'avais commis le crime parfait : personne ne m'avait vu venir, à part la victime. La preuve, c'est que je suis toujours en liberté. »
C'est dans le hall d'un aéroport que tout a commencé.
Il savait que ce serait lui. La victime parfaite. Le coupable désigné d'avance.
Il lui a suffi de parler. Et d'attendre que le piège se referme.
C'est dans le hall d'un aéroport que tout s'est terminé.
- Je lui ai demandé où je pouvais la reconduire. Elle a répondu nulle part. Drôle de fille hein ?
- Oui. C'est bizarre cette victime qui refuse de sympathiser avec son violeur.
- Elle aurait pu voir que je l'aimais quand même !
- Vous le lui avez prouvé d'une manière si douce.
- Dès qu'elle en a eu l'occasion, elle s'est enfuie en courant. Cette fois, je n'ai pas pu la rattraper. Elle a disparu dans la ville. Je ne l'ai plus retrouvée.
- Quel dommage, une si belle histoire qui commençait si bien.
J'adore l'humour noir d'Amélie Nothomb ainsi que sa folie naturelle. Je suis tombée sur le derrière en lisant la fin de l'histoire. J'aime beaucoup les roman d'Amélie Nothomb en général, d'ailleur. Simples et à la fois perplexes, ils se lisent d'une traite et sont toujours d'une exclusivité rare, d'un humour acerbe et d'un sarcasme étonnant. Le prochain Nothomb devrait sortir d'ici peu... j'ai hâte!
Sûrement un de mes romans préférés de l'auteur, après Hygiène de l'assassin. Ce livre se dévore d'une traite, on ne peut plus le déposer. Le suspens reste intact jusqu'à la fin. Nothomb réussit à nous plonger dans une histoire où l'un des deux protagonistes nous répugne complètement et pourtant...
Comme me l’a si bien dit Marie-Noëlle Reniero qui m’a recommandé cette lecture ; “elle te présenterait un éléphant rose qui vole comme le truc le plus normal du monde” ; je n’aurais clairement pas mieux dit.
Je ne savais pas à quoi m'attendre et je dois dire avoir été rapidement surprise. Cet inconnu est sacrément tordu. Il a une logique qui lui est propre et n'a cure de l'opinion d'autrui. J'ai l'impression d'écouter parler un sociopathe, convaincu d'être bien-pensant.
Malgré un côté un peu atypique, j’ai rapidement été prise dans ma lecture. Assise dans cet aéroport à chercher ce que cachait ce mystérieux inconnu.
Le côté dialogue perpétuel rend la lecture fluide et rapide. Je suis presque choquée des révélations mais surtout du naturel avec lequel l'homme raconte les choses.
Si j'ai vu venir le premier retournement, le second m'a prise au dépourvue même si j'ai eu un doute au dernier moment.
L’auteure nous plonge dans les méandres de la folie humaine à travers une narration menée exclusivement par l’usage d’un dialogue entre deux hommes. Nous avons entre les mains un genre de huis-clos d’une cruauté étrange. Un face à face entre un homme banal et un individu louche mais est-ce réellement cela, qui est la victime, où se trouve les limites de la folie ?
J'ai dévoré ce livre en moins d'une heure. 120 pages faciles à lire et certainement peu difficiles à écrire non plus. Loin du roman travaillé, le lecteur découvre un dialogue entre deux personnages. La trame est simple : Jérôme attend son avion pour Barcelone dans l'aéroport. Il lit tranquillement un livre et un inconnu très insistant commence à lui tenir un discours ennuyeux. Jérôme ne veut rien savoir et tente d'avoir la paix. Mais le casse-pieds ne cesse de le harceler. Ce moulin à paroles tient un débat sur divers sujets dont le meurtre... Spoiler(cliquez pour révéler)Et là, le casse-pieds lui raconte qu'il a violé une certaine Isabelle plusieurs années auparavant, dans un cimetière. D'autres décennies passent, et il retrouve Isabelle et finit par la tuer. Jérôme se révolte car il comprend que cette Isabelle est son épouse qui a été assassinée. Dès lors, il veut dénoncer cet assassin... Bien évidemment, on comprend assez rapidement qu'il s'agit d'un dialogue intérieur, celui du personnage principal. En proie à ses pulsions, Jérôme lutte. Il a bien tué sa femme et le regrette. En bref, les remords, la conscience torturent cet homme qui s'agite et qui finit par se suicider... Dans ce livre, il n'y a donc pas d'histoire, rien qu'un dialogue, un débat d'idées, avec quelques répliques parfois grinçantes, voire drôles et beaucoup de lieux communs. Ce texte pourrait figurer facilement dans un magazine : il donne l'opinion d'Amélie Nothomb et c'est tout. Ce n'est pas satisfaisant pour un lecteur exigeant. Evidemment, quand on s'intéresse à l'autrice, on comprend tout de suite : fille de diplomate, baronne, elle a profité des réseaux de sa familles pour se faire publier. Mais pour publier quoi ? Ses propres pensées ? Son opinion ? Ses fantasmes ? Ce qui lui passe par la tête ? D'ailleurs, elle publie un livre chaque année ! Maintenant, après l'avoir lue, je comprends pourquoi elle est aussi prolixe. Ce genre de livre sans intrigue, sans profondeur (et plein de verbiage) s'écrit en quelques jours. A ce train-là, elle pourrait en faire paraître un par mois. Très intéressant pour la connaître ! Mais à part ça, il n'y a aucun intérêt. Etant donné que j'attends davantage d'un livre, je n'ai pas du tout apprécié. C'est juste bon pour les fans en admiration. C'est à eux qu'il faut le conseiller. Pas aux autres.
Un très court roman (finit en 1 h) qui, sans être exceptionnel, captive par l'échange de dialogue entre Jérôme et Texel. Le vocabulaire riche et la conjugaison utilisé rendent la lecture intéressante.
La "conversation" devient vite étrange, dérangeante avec cette pointe de sadisme, de cynisme et de folie que l'on rencontre souvent dans les romans de l'autrice. Le rebondissement à la fin est surprenant mais tire un peu en longueur avant son final, avec quelques petites répétitions durant les échanges verbaux.
On pourrait penser qu'une lecture de 150 pages soit trop courte ici, mais un roman écrit uniquement sous forme de dialogue peut vite lasser si cela devient trop long. De plus, Amélie Nothomb maîtrise assez bien cette forme d'écriture avec un style bien à elle.
Je n'ai pas vraiment adhéré au récit de Nothomb, dont c'est le deuxième livre que je lis. Antéchrista ne m'avait pas particulièrement convaincu et celui-ci n'est guère mieux. Les dialogues sont plutôt pauvres en plus du reste : Spoiler(cliquez pour révéler)L'alter égo de Jérôme est particulièrement énervement, au point que ce livre m'a mis sur les nerfs^^. Pourtant, la schizophrénie romancée peut-être très intéressante dans un roman, mais ici l'auteure ne s'est pas foulée. Les seuls points positifs sont : La fin qui est très bien exécuté, il faut le dire et le fait que l'ouvrage soit court.
Cosmétique de l'ennemi est un de mes romans préférés d'Amélie Nothomb, qui sous certains aspects rappelle Hygiène de l'assassin. Grâce à sa narration particulière, ses personnages énigmatiques et son humour noir très présent, il m'a emporté jusqu'au dénouement.
Résumé
« Sans le vouloir, j'avais commis le crime parfait : personne ne m'avait vu venir, à part la victime. La preuve, c'est que je suis toujours en liberté. »
C'est dans le hall d'un aéroport que tout a commencé.
Il savait que ce serait lui. La victime parfaite. Le coupable désigné d'avance.
Il lui a suffi de parler. Et d'attendre que le piège se referme.
C'est dans le hall d'un aéroport que tout s'est terminé.
De toutes façons, le hasard n'existe pas.
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