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Elle avait croisé beaucoup de Jane Bennet et de Charles Bingley ; bien trop de Mr Collins, un Wickham de temps en temps, mais un Darcy, c'était encore plus rare qu'un célibataire pourvu d'une belle fortune et réellement en quête d'une épouse. D'ailleurs, rencontrer un Darcy n'était pas très amusant.

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Elle fit courir sa main sur la tranche des vieux livres reliés de cuir et s’arrêta lorsqu’elle trouva les mots que ses mains, son cœur et son âme connaissaient si bien.

Orgueil et Préjugés.

Elle sourit. Elle était entourée d’amis, après tout.

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Oh, bon sang, prenez une chambre, tous les deux ! s'exclama Sebastien en les rejoignant à grands pas. Je vous mets en garde : ne commencez pas à vous disputer avec une de ces mégères de librairies, dit-il à Johnny. Vous l'aurez épousée avant d'avoir eu le temps de comprendre ce qui vous arrive.

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Que ferait Elizabeth Bennet ?

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Aux yeux de Verity, c’était la chose la plus simple au monde. Si deux personnes s’aimaient, qu’elles s’aimaient véritablement, sincèrement, alors elles déplaçaient les montagnes, niaient les liens du sang, riaient au nez de tous les obstacles.

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L'existence qu'elle désirait à présent si ardemment contenait un homme qui comprenait qu'elle avait besoin d'espace mais avec qui, lorsqu'elle passait du temps en sa compagnie, elle ne se sentait jamais oppressée. Un homme doué de ses mains, qu'il bâtisse des maisons à partir de rien ou qu'il allume un brasier dans son corps, un brasier qui couvait encore des semaines plus tard. Un homme tout aussi solitaire qu'elle, mais pas de son propre gré.

« Elle avait du mal à comprendre comment elle pouvait être un objet d'admiration pour un homme d'une telle importance.»

- Oh, bon sang, Elizabeth Bennet, tu vas la fermer ?! s'exclama Verity à voix haute.

Ces derniers temps, plutôt que d'être un gourou bien pratique à qui faire appel en toute occasion, Miss Eliza avait tendance à devenir la voix du doutes dans son esprit.

Au lieu de se demander: «Que ferait Elizabeth Bennet? », il était temps de regarder le monde différemment. De se poser une autre question.

Que ferait Verity Love? Et quand?

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- Nous voilà chez nous ! déclara Merry avec une pointe de satisfaction. Oh, mon Dieu, tu crois que c'est Connie qui les a forcés à faire ça ?

Chaque porte de chaque maison du village était ornée d'un ruban bleu vif (la couleur du mariage de Connie) qui flottait dans la brise.

- Probablement, renifla Verity en battant des cils à toute vitesse pour faire refluer les larmes qui menaçaient de couler. Mais c'est adorable.

- Very, tu pleures? Ne pleure pas ! ordonna Merry dont la voix se fêla à son tour. Tu sais que ça me fait pleurer quand tu pleures. Ces dernières semaines, j'ai été une épave!

- Je ne peux pas m'en empêcher ! sanglota Verity tandis que Dougie remontait l'allée menant au presbytère.

La porte s'ouvrit avant même que Dougie ait coupé le moteur. Un troupeau en sortit, avec Connie à sa tête. Celle-ci ne portait qu'une culotte, le tee-shirt officiel du mariage où était imprimé en grosses lettres «#mariagelovesimpsons» et le vieux voile de mariée de l'épouse du bon pasteur, jaunie par l'âge et qui aurait dû tremper dans une bassine d'OxiClean depuis longtemps si l'on en croyait le planning détaillé que Connie avait envoyé par mail à tout le monde un peu plus tôt dans la semaine.

- Et voici Agrippine! lâcha Dougie tandis que Connie avançait vers eux à grands pas.

La portière du conducteur faillit être arrachée de ses gonds et Connie passa la tête à l'intérieur de la voiture.

- Vous auriez dû arriver il y a dix-sept minutes, dit-elle en guise d'accueil. J'espère que vous avez pensé à ces foutues guirlandes!

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