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Extrait ajouté par LetyMT 2020-03-09T23:42:58+01:00

Ce passage est issu du point d'Ashton Curtis, un des personnages principaux ?.

" Il est tôt quand j’arrive au motel où Silver m’a certifié que je trouverais Pêche. Pourquoi vient-elle systématiquement ici ? Mes recherches m’avaient conduit ici par le passé, mais je n’y avais trouvé aucune trace d’elle. M’avançant sur un sentier à bord de ma Maserati, j’aperçois au fond une sorte de garage en bois. La porte est ouverte et une Mustang gris perle est garée à l’intérieur. Je perçois du mouvement, mais je ne distingue pas la personne qui se tient à côté du véhicule.

Je me demande comment va réagir Pêche en me voyant. Je continue d’avancer, quand je reconnais enfin qui est adossé au garage et m’attend patiemment. Bordel ! Ce qu’elle est sexy dans sa tenue de femme fatale ! Ce pantalon moule avantageusement son corps presque parfait. Je sens ma virilité pointer dans mon jean. Pourquoi cette femme me fait-elle tant d’effet ? Mon cœur bat la chamade, mon corps réclame un contact avec le sien. Est-ce parce que sa tenue, son regard et le côté sauvage de son automobile me rappellent la Gisèle que j’ai connue ? Parce qu’elle ressemble à la femme puissante dont je suis tombé amoureux ? Ou simplement parce que Gabriella était trop clean pour être palpitante ? Je stoppe ma voiture et prends une grande inspiration avant de m’en extirper. Une fois sorti, je reste planté là, mes yeux fixés dans les siens qui me mitraillent. Seule cette femme est capable d’une telle audace. En croisant les bras sur ma poitrine, je sens le flingue que m’a donné Silver avant de partir sous le regard désapprobateur de Kyle. Il a affirmé qu’elle se sentirait menacée par ma présence et qu’elle risquerait de devenir dangereuse. J’en doute, car je sens toujours cette tension qui flotte dans l’air quand nous sommes proches l’un de l’autre.

— Qu’est-ce que tu veux ? clame-t-elle très fort.

— Que tu me laisses t’expliquer ce qu’il s’est passé !

— Ce qu’il s’est passé ? Je vais te le dire : tu as détruit ce que j’ai mis trois putains d’années à construire ! J’avais enfin une vie normale ! Et toi, tu débarques de nulle part, et tu fous tout en l’air !

Elle ressent de la haine à mon égard, ça crève les yeux. Ça s’annonce beaucoup plus délicat que je le croyais.

— Pêche, laisse-moi te parler.

Je ne sais pas ce qui lui fait péter un plomb tout à coup. Elle brandit une arme et la pointe sur moi. Je fais de même, sauf que moi, je n’aurai pas le courage de lui tirer dessus.

— Pêche ? Comment oses-tu m’appeler ainsi après tout ce que tu m’as fait ? Et en plus en pointant une arme sur moi, deux jours d’affilée !

— Arrête. Je viens discuter et tu te mets dans un état pas possible.

— Je veux que tu partes tout de suite ! DÉGAGE ! somme-t-elle.

— Je n’irai nulle part ! Pas avant d’avoir eu une conversation !

Elle tire à côté de ma voiture pour appuyer sa sommation. Surpris, j’appuie sur la gâchette à mon tour. Elle se baisse, car le coup est passé de peu au-dessus sa tête. C’est la guerre ! Je roule derrière ma voiture, elle tire de nouveau et crève un pneu.

— Et comment veux-tu que je parte, maintenant ? lui crié-je.

Un nouveau tir se plante dans mon pare-chocs avant. O.K. ! Je riposte ou pas ? Je jette mon arme à terre pour lui montrer que je ne lui veux aucun mal. Elle jette la sienne à son tour, je me relève et la vois courir vers moi. Je m’attends à l’accueillir dans mes bras, mais elle me décroche une droite phénoménale dans le ventre ce qui me fait poser un genou au sol. Puis elle me tire par les cheveux pour que je la regarde. Je grimace de douleur quand elle me dit, les dents serrées :

— Tu pointes des armes sur moi. Maintenant, tu tires, alors on n’a plus rien à se dire, Ashton, tu piges ? CASSE-TOI !

— Je ne partirai pas.

Elle me gifle violemment, et là, c’en est trop. Je me lève et la pousse plus fort que je ne le croyais. Elle tombe au sol. Je souris, provocateur, mais, avec ses pieds, elle me fait un croc-en-jambe, et je la rejoins par terre. Elle se jette sur moi et me donne une rafale de coups, je lui assène une gifle qui la met encore plus en rogne. J’arrive à retenir un de ses poignets et m’assois. Malgré le moment peu opportun, mon cerveau divague vers des souvenirs charnels d’elle et moi dans cette position. Elle essaie de me mettre un crochet en pleine face, mais j’intercepte son geste. Maintenant, elle est coincée. Elle respire fort et veut me mettre un coup de tête d’une grande violence. Sa prise d’élan me permet de l’esquiver et de lui bloquer la tête dans mon cou. Elle crie de frustration et je me surprends à humer son odeur. Elle a changé jusqu’à son parfum, elle sent la cerise. Ma Pêche a changé du tout au tout pour m’enfouir dans le passé. Mais moi, je n’en suis pas capable, je la désire autant que par le passé.

Toujours coincée dans mon cou, même si j’ai desserré ma prise, elle semble me humer comme je l’ai fait à l’instant.

— Pourquoi as-tu changé de parfum ?

— Parce que j’ai changé de vie.

Elle se dégage et se redresse pour m'observer. Mon regard se pose sur ces belles lèvres pulpeuses, si tentantes.

— Pourquoi tu es partie ?

— Tu ne m’as pas laissé le choix.

— Je ne t’ai jamais demandé de t’en aller. "

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Extrait ajouté par LetyMT 2017-09-26T12:14:52+02:00

Je déglutis et regarde ailleurs. Je ne peux tout de même pas lui dire qu'une femme que je ne connais pas a produit une telle onde de choc sur moi que je ne peux me l'enlever de esprit. Il me regarde en insistant. De toute façon je ne peux pas lui mentir, alors allons-y.

— Disons qu'au Mexique, une femme m'a percuté sans le faire exprès au marché, et le contact de sa peau avec la mienne m'a vraiment troublé.

Je stoppe là ma tirade et l'interroge du regard.

— Quoi ?!? fait-il, pris d'un fou rire. Toi, au marché ? C'est une blague ?

— C'est ça, fous-toi de ma tronche, mais je te jure que je n'arrive pas à me l'ôter de la tête. Cette femme m'a captivé ; j'ignore pourquoi. Tu sais pourtant que je ne fais jamais de fixation sur une seule personne.

Il fait des yeux ronds.

— Tu es en train de me dire que toi, Monsieur je suis de la jet set, tu as tilté sur une femme qui faisait ses emplettes au marché ?

Je lève à nouveau les yeux au ciel.

— Tu es toujours du genre à surenchérir, Kyle.

— Je ne crois pas. Tu n'as jamais flashé sur une fille, Ashton. Tu es le genre de gars qui passe de culotte en culotte sans jamais repenser à celle de la veille. Donc, mon ami, oui, je te le confirme, tu as été victime d'un coup de foudre. Admets-le, au moins, qu'on passe à autre chose !

— Arrête ton baratin. Bref, je lui ai donné ma carte dans le but de l'inviter à dîner. J'aimerais la revoir et apprendre à la connaitre.

Kyle se moque encore de moi. Il n'en croit pas ses oreilles, apparemment. Je dois vraiment être pathétique. On verra si Pêche m'appelle. Nous continuons de boire et passons à d'autres sujets plus préoccupants. Kyle se prend une bonne cuite. Il n'a jamais tenu l'alcool aussi bien que moi. Je l'ai prévenu, pourtant. On verra qui se tapera une gueule de bois phénoménale demain. Ce sera le pari du jour.

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