Commentaires de livres faits par crepe-au-sucre
Extraits de livres par crepe-au-sucre
Commentaires de livres appréciés par crepe-au-sucre
Extraits de livres appréciés par crepe-au-sucre
Le scénario est plutôt bien, même si l'absence de certains personnages lui font défaut.
Pourtant, malgré l'ambiance sombre très bien décrite, les personnages inquiétants et les fantômes sinistres, j'ai trouvé que la magie ne prenait pas. Comme si les émotions se brisaient sur des tirades qui en faisaient trop.
Ca reste quand même une bonne lecture pour moi et je lirai le dernier tome avec envie.
Si le côté "ténèbres" vient chatouiller nos sens régulièrement, je regrette quand même que les personnages n'aient pas été plus approfondis. Je n'ai pas ressenti entre eux des sentiments si forts que ça mais c'était peut-être dû aux dialogues qui auraient mérité d'être davantage travaillés.
Malgré ces quelques "reproches" et une fin qui se devine assez rapidement, l'ambiance sombre et inquiétante est au rendez-vous. Un rendez-vous que j'ai trouvé d'ailleurs très addictif et qui m'a donné envie de lire d'autres oeuvres de cet auteur.
A mes yeux, c'est le meilleur des 3 tomes et même si je sais que ce roman ne restera pas gravé dans ma mémoire, il m'aura permis de passer des heures de lecture paisible.
Le personnage masculin me semble un peu trop parfait pour être crédible, mais rendons à Harlequin ce qui appartient à Harlequin : un sentiment doucereux purement féminin.
Je trouve malgré tout que ce roman aurait gagné à être plus long, plus détaillé, avec une fin plus franche car j'ai l'impression, quand je lis les avis sur différents forums, que nous n'avons pas toutes la même vision du déroulement final.
Les 100 dernières pages sont émouvantes et plutôt prenantes. J'ai aimé leur déroulement, même si j'aurais préféré une (avant) fin
Je ne vois pas les autres tomes poindre leur nez avec une VF pour les cancres. Dommage. Découvrir l'histoire [spoiler]de Megan me tente bien.
De nouveaux personnages entrent en scène, mais surtout Francesca est davantage mise en valeur et révèle un personnage plus complexe qu'il n'y parait. Jalouse, orgueilleuse, un peu menteuse, casse-cou, badine mais loyale, naïve (de moins en moins), généreuse, rebelle et pourtant si discrète.
Je suis également toujours sous le charme des personnages secondaires qui viennent parachever l'intérêt que j'ai pour cette saga.
Lire un roman des aventures de Francesca Cahill, c'est comme boire un verre d'eau un jour de canicule : un bonheur simple à l'état pur.
Pas une scène charnelle et pourtant le cœur s'enivre de plaisir. L'écriture reste humble et l'histoire manque parfois un peu de piquant. Mais les protagonistes sont tellement touchants, leurs échanges si troublants, qu'on ne peut que prendre plaisir à les voir s'enfermer dans leur bulle.
Ce nouveau style de romance dépourvue de lascivité met l'accent sur la force d'un amour (en apparence) platonique. C'est fort et beau... J'ai beau avoir certaines romances érotiques dans ma bibliothèque, je n'en suis pas moins charmée par la pureté plus que provocante de cette histoire.
Encore, s'il vous plaît...
La naïveté, la droiture et la simplicité des personnages est juste sublime. C'est un roman où tout est survolé et pourtant, chaque mot vous dépouille et rend toute explication superflue.
Le style d'écriture m'a beaucoup plu. Épuré, il va à l'essentiel avec une simplicité attractive, qui n'a pas été sans me rappeler (un peu) le style de JK Rowling dans « une place à prendre ».
Le seul bémol à ce roman magique est la traduction, semée de petite fautes d'usage. Mais quand bien même, ce petit moins n'a pas su enlever la force et la beauté de cette histoire.
Face à tant de talent, je ne peux que me réjouir et remercier Madame Harmon de nous faire rêver en nous rappelant que l'amour, le vrai, n'a rien d'une ballade charnelle.
Cet homme, infâme à souhait , macho, arriéré (si, si, un peu... ) et même violent (il lui met quand même un marron), avait tout pour rendre cette histoire révoltante (donc intéressante).
Mais voilà, par un coup du sort que je n'arrive pas à comprendre, chaque fois que Madame Rogers s'est lancée dans du contemporain, ça a viré au psychédélique (début des années 80 oblige?). L'écriture part en sucette et les effets de langage désuets m'ont fait penser que le traducteur (ou la traductrice) imaginait qu'encore, à l'époque des chewing-gum gagnants, les français se baladaient avec un béret sur la tête et une baguette de pain en guise de baise-en-ville.
Même si c'est bien dommage, j'ai su retrouver, à travers cette écriture bafouée, tout le style violent de l'auteur qui, pour une femme de cette génération, n'avait pas froid aux yeux...
Et c'est presque dommage que cette fin wahou n'arrive qu'à la fin (en même temps, c'est une fin). Durant tout le roman, j'ai trouvé que Gidéon Cross n'était rien d'autre qu'un nouveau (regrettable) Christian Grey. Mâle dominant, caractériel, odieusement riche, qui étouffe et perd une jeune femme pleine de promesses (ce qui ne doit pas être complètement faux, non plus).
L'écriture est belle mais vu qu'il ne se passe pas vraiment grand chose (à part des quiproquos et du sexe), sa beauté a perdu de son emprise, au fil des pages.
Et puis, il y a eu cette fin... Une fin qui n'a rien de charnel, qui est dramatique et qui bouscule la romance classique. Une fin qui ouvre sur autre porte : celle d'une déchirure passionnelle. Et là, pour moi, toute ma lecture a repris son sens. Sauf que, nom d'un petit canard jaune, j'arrivais à la fin du livre !
C'est bien la première fois qu'un roman dont je trouve l'intérêt un peu léger tout du long, me plombe au final.
Eh bien... j'aime plutôt. Je ne sais pas si la suite est à la hauteur de ce que laisse sous entendre le fanatisme de Monsieur Cross, mais je serai bien aise de le découvrir...
Une jeune femme énigmatique, un vieil homme infâme, un homme magnifique et bourru, des secrets, des concours de circonstance malheureux... Voilà un cocktail qui promettait d'être explosif !
Et puis, tout m'a semblé retomber comme un soufflet. Notre héros n'est pas si héroïque que ça, puisqu'il laisse ses amis mener l'enquête à sa place et son amour aveugle envers sa belle, qui aurait pu lui paraître un brin coupable, a vaguement délavé la romance.
Mais le tout reste douillet (à défaut d'être passionné et passionnant) et agréable pour les jours où nos romans, toujours prêts à emmener ailleurs, doivent peindre notre imaginaire couleur pastel.
Ce premier roman met en scène un tueur en série qui narre son histoire, son ressenti. On rentre dans son esprit, mais le style courtois nous évite de sombrer dans le gore.
Les personnages secondaires font aussi leur effet et la scène finale vaut le détour. On peut deviner, pour ceux qui ont suivi la série télévisée, que la suite se verra forcément quelque peu détournée. C'est plutôt une bonne nouvelle... une autre façon de rencontrer Dexter... de loin, bien sûr (et c'est tant mieux).
Ses lectures sont toujours une promesse de passer des moments doux, parsemés de sourires, avec des héros masculins atypiques, virils mais tendres et amoureux. J'ai une affection particulière pour les sentiments purs qu'elle fait naître entre ses héros.
Le schéma reste toujours le même, mais les personnages peignent de nouvelles nuances à chaque fois.
Dans ce roman, c'est la scène finale qui m'a particulièrement touchée et qui m'a fait passer ce roman de la liste de bronze à celle d'argent.
Comme quoi, quelques pages émouvantes peuvent valoir des pavés ennuyeux...
Les romances de cet auteur n'ont rien de conventionnelles, mais restent très « douces » au milieu de nos romances actuelles.
L'histoire est un peu bousculée par des sujets qui peuvent déranger, comme la pédophilie (même si elle survolée) et la condition des femmes de cette époque qui ne pouvaient être qu'épouses ou courtisanes.
Mais que les romantiques se rassurent, même s'il est raconté à la façon de Madame Rogers, l'amour y trouve toute sa place.
On les devine, amoureux, ou pas... Leur fidélité reste très subjective.
On ressent quand même la plume masculine. L'érotisme au féminin est différent, amené avec une grâce qu'on ne retrouve pas dans ce roman. Je n'ai rien contre, mais je me sens un peu perdue dans ce voyage licencieux dans lequel je ne retrouve pas la sensualité qui a du y être déposée.
Dans le tome 3, peut-être ?
On aime, on n'aime pas, c'est selon... mais que l'on apprécie cette lecture claquante ou qu'on la décrie, elle ne laisse pas indifférent sur les divers sentiments qu'elle inspire.
Malgré ça, j'ai revécu, par moment, les émotions de ma première lecture. J'ai aimé me souvenir de ce ressenti, car 50 nuances a été ma première romance érotique et, même si j'en ai lu d'autres aussi bien écrites, aucune n'a su me transporter comme « 50 nuances de Grey ».
Je précise quand même (que les amoureuses du beau Grey me pardonnent), je ne fais pas partie des fans de Christian. Je le trouve snob, sordide, souvent méprisable. Mais je n'ai pas besoin d'aimer les personnages d'un roman pour l'apprécier. S'ils arrivent à mettre mes sens en alerte, à éveiller mon intérêt et ma soif de lecture pour connaître la fin, alors je prends tout d'eux... même leur côté « misérable ».
50 nuances aura toujours une place à part, dans ma bibliothèque et si il y a une suite à la version de Christian Grey, elle viendra certainement se rajouter aux nuances chatoyantes de ma bibliothèque.
Ca reste pourtant un « passion intense » non conventionnel pour l'époque où il a été édité et, ne serait-ce que pour ça, je ne regrette pas de m'être attardée dessus.
J'aurais certainement aimé ce deuxième volume autant que le premier, si Charlotte, si avant-gardiste, si libre, n'était devenue une épouse sage et en retrait.
Le mérite féminin de l'enquête revient à sa sœur Emily, qui ne nous avait pas caché dans le premier tome, qu'elle n'était pas frileuse par ses actes.
La tournure de l'histoire m'a beaucoup plu. Il ne manquait rien, ou presque... La Charlotte jeune-fille m'a vraiment manqué. Beaucoup manqué...
Et pour les amoureuses du couple, nous avons même le droit à un flash-back qui m'a laissée sur le... popotin.
Au fil des pages, le roman développe, non sans intérêt, les personnages secondaires et nous rend (presque) Mac.
Je dis presque parce que j'ai quand même eu un petit désenchantement quand j'ai fini par me demander si Mac n'était pas là uniquement pour mettre en avant tous les autres personnages et ça, en sa défaveur. Bien qu'elle soit le personnage le plus présent de ce volet, elle semble rester en second plan (celle qu'on méprise tant, quand Dani devient le centre de préoccupation et de sentiments de tout le monde) et les fans de Mac pourront peut-être trouver ça frustrant (à moins que ce ne soit moi qui l'ai ressenti ainsi).
Quant à Dani, elle revient grandie, différente. Je n'ai pas retrouvé la canaille que j'affectionnais tant et là, re-frustration. Mais je me dis que peut-être dans le tome suivant...
Mais dans l'ensemble, j'ai trouvé l'histoire très addictive et l'arrivée en force des personnages secondaires m'a vraiment plu.
J'espère qu'on ne nous fera pas trop attendre pour la version française du tome 3, car la fièvre n'est pas encore retombée chez les fans de la série et la lecture des chroniques sera le seul remède réellement efficace pour calmer nos frissons.
Dans ce dernier tome, certains personnages devenus fades retrouvent un peu de leur splendeur, d'autres m'ont émue et je me suis prise d'espérer une suite sur les (faux) méchants de l'histoire.
Cette histoire m'a paru vouloir jouer le jeu des nouvelles lectrices d'érotisme, sans froisser les romantiques un peu plus prudes. Et ça marche car tout « n'est pas assez » et chacun y trouve son compte, accompagné de sa petite frustration. Comme ça, pas de jaloux !
Les personnages sont forts et leur rencontre ne se fait pas sans émotion.
Un A&P qui a su me séduire, alors que je suis dans une période qui me tourne vers d'autres envies que la romance sentimentale. J'attends de lire le deuxième tome avec envie.
Je regrette quand même que l'auteur n'ait pas pris le temps de nous faire savourer crescendo la rencontre amoureuse du lieutenant Dallas. Tout va trop vite et ça gâche un peu la naissance de leurs sentiments.
Je n'ai pas compris non plus l'intérêt du côté science fiction de ce roman, mais vu le nombre de tomes à lire, c'est peut-être une surprise pour la suite !
Le tout reste agréable à lire et je dis « oui » pour le tome 2 !
Malgré tout, j'ai aimé les personnages principaux, plein de fraîcheur et de tendresse.
Je ne suis plus aussi friande des A&P qu'autrefois, mais je peux apprécier l'apaisement qu'ils apportent dans le tumulte de mes journées, quand ils restent agréable à découvrir.
L'écriture est fluide, sans prétention mais opérante. L'intrigue n'est pas vraiment déconcertante, mais j'avais l'impression de vivre au cœur de ce village.
Je ne m'attendais pas du tout à ce genre de littérature et j'ai été agréablement surprise. Je lirai la suite avec envie.
Les personnages secondaires des premiers romans sont moins mis en avant au profit de nouveaux et j'ai trouvé ça un peu dommage. Je ne les trouve pas aussi passionnants.
La relation entre les protagonistes évolue vraiment vers les 3/4 du roman. Le prochain en devient d'ailleurs prometteur.
Et l'intrigue m'a moins plu que les précédentes.
Mais le tout reste très bon et je lirai la suite des aventures de Mademoiselle Cahill avec la même envie que pour les romans précédents.