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Commentaires de livres faits par cynodon78

Extraits de livres par cynodon78

Commentaires de livres appréciés par cynodon78

Extraits de livres appréciés par cynodon78

date : 18-04
« Il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. »
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date : 18-04
« Je doute parfois qu’il soit permis de sauver l’homme d’aujourd’hui. Mais il est encore possible de sauver les enfants de cet homme dans leur corps et dans leur esprit. Il est possible de leur offrir en même temps les chances du bonheur et celles de la beauté. »
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date : 18-04
« Notre tâche d’homme est de trouver les quelques formules qui apaiseront l’angoisse infinie des âmes libres. Nous avons à recoudre ce qui est déchiré, à rendre la justice imaginable dans un monde si évidemment injuste, le bonheur significatif pour des peuples empoisonnés par le malheur du siècle. Naturellement, c’est une tâche surhumaine. Mais on appelle surhumaines les tâches que les hommes mettent longtemps à accomplir, voilà tout. Sachons donc ce que nous voulons, restons ferme sur l’esprit, même si la force prend pour nous séduire le visage d’une idée ou du confort. La première chose est de ne pas désespérer. N’écoutons pas trop ceux qui crient à la fin du monde. Les civilisations ne meurent pas si aisément et même si ce monde devait crouler, ce serait après d’autres. Il est bien vrai que nous sommes dans une époque tragique. Mais trop de gens confondent le tragique et le désespoir. « Le tragique, disait Lawrence , devrait être comme un grand coup de pied donné aux malheur. » Voilà une pensée saine et immédiatement applicable. Il y a beaucoup de choses aujourd’hui qui méritent ce coup de pied. »
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date : 18-04
« Savez-vous, disait Napoléon à Fontanes, ce que j’admire le plus au monde ? C’est l’impuissance de la force à fonder quelque chose. Il n’y a que deux puissances au monde : le sabre et l’esprit. À la longue le sabre est toujours vaincu par l’esprit. » 
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date : 18-04
« Mais il y a dans chaque homme un instinct profond qui n’est ni celui de la destruction ni celui de la création. Il s’agit seulement de ne ressembler à rien. »
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date : 18-04
« On y trouve, pêle-mêle, des lévriers de marbre, des danseuses au cygne, des Dianes chasseresses en galalithe verte, des lanceurs de disque et des moissonneurs, tout ce qui sert aux cadeaux d’anniversaire ou de mariage, tout le peuple affligeant qu’un génie commercial et farceur ne cesse de susciter sur les dessus de nos cheminées. »
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date : 18-04
« Depuis cinq jours que la pluie coulait, sans trêve sur Alger, elle avait fini par mouiller la mer elle-même. »
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« Il éprouve un haut-le-cœur au moment de déposer son maigre don sur l’abdomen de celui que l’on appelle « le malade ». La peau, tannée, n’est plus qu’un parchemin qui colle, brunâtre, aux os émaciés d’un homme dont la dépouille souille des draps d’un blanc éclatant et brodés de jolis motifs. Les orbites sont creuses, sans vie, tournées vers le vide abyssal de la mort. Les chairs sont sèches, les ongles jaunes et les dents sales. Seuls les cheveux du défunt brillent de leurs reflets argentés, propres, peignés, savamment coiffés d’une raie sur le côté en une mascarade pathétique. Ses hôtes remercient le cadavre, certains lui parlent, le réconfortent, lui disent qu’ils sont heureux d’être auprès de lui. D’autres sont assis et se repaissent goulûment d’une fricassée de légumes insipides mélangés à du riz collant. »

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« Il avait le faux accent semi-populaire qu’affectionnent les jeunes de la haute, le sourire aussi superficiel qu’un ministre, mais à la manière dont son regard glissa sur elle, il l’avait déjà classée dans la case « sous-fifres ». »
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« Mais je me rends très vite compte qu’il me manque certaines qualités indispensables à un diplomate et plus encore à un commis de l’État. Car si j’ai déjà acquis toute l’hypocrisie nécessaire à la moindre réussite dans cette carrière qui en requiert plus que tout autre, cependant, il me manque totalement l’âme d’un courtisan qui se doit, par surcroît, d’être un inconditionnel. Je ne m’imagine nullement servant un jour un régime et, le lendemain, avec la même sérénité, un autre. »
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« Il serait le genre de type à mentionner sur un message : « Très secret. Détruire avant de lire ! ». »
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«  C’est ce que vous m’avez appris, inspecteur, « L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit. »
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« Il voulait vivre comme moi, avec un chat et un âne. Au milieu de la nature. On a étudié que les gens qui vivent en forêt avaient un pouls, une pression artérielle et un taux de cholestérol statistiquement plus bas. « 
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« Le monde est une scène de théâtre, mais les rôles y sont parfois mal distribués. » (Oscar Wilde)
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« L’autre représentait un buste de Brutus dans un musée italien et une phrase de Blaise Cendrars : « la sérénité ne peut être atteinte que par un esprit désespéré, et pour être désespéré il faut avoir beaucoup vécu et aimer encore le monde. »
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« - Le mec a quitté Matignon pour partir diriger une entreprise d’État inconnue.(…)
- Ces types sont insaisissables. Ce sont des carpes : ils se planquent dans la vase, se nourrissent de toutes les saloperies et vivent plus longtemps que les autres poissons de la mare. »
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« Il avait fréquenté trop de politicards pour leur faire confiance. Il formait une espèce à part, en descendance directe de l’anguille. »
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« Sa philosophie tenait en peu de mots : l’existence est une vallée de misère. Confronté à cette triste réalité, j’ai décidé de phagocyter les repus. J’aime trop mon mois pour l’obliger à récolter des rogatons. La société n’est qu’une jungle ou les gros avalent les petits. Pourtant, la morale est sauve, on finit tous dans le trou, c’est ce que j’appelle l’égalité, la liberté et la fraternité. Je ne cause de tort à personne, j’engrange un maigre surplus. »
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« Kaplan pencha pour regarder ce qu’il lui montrait au sol, et là elle découvrit, émerveillée, un spectacle incroyable provoqué par un effet d’optique. Une caravane d’une cinquantaine de dromadaires avançait dans la plaine rase et ocre. Chaque dromadaire n’était qu’un minuscule point imperceptible, se confondant avec la couleur de la terre, à partir duquel les rayons obliques du soleil renvoyaient sur le sol d’immenses ombres portées à quarante-cinq degrés, noires et mouvantes. La beauté de ce théâtre d’ombres, conjuguée à la fatigue et à la tension émotionnelle de ces derniers jours, lui tira les larmes des yeux. Elle repensa alors à la carte postale épinglée au mur du garage, et elle devina que le Français avait rejoint l’une des innombrables caravanes pour se soustraire à la justice d’une société où il n’avait désormais plus sa place. »
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date : 02-04
« Qui ça, la Tortue ?
Une vieille insensible aux problèmes moraux
Et qui fait du footing en costume à carreaux. »
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date : 02-04
« L’Arrosoir, surnommé le « Chauve Intermittent »,
Parce qu’on voit pousser, aussitôt qu’on le penche,
Sur son crâne de cuivre une perruque blanche ! »
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date : 02-04
« S’élançant du milieu des grands choux brocolis,
Et tournant vers le dieu dont il quête l’aumône
Sa figure de nègre a collerette jaune,
Le tournesol se donne un vert torticolis. »
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« Je pensai alors à ce que Dostoïevski faisait dire à l’un de ces personnages damnés :
– Tant qu’il y aura au monde un enfant, un seul enfant, malheureux, je ne pourrai pas croire à Dieu…
Et, regardant la petite fille de Macao, j’ajoutai intérieurement :
– Encore moins aux hommes. »
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« Là, dominant une vue immense, faite de flots, de navires, de parcs somptueux et de collines sur lesquelles s’accrochaient de misérables villages de boue, un tigre en plâtre, grandeur et couleur nature et toutes ses stries brillant au soleil du crépuscule, bondissait vers l’abîme, qui se creusait sous son socle. »
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« Et surtout, surtout, à chaque instant, sous toutes les perspectives, les jonques fleurissaient les bras de mer. Tous les voiliers sont beaux et tous ils portent l’une des plus vieilles chimères de l’homme dans leur gréement ailé. Mais les barques des mers de Chine, parce qu’elles n’ont pas changé de dessin depuis des siècles, que leur château arrière s’élève sur l’eau, comme une gueule de dragon, que leur armature est faite de bambous, que leur s voiles ont la forme et la couleur d’énormes feuilles rousses, aux nervures délicates, que dressées, inclinées ou couchées elles décorent leurs mâts de frondaisons miraculeuses, et que souvent, rapiécées, déchirées, elles laissent passer à travers leur flottante tenture le feu du soleil et l’azur du ciel, que leur équipage est fait d’hommes ou de femmes, aux yeux bridés et secret– ces barques des mers de Chine dépassent toutes les autres en pouvoir de mythe et d’évasion. »
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« Le mélange d’ouvrages périssables et du roc éternel, du mouvement des vagues et des flots de la foule, de la mer immortelle et des embarcations fugitives, a fait de Hong-Kong un lieu singulier et sublime, un des monstres sacrés de l’univers. Et d’abord, par son incroyable beauté. Lorsque, de la cime aiguë de l’île, on saisit en un seul regard ses baies et ses criques, ses toits et ses fleurs, et le lavis des routes rouges, et la courbe des pentes vertes et les villages de boue ocre perchés sur les collines, et, en bas, le dessin de l’immense ville étagée de rue en rue jusqu’à la surface des flots, et que, de l’autre côté du bras de mer s’étale et poudroie une cité énorme encore - celle de la terre ferme qui s’appelle Kowloon, cependant que sur l’étendue liquide et bleue qui les sépare, transbordeurs, canots et vedettes tissent sans arrêt, une trame de sillage écumeux, et que les paquebots, les cargos, les bâtiments de guerre se balancent comme des jouets féeriques sur les vagues ensoleillées, et que les jonques à haute poupe dont les voiles miraculeuses, prennent la forme de feuilles couleur d’automne, d’ailes de papillon géant ou de nageoires de poissons fabuleux, naviguent nonchalamment entre les rives ou cinglent vers le large, que les sampans se glissent partout comme des fourmis nautiques et que plus loin, toujours plus loin, iles et détroits, promontoires et golfes, prolongent sans mesure ni fin le paysage dans l’espace des hommes et la durée des Océans– alors, celui qui le contemple, ébloui, enivré, éprouve, au fond de son ravissement, une crainte étrange et merveilleuse. »
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