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Dalva


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Description ajoutée par TerverChante57 2022-07-05T12:03:47+02:00

Dalva, c'est l'histoire d'une femme de quarante ans, belle, tempétueuse et passionnée, qui part à la recherche de ceux qu'on lui a arrachés : un père, un amant presque frère, un fils, des passants furtifs qu'elle ne peut oublier.

Une tendre errance au pays de ses amours sauvages. Une plongée vertigineuse dans l'histoire d'un pays depuis un siècle. Une merveille par le chef de file de l'école de Montana.

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Description ajoutée par anonyme 2017-04-10T21:00:54+02:00

Pour reprendre le contrôle de sa vie, Dalva s’installe dans le ranch familial du Nebraska et se souvient : l’amour de Duane, les deuils, l’arrachement à ce fils nouveau-né qu’elle cherche obstinément. Meurtrie mais debout, elle découvre l’histoire de sa famille liée à celle du peuple sioux et d’une Amérique violente. Chef-d’oeuvre humaniste, « Dalva » est un hymne à la vie.

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Description ajoutée par PoppyZ 2016-03-28T19:06:58+02:00

De retour sur les terres de sa famille dans le Nebraska, Dalva Northridge, assistante sociale à Santa Monica, est confrontée à son passé. Pour réussir à vivre au ranch de sa mère, elle doit se souvenir, d’absolument tout, d’elle, de ses origines, de son amour pour la vie, de ses doutes et de ses douleurs. Plusieurs deuils, nous nous en doutons, sont passés par là. D’abord celui de son père lorsqu’elle avait dix ans. Il a été abattu en Corée. Celui de son grand-père ensuite, lui qui l’a élevée. Il est mort lorsqu’elle avait dix-sept ans. Et surtout, c’est le deuil de son amant, qu’elle avait rencontrée à quinze ans et avec lequel elle avait vécu une brève mais intense passion. Ils furent séparés parce que sa famille gardait des secrets, comme le lecteur s’en rend vite compte. Mais elle devait se souvenir de Duane pendant toute sa vie, d’autant plus lorsqu’elle attend un enfant de lui, qui lui est ôté à la naissance. Quinze ans plus tard lorsqu’elle retrouvera Duane à son retour de la guerre du Viet-Nam, c’est pour l’épouser. Mais il est rentré traumatisé de la guerre, et se donne la mort au terme d’un voyage de noce dans un village de pêcheurs en Floride. Il est entré dans l’eau et n’en est plus ressorti. Dalva en restera meurtrie. Le seul être qui la rattache à lui, elle l’a abandonné à sa naissance. Et alors que l’enfant aurait trente ans, Dalva sait qu’elle va devoir le retrouver pour faire fuir les démons du passé.

Mais pour retrouver son enfant, elle devra comprendre son existence à elle, et avant tout comprendre les secrets de son union interdite avec le père de l’enfant abandonné. Jeune métis indien, ouvrier agricole au ranch de son grand père, Duane Cheval-de-pierre est lié par sa mère Rachel à la famille de Dalva, et plus exactement à son grand-père, à son père, et à son oncle Paul. On peut aisément imaginer la manière dont ils sont liés. Paul, qui vit désormais dans le désert de l’Arizona avec ses propres tourments et sa meute de chiens, avait joué un rôle important dans les drames vécus par sa nièce. Lorsqu’elle avait été séparée de son amant, puis de son enfant, puis endeuillée, c’était chez lui, toujours, dans le désert, qu’elle se rendait. Confrontée aux éléments et à la philosophie de son oncle, elle survivait à ses blessures. Sa mère, Naomi, veuve depuis quarante ans, institutrice à l’école du village, va prendre sa retraite et propose à sa fille aînée de prendre sa place. Dalva, quoique vivant depuis des années en Californie, n’est plus faite pour son travail social. Elle ne supporte plus la douleur des enfants dont elle doit s’occuper. Le dernier d’entre eux a été violé par son oncle de nombreuses fois et si violemment, qu’il en est un passage insoutenable à lire. Dalva, enragée, a assené au monstre un geste qui lui fait perdre son job. Au ranch des bords de la Niobrara, Dalva retrouve Lundquist, vieux cow-boy qui s’occupe du ranch de sa famille depuis le temps de son grand-père. Elle retrouve aussi sa petite soeur Ruth, mère d’un adolescent ingrat dont le père, qui a viré de bord et est devenu gay, a failli coucher une fois avec Dalva. Ruth raconte une virée avec un prêtre catholique qu’elle a défroqué et duquel elle tombe amoureuse. Naomi leur raconte ses souvenirs de femme, mais sans radoter. Ah oui ! Et Dalva avait été suivie depuis Los Angeles par son amant, un prof d’histoire à Stanford, mou et alcoolique, à propos duquel elle racontera à sa mère et sa sœur, qu’il ne la fait pas grimper aux rideaux mais est de bonne conversation, ce qui n’est pas si négligeable.

Michael n’est pas venu enterrer ses belles godasses dans la boue et les bouses simplement pour les beaux yeux de Dalva. Spécialiste de l’histoire des amérindiens et particulièrement de la période de leur écrasement par l’armée américaine, il avait rencontré Dalva parce qu’elle avait des choses à lui raconter à propos de sa famille. Son arrière-grand-père, le vieux Northridge, était de ces pionniers qui au lendemain de la guerre de Sécession, était parti dans les grandes plaines enseigner aux indiens l’art et la manière de cultiver les céréales, dans le but de les sédentariser dans leurs réserves. Loin de réussir sa tâche, en raison de l’aridité des terres allouées, il épousa une indienne de laquelle il eut le grand père de Dalva. Et ça, c’est important pour Dalva, le fait qu’elle soit métisse. Ça implique qu’elle ne fait pas entièrement partie de ce peuple de vainqueurs. Autre chose, et non négligeable, le vieux Northridge s’était construit ce superbe ranch où tous ses descendants continuent de s’ébrouer plus d’un siècle après lui. Il avait malgré tout été intégré dans la famille de sa femme, et délaissa sa propre famille, établie en Nouvelle-Angleterre, plus proche des universités que des prairies d’herbes hautes. Délibérément, le vieux Northridge choisit le camp indien à un moment de sa vie, moment irréversible dans l’histoire, et moment clé duquel Michael aimerait retrouver une trace. Alors Dalva, parce qu’elle s’est tout de même attachée à ce type qu’elle aimerait détester, finit par lui ouvrir le coffre contenant les carnets de son arrière-grand-père. Elle se plonge dedans, à ses dépens, et découvrira au fil de ses lectures les terribles secrets de ses origines.

Une saga familiale, historique, naturaliste, policière et sociale, Dalva, c’est tout ça. Avec aux commandes, comme on la connait, la verve d’un Jim Harrison au plus fort de son style. Dalva, c’est une expérience mystique. Le lecteur refermera ce roman avec l’étourdissement qu’il avait connu la première fois qu’il avait tiré sur un joint, ou peut-être la fois où il a senti le souffle divin sur sa nuque, que les plus croyants d’entre vous, lecteurs, aurez connu et reconnaitrez. Un fleuve de plus de cinq cent pages qui entraînera son lecteur au plus profond des tourments de la vie. Il y a dedans toute la détresse de destins brisés et toute la détresse d’un peuple brimé. Il y a les sujets forts de l’œuvre de Jim Harrison. Tout l’humanisme et cependant toute la violence qu’a connu l’humanité. Il y a, omniprésente, la nature. Celle, sauvage, du Nebraska. Celle qu’a découverte l’aïeul de Dalva, et celle qu’elle retrouve à son retour de Santa Monica. Il y a les grandes plaines, il y a le désert d’Arizona, il y a le golfe de Californie, il y a l’océan Atlantique et les Keys de Floride. Ce roman, comme tous les autres romans de Jim Harrison, est un hymne à la nature. C’est le plaisir des sens, écrit par un homme qui a perdu un œil étant enfant, et qui s’émerveille de tout ce qu’il voit. Avec lui, lorsqu’il les décrit, le lecteur sent les odeurs de prairie. C’est tout l’amour d’un homme pour les chevaux, les oiseaux, les chiens, le vent, la terre, les arbres et le ciel. C’est la nature, la première, qui aide les personnages du roman à se sortir de leur mélancolie. La nature, c’est aussi l’amour que se portent les personnages entre eux. L’amour filial qui prime sur le reste. L’écrivain avait perdu sa sœur et son père dans un même accident de la route lorsqu’il était jeune. Il sait retranscrire dans son roman la douleur qui en résulte. Et qui éclate au visage du lecteur. Lorsque Dalva pense à son enfant, Jim Harrison réunit dans son écriture toute la détresse et tout l’espoir de cette femme. Elle n’a eu qu’un enfant, elle sait qu’il vit quelque part sans le connaître. À l’endroit où il se trouve, sans le savoir, il perpétue le sang de ses ancêtres. Et ça la torture. C’est aussi l’amour sensuel, le plaisir des sens que l’on a retrouvé dans toute l’œuvre de l’écrivain, de son énergique et tendre jeunesse des sixties à ses derniers textes de vieil homme du troisième millénaire toujours sensible à la beauté et la douceur des femmes. Ça aussi c’est la nature.

www.leblogdemanu.com/livres/dalva-de-jim-harrison

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Description ajoutée par newmoon 2010-12-12T17:00:58+01:00

Dalva est le grand roman américain de Jim Harrison, son livre le plus abouti et le plus poignant depuis le fabuleux Légendes d'automne. Harrison nous donne ici un portrait mythique de l'Amérique, du génocide de la nation indienne jusqu'aux séquelles de la guerre du Viêt-nam et au cynisme des années 80, en centrant son livre sur la vie tumultueuse et meurtrie d'une femme de quarante-cinq ans, Dalva.

A travers cinq générations de sa famille de pionniers, c'est le mythe du jardin d'Eden, de l'innocence perdue que Harrison met en scène avec ce sens de l'espace, cet extraordinaire lyrisme, cette violence et cette étrange pudeur qui lui sont propres.

"Comment, après avoir si bien commencé, avons-nous pu en arriver là ?"

A cette question ô combien romanesque et melvillienne, Jim Harrison apporte avec Dalva, son chef-d'œuvre, une réponse éblouissante.

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Description ajoutée par Nezus 2009-07-28T09:50:19+02:00

Amazon.fr

D'un balcon sur le Pacifique aux plaines du Nebraska, Dalva est un long souvenir. C'est le roman de la vie vaille que vaille avec son lot de meurtrissures qu'il faut porter au coeur. Mais avant que ne se creusent les brèches taillées par le désespoir, l'ironie salvatrice et pudique éloigne le tragique. Dalva, c'est une histoire de femmes où le passé revisité s'écoule comme un torrent qui n'a pas le goût du regret ni de la mélancolie. Dalva, c'est aussi une femme trop belle, tempétueuse et passionnée qui a grandi trop vite, partie à la recherche de ceux qu'on lui a arrachés comme une partie d'elle-même. Les hommes de sa vie, un père, un amant presque frère, un fils, des passants furtifs qu'elle ne peut oublier. Alors, à quarante ans, Dalva repart pour une tendre errance au pays de ses amours sauvages. Dalva, enfin c'est l'émouvante pudeur de Jim Harrison, amoureux de la terre, attaché à cette force vive que nous donne la vie. --Lenaïc Gravis et Jocelyn Blériot

Quatrième de couverture

Dalva est le grand roman américain de Jim Harrison, son livre le plus abouti et le plus poignant depuis le fabuleux Léggendes d'automne. Harrison nous donne ici un portrait mythique de l'Amérique - du génocide de la nation indienne jusqu'aux séquelles de la guerre du Viêt-nam et au cynisme des années 80 - en centrant son livre sur la vie tumultueuse et meurtrie d'une femme de quarante-cinq ans, Dalva. A travers cinq générations de sa famille de pionniers, c'est le mythe du jardin d'Eden, de l'innocence perdue que Harrison met en scène avec ce sens de l'espace, cet extraordinaire lyrisme, cette violence et cette étrange pudeur qui lui sont propres. " Comment, après avoir si bien commencé, avons-nous pu en arriver là ? " A cette question ô combien romanesque et melvillienne, Jim Harrison apporte avec Dalva, son chef-d'oeuvre, une réponse éblouissante. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

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