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Prisonnier et profondément abattu, Gondemar est amené vers Carcassonne dans un convoi dirigé par Alain de Pierrepont et le demi-frère de Simon de Montfort, Guillaume des Barres. En chemin, un templier qui croise sa route remet à Gondemar un message signé par le Cancellarius Maximus qui lui ordonne de remettre la première part de la Vérité à Montfort. Quelques jours plus tard, le même homme tente de l’assassiner pendant une embuscade. Gondemar ne comprend pas à quel jeu il peut bien jouer, mais la situation lui fait réaliser que la Vérité ne doit pas être abandonnée sans combattre.
Le Damné convainc Ugolin de fuir avec son amie pour prévenir ce qui reste des Neuf de Montségur de la situation, en espérant qu’ils l’aideront à sauver Cécile et la Vérité.
Arrivé à Carcassonne, Gondemar retrouve Simon de Montfort, Arnaud Amaury, le légat du pape, et Véran. Sous ses yeux, ils brûlent le suaire et lui rappellent le marché conclu à Gisors. Gondemar se dirige vers Montségur et, après avoir convaincu les Neuf de sa bonne foi, il organise avec eux une expédition visant à capturer Montfort et à secourir Cécile. L’opération est interrompue par des inconnus qui attaquent les Neuf, les capturent et les conduisent dans les Pyrénées. Là, Gondemar apprend que le véritable Cancellarius Maximus habite dans les montagnes, et qu’il règne sur un ordre nommé Praetorium, ultime responsable de la Vérité. Car celle que Gondemar a tant voulu protéger n’est qu’un leurre destiné à lancer l’Église sur une fausse piste.
Pour protéger la Vérité, ce sont les preuves du mensonge de l'Église chrétienne que Gondemar devra livrer, en espérant que cela suffise pour assurer son salut et sauver la vie de Cécile.
De tous les jours que Dieu et Métatron m'avaient accordés après mon séjour parmi les damnés, le huitième de mars de l'An du martyre de Jésus 1212 fut le plus sombre. Je quittais Gisors vaincu et condamné. Je me sentais brisé. Mon échec était total. Sous peu, je serais stigmatisé comme un traître. Mon nom serait à jamais honni parmi les Neuf, chez les cathares et même dans le royaume de Dieu. Je me dirigeais vers Carcassonne, mais aussi vers l'enfer. Une éternité de tourment m'attendait et Métatron s'en réjouirait à satiété. Au fond, il avait toujours su que je ne serais pas à la hauteur de la mission qu'il m'avait confiée. Il connaissait ma nature profonde mieux que quiconque. Il me savait faillible et vulnérable. En m'affligeant d'une conscience, il m'avait donné l'instrument de mon salut ou de ma déchéance. Il me revenait d'en user librement et de faire mes propres choix en acceptant leurs conséquences. L'un de ces choix avait été la vie de Cécile. Et le résultat en serait ma damnation éternelle.
À cheval sur Sauvage, je passai les deux premiers jours du voyage dans un état second. Mon attention se reportait sans cesse sur ma senestre redevenue inutile sans les lames créées par le forgeron de Mondenard. Sa chair était à l'image de mon âme : desséchée et flétrie.
En quittant Toulouse pour Gisors, où j'espérais retrouver la seconde part de la Vérité, j'avais volontairement laissé Cécile à l'écart, croyant la protéger. Dans mon coeur, l'espoir et le chagrin s'étaient fait une place. Porteur des instructions cueillies au dernier souffle de la mendiante, j'avais chevauché avec Pernelle et Ugolin, trop fidèles pour me laisser partir seul. En chemin, l'Ignis sacer avait presque eu ma peau. Je m'en étais tiré avec une senestre infirme, mais même cela n'avait pas entamé ma détermination, nourrie par le sentiment d'approcher de la conclusion de ma quête, par l'espoir du salut de mon âme et même la possibilité d'une vie normale.
Incognito, je m'étais joint à un convoi de croisés de retour du Sud et, en me faisant passer pour l'un d'eux, je m'étais dirigé vers Gisors. Mon chemin avait croisé celui de Jaume et celui du fils de mon pire ennemi. Croyant que son père l'envoyait prendre livraison de la seconde part de la Vérité, j'avais espéré tirer parti de la situation et m'étais donc retrouvé garde du corps de Guy de Montfort. J'avais établi avec lui une relation d'intimité et attendu qu'on lui livre les documents pour m'en emparer et fuir. Contre toute attente, la piste menait plutôt vers les Neuf du Nord. Enfin, c'est ce que j'avais cru. Une fois de plus, ma naïveté et mon orgueil m'avaient aveuglé.
Avec l'aide d'Alain de Pierrepont, de Lambert de Thury et du moine Guillot, dont aucun n'était ce qu'il prétendait, Pernelle, Ugolin et moi étions parvenus à retrouver la seconde part, cachée dans une chapelle souterraine aménagée jadis par les familles fondatrices. Au-delà des nombreux dangers évités de justesse, grâce à l'intelligence de mon amie et à l'érudition du moine, Spoiler(cliquez pour révéler)j'avais trouvé l'image de Ieschoua, imprégnée sur un tissu par je ne sais quelle sorcellerie. Les traces de sang et la posture du corps constituaient la preuve irréfutable qu'il était vivant lorsqu'on l'avait descendu de la croix. Ce simple linceul millénaire avait le pouvoir de détruire l'Église.
C'est une des meilleurs séries de livres québécois que j'ai lu. J'ai apprécié chaque tome, chaque rebondissement, chaque surprise. Je remercie l'auteur que j'ai eu la chance de rencontrer en personne lors du Salon du livre de l'Estrie 2023 et qui m'a gentiment signé les volumes que j'au acheté pour l'occasion.
J’ai énormément aimé cette saga. Ce DaVinci Code médiéval, écrit pas Un historien est un vrai petit bijoux. Quand mon fils m’a “obligé” à lire cette histoire je ne m’attendais pas à autant aimer mais c’est fou j’ai dévoré les 4 briques en 6 jours..😅 j’ai besoin de dormir là mais avec cette fin qui me retourne les trippes, caline que ce sera pas si facile 😂
Cette sage est clôturée par ce tome, un peu différent des 3 premiers : dans celui-ci, Gondemar se pose de nombreuses questions sur son engagement, sur son futur éventuel. On est plus dans l'introspection que dans l'action.
En résumé : une saga d'une rare intensité que je vous encourage à découvrir
J’ai bien aimé cette série bien que la fin ne soit pas forcément à mon goût. Le quatrième tome est celui que j’ai le moins aimé malgré tout. Mais cette série qui m’a été conseillé ne m’a pas déçue. Ça se lit très bien et vite, bien écrit, Hervé Gagnon gagne à être connu.
Ce tome 4 finit magnifiquement cette série sur l'univers des cathares et la Vérité. Le tome 3 était déjà remplie de bonne intrigue mais ce dernier l'est encore plus. Très bon tome, superbe série.
Ainsi s'achève cette sublime saga médiévale. Tout au long de ces quatre tomes, j'ai savouré l'histoire, j'ai dévoré avec délectation chaque page, j'ai été emportée par le style et l'écriture de l'auteur, j'ai été totalement conquise par tous les acteurs de cette épopée cathare
Résumé
Prisonnier et profondément abattu, Gondemar est amené vers Carcassonne dans un convoi dirigé par Alain de Pierrepont et le demi-frère de Simon de Montfort, Guillaume des Barres. En chemin, un templier qui croise sa route remet à Gondemar un message signé par le Cancellarius Maximus qui lui ordonne de remettre la première part de la Vérité à Montfort. Quelques jours plus tard, le même homme tente de l’assassiner pendant une embuscade. Gondemar ne comprend pas à quel jeu il peut bien jouer, mais la situation lui fait réaliser que la Vérité ne doit pas être abandonnée sans combattre.
Le Damné convainc Ugolin de fuir avec son amie pour prévenir ce qui reste des Neuf de Montségur de la situation, en espérant qu’ils l’aideront à sauver Cécile et la Vérité.
Arrivé à Carcassonne, Gondemar retrouve Simon de Montfort, Arnaud Amaury, le légat du pape, et Véran. Sous ses yeux, ils brûlent le suaire et lui rappellent le marché conclu à Gisors. Gondemar se dirige vers Montségur et, après avoir convaincu les Neuf de sa bonne foi, il organise avec eux une expédition visant à capturer Montfort et à secourir Cécile. L’opération est interrompue par des inconnus qui attaquent les Neuf, les capturent et les conduisent dans les Pyrénées. Là, Gondemar apprend que le véritable Cancellarius Maximus habite dans les montagnes, et qu’il règne sur un ordre nommé Praetorium, ultime responsable de la Vérité. Car celle que Gondemar a tant voulu protéger n’est qu’un leurre destiné à lancer l’Église sur une fausse piste.
Pour protéger la Vérité, ce sont les preuves du mensonge de l'Église chrétienne que Gondemar devra livrer, en espérant que cela suffise pour assurer son salut et sauver la vie de Cécile.
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