« Il réessaya une heure plus tard, toujours rien, puis une nouvelle fois en toute fin d’après-midi, là encore pas de réponse, c’était inquiétant ces sonneries qui se perdaient dans le vague, il se représentait ce décor oublié là-bas, le téléphone au fond du couloir, la maison isolée, vide peut-être, par distraction il revisitait mentalement l’endroit mais finalement ce coup-ci on décrocha, une petite voix de môme à l’autre bout du fil qui lui lança :
– Allô, c’est qui ?
Cette intonation solaire, cette voix de gosse improbable, elle lui fit tout de suite penser à celle de son frère, mais ça ne se pouvait pas, bien sûr que ça ne se pouvait pas, il y avait bien longtemps qu’Alexandre n’était plus un enfant, et surtout il était mort depuis dix ans. Par pur réflexe il hasarda :
– Alexandre ?
– Oui, et toi c’est qui ? »

M. Pike roulait au pas dans la rue principale de la ville. Il y avait des palmiers devant la plupart des magasins, mais ils étaient en plastique ! Il faut dire que le New Jersey n'est pas la Californie. M. Pike a tourné dans une petite rue et s'est arrêté devant une maison rose entourée de gravier blanc. Un panneau indiquait «Ellen Baldwin, agent immobilier». Il nous a demandé de l'attendre sagement dans la voiture et il est revenu quelques minutes plus tard avec un trousseau de clés, une chemise pleine de prospectus et un ballon gonflable.
- Je le veux ! s'est empressé de crier Nicky en désignant le ballon.
- Non, il est pour moi ! a pleurniché Margot.
- Moi aussi, je le veux ! a renchéri Claire. Je me suis emparée du ballon.
- Le ballon est à tout le monde ou à personne.
- Merci, Lucy, a soupiré M. Pike.
- Mais il ne peut pas être à tout le monde, a rétorqué Nicky.
- Alors il n'est à personne. Nicky m'a regardée, l'air ravi.
- S'il n'est à personne, je veux bien le prendre. Heureusement, la maison n'était pas loin. Notre arrivée a coupé court à toute discussion.
- Terminus ! a fait M. Pike. Tout le monde descend !
- Ouais, hourra !
Nous avons bondi hors de la voiture. Mme Pike s'est garée derrière nous, dans l'allée. Les triplés et Vanessa se sont précipités vers la maison. Les autres couraient et sautaient dans tous les sens. Pas de doute, l'air sentait merveilleusement bon. Ce n'était pas seulement le sel, c'était quelque chose d'autre que je ne pourrais décrire, une fraîcheur complètement différente de l'air de la campagne.
- Nous y voici, nous y voilà, nous revoilà, dans notre maison de pain d'épice, près de la plage d'or ! a joyeusement entonné Vanessa.
- C'était joli, ça, a fait Byron avec admiration.
C'était vrai que la maison semblait être faite en pain d'épice, avec ses balustrades torsadées et ses corniches. Elle était grande, joliment peinte en jaune avec des bandeaux blancs et donnait sur l'océan. J'ai consulté Mary Anne du regard et j'ai vu qu'elle était également sous le charme. Je savais qu'elle était déjà en train d'imaginer ce qu'elle allait écrire à Carla.
- Est-ce que vous louez la même maison chaque année ? ai-je demandé à Mallory en l'aidant à décharger les bagages de la voiture.

Lorsque son/sa meilleur(e) ami(e) lui propose de partir en Inde, votre héros n'en revient pas ! Cependant, il(elle) est bien loin d'imaginer ce qui l'attend car il(elle) va se retrouver impliqué(e) dans une aventure incroyable qui le(la) conduira de Bénarès aux contreforts de l'Himalaya. L'humour et les rebondissements seront au rendez-vous mais il(elle) va tout de même risquer sa vie dans une aventure délirante au coeur d'un pays mystérieux...

Votre héros sera-t-il prêt à côtoyer Louis XVI, Marie-Antoinette, Chérin ou encore Voltaire? Nous sommes en l’an 1777, au château de Versailles. Louis XVI règne, il a 23 ans. Marie-Antoinette son épouse, en a 22. Votre héros occupe alors une des positions les plus en vue au château : il est le premier commis du généalogiste du roi ! Alors que depuis quelques semaines un mystérieux personnage se montre absent à l’appel du roi, toute la Cour frémit. Qui ose ainsi manquer de respect à la Cour royale ? Doté d’une terrible audace, votre héros va décider de faire ce que personne n’a jamais osé faire…

Dans le Journal personnel
de Van Alen-Laurent

11 novembre 2005
Il y avait sept d'entre nous à la création de l'ordre. Un conclave a été appelé à répondre à la menace croissante posée par le Chemin des Morts. Avec moi, présents à la réunion ont été Gemellus cousin de l'empereur, un faible; Octilla et Halcyon des vestales, le général Pâris, chef de l'armée impériale; Pantaelum, un sénateur de confiance, et Onbasius, un guérisseur.
Dans mes recherches prodigieuse j'ai décidé que Halcyon a probablement été le gardien de la Porte de la promesse, la troisième porte connue de l'Enfer. Je suis venu à la conclusion que cette porte est instrumentale à découvrir la vérité derrière l'existence de nos ennemis censées être vaincues. C'est la porte nous devons nous concentrer sur, le plus important dans le lot.


D'après ce que je peux en déduire, Halcyon s'établit à Florence, et je suis convaincu que sa dernière incarnation enregistré comme Catherine de Sienne, une mystique italienne célèbre «né» en 1347. Cependant, après Catherine, AOS «mort», il n'existe aucune trace d'autres d'une présence importante des femmes dans la ville. Il semble qu'elle n'avait pas d'héritiers de son nom, et sa ligne disparaît tout simplement après la fin de la domination Giovanni de Médicis en 1429.
A partir de la quinzième siècle, la ville devient le centre de la montée en puissance de l'Ordre Petruvian, fondée par le prêtre ambitieux Père Linardi Benedictus. L'école et le monastère Petruvian sont actuellement sous la direction d'un Père Roberto Baldessarre. J'ai écrit au Père Baldessarre et à demain Florence.

Un Chase
Florence, 1452

Le bruit des pas sur pavées écho à travers les rues vides de la ville. Tomasia gardé le rythme, son chevreau pantoufles guère faire de bruit, tandis que derrière elle se la tape de lourdes bottes Andreas et plus léger étape Giovanni. Ils ont couru dans un seul fichier, une unité étanche, utilisée pour ce genre de discipline, qui sert à se fondre dans l'obscurité. Quand ils sont arrivés au milieu de la place, ils se séparèrent.
Tomi a volé la pierre angulaire le plus proche et perché sur une corniche donnant sur la vaste panorama de la ville: le dôme à moitié construite de la Basilique du Ponte Vecchio et au-delà de la rivière. Elle sentait la créature était proche et prête à frapper. Leur objectif ne savait pas encore qu'il était suivi, et son coup serait immédiate et invisible, toutes les traces du sang Silver éradiquée et éteint, Äîalmost comme si la bête, Äîdisguised comme un garde du palais, Äînever existé. Même la créature, AOS dernier soupir doit être silencieux. Tomasia maintenu sa position, attendant que la créature à venir à elle, à tomber dans le piège qu'ils avaient prévues.
Elle a entendu grogner Dre, un peu hors d'haleine, puis à côté de lui, Gio, son épée dégainée déjà, comme ils ont suivi le vampire dans la ruelle.
Ce fut sa chance. Elle descendit de sa cachette, tenant son poignard avec ses dents.
Mais quand elle a débarqué, la créature était introuvable.
«Où-?" elle a demandé, mais Gio mit un doigt sur sa bouche et fit signe à la ruelle.
Tomi leva les sourcils. Ce qui était inhabituel.

Le sang d'argent avait cessé de converser avec un étranger à capuchon. Strange: la Croatan méprisé les Bloods et les Red évitée, sauf si elles ont été les torturer pour le sport.
"Devrions-nous?" elle a demandé, se déplaçant vers l'allée.
«Attendez, Andreas a ordonné. Il avait dix-neuf, haut et large, avec des muscles sculptés et un front féroce, Äîhandsome et impitoyable. Il était leur chef, et avait toujours été.
A côté de lui, Gio regardé lutin, presque féerique, d'une beauté qui ne pouvait pas être nié ou caché sous ses cheveux scraggly barbe et longue, hirsute. Il a gardé la main sur son arme, tendu et prêt à bondir.
Tomi a fait de même, et caressé le tranchant de son poignard. Il lui a fait sentir mieux de savoir qu'il était là.
«Que, regarder ce qui se passe du participant,« Dre a décidé.

Large de la côte italienne, The Present

Schuyler Van Alen marchait aussi vite qu'elle pouvait monter les escaliers en spirale en laiton poli menant à l'étage supérieur. Jack Force était debout au bord de l'arc quand elle a attiré son attention. Elle hocha la tête pour lui, le blindage ses yeux du soleil chaud de la Méditerranée. Il, AOS fait.
Bon, il a envoyé, et je suis retourné à l'établissement de l'ancre. Il a été brûlée par le soleil et hirsute, sa peau un écrou brun foncé, ses cheveux couleur de lin. Ses cheveux sombres propres était sauvage et hirsute d'un mois de l'air marin salé. Elle portait une vieille chemise de Jack qui avait été blanche et vierge et est désormais gris et en haillons à l'ourlet. Ils ont tous deux affiché que laconique, l'air détendu a! ies par les personnes en vacances perpétuelles: un paresseux, désoeuvrement altérée qui démentait leur désespoir vrai. Un mois est suffisamment long. Ils devaient agir maintenant. Ils avaient à agir dès aujourd'hui.
Les muscles des bras de Jack tendu comme il tirait sur la corde pour voir si l'ancre avait trouvé l'achat sur le plancher océanique. Pas de chance. L'ancre poussa alors il sort de la ligne à quelques pieds plus. Il leva un doigt sur son épaule droite, la signalisation à Schuyler pour inverser le moteur bâbord. Il laissa la corde aller un peu plus loin et tira à nouveau, les tresses gros blanc de la ligne d'ancrage frottement paume de sa main comme il le tira vers lui.
De son voile étés de Nantucket, Schuyler savait qu'un homme ordinaire aurait utilisé un treuil à moteur pour régler le sept à cent livres d'ancrage, mais bien sûr, Jack a été loin d'être ordinaire. Il tira plus fort, Äîusing quasi-totalité de ses forces, et les huit tonnes de yacht de la comtesse semblait fléchir un instant. Cette fois, l'ancre a tenu, calé dans le fond rocheux. Jack détendue et lâcha la corde, et Schuyler déplacé de la barre pour l'aider à le fil autour de la base du treuil. Au cours du mois passé, ils avaient

chaque trouvé du réconfort tranquille dans ces petites tâches. Il leur a donné quelque chose à faire pendant leur fuite tracée.
Pour tout Isabelle d'Orléans les avait accueillis à la sécurité de sa maison, Jack rappeler que Il était une fois, dans une autre vie, Isabelle avait été Lucifer's soeur bien-aimée, Drusilla,-épouse de l'empereur Caligula. Certes, la comtesse avait été plus que généreux envers eux: elle les avait bénis de tout le confort: le bateau, en particulier, a été complet et abondamment approvisionné. Pourtant, il devenait plus claire chaque jour qui offrent de la comtesse de la protection du droit d'asile a été morphing à l'accouchement. Il était déjà Novembre et ils étaient des prisonniers virtuels à sa charge, comme ils n'ont jamais été laissés seuls, ils n'étaient pas autorisés à quitter. Schuyler et Jack ont été aussi loin de trouver la porte de la promesse comme ils l'avaient été quand ils avaient quitté New York.
La comtesse avait donné tout sauf ce qu'ils ont le plus besoin: la liberté. Schuyler ne pense pas que Isabelle, qui avait été un grand ami de Laurent et Cordelia, et a été l'un des douairières vampire les plus respectés de la société européenne, était un traître Silver Blood. Mais bien sûr, étant donné les récents événements, tout semblait possible. En tout état de cause, si la comtesse avait l'intention de les garder prisonnier à perpétuité, ils ne pouvaient pas, AOT se permettre d'attendre pour le découvrir.
Schuyler regarda timidement à Jack. Ils avaient été ensemble un mois maintenant, mais même si elles ont été finalement un couple officiel, tout semblait si nouveau-son toucher, sa voix, sa compagnie, le sentir à l'aise de son bras autour de son épaule. Elle se tenait à côté de lui contre le rail, et il a enroulé son bras autour de son cou, son tirant plus proche afin qu'il puisse planter un baiser rapide sur le dessus de sa tête. Elle aimait ces baisers plus, trouvé un contentement profond de la façon dont il a convaincu son. Ils appartenaient à l'autre maintenant.
Peut-être que c'était ce que voulait dire Allegra, Schuyler pensée, quand elle lui avait dit de rentrer à la maison et arrêter de se battre, arrêter fuyant de trouver son propre bonheur. Peut-être que c'était ce que sa mère voulait lui faire comprendre.
Jack baissa les bras de son épaule, et elle a suivi son regard vers le petit bateau à rames "les garçons" ont été abaissement de l'arrière sur le clapot ci-dessous. Ils étaient un duo joyeux, deux Italiens, Venators Drago et Iggy (abréviation de Ignazio), au service de la comtesse et, pour toutes fins utiles, les geôliers Jack et Schuyler. Mais Schuyler était venu pour eux comme presque comme des amis, et la pensée de ce qu'elle et Jack ont été sur le point de faire mettre ses nerfs à fleur de peau. Elle espère que le Venators serait protégé du mal, mais elle et Jack ferait ce qu'ils avaient à. Elle s'émerveille devant son calme, elle pouvait à peine se tenir tranquille, qui rebondit de haut en bas sur la pointe des pieds en prévision.
Elle a suivi Jack au bord de la plate-forme. Iggy avait attaché la petite barque au yacht, et Dragoatteint l'avant pour aider Schuyler démissionner. Mais Jack a glissé de l'avant et brossé Drago côté afin qu'il puisse offrir Schuyler paume de sa main au lieu, jamais l'homme. Elle tenait la main comme elle a franchi la barrière et dans le bateau. Drago haussa les épaules et a stabilisé le bateau comme Iggy a le dernier des dispositions sur les paniers de pique-nique arc-plusieurs et sacs à dos remplis de couvertures et d'eau. Schuyler caressa son sac, confirmant que les fichiers de référentiel avec Laurent, notes du participant ont été à leur place habituelle.
Schuyler se retourna pour regarder de près sur la côte sauvage italien pour la première fois. Depuis qu'ils avaient appris de l'affinité d'Iggy pour les Cinque Terre, ils ont plaidé pour cette excursion d'une journée peu. Les Cinque Terre était une bande de la Riviera italienne peuplé par une série de cinq villes médiévales. Iggy, avec le ventre de sa large face et de la graisse, a parlé avec envie de courir le long des sentiers le long de la falaise avant de rentrer à des dîners en plein air avec vue sur les couchers de soleil sur la baie.
Elle n'avait jamais été à cette partie de l'Italie et ne savait pas trop à ce sujet, mais elle a compris comment ils pourraient utiliser l'affection Iggy pour sa ville natale à leur avantage. Il n'avait pas été en mesure de résister à leur suggestion de visite, et leur a permis un jour de congé de leur prison flottante. Il était l'endroit parfait pour ce qu'ils avaient prévu, comme les sentiers terminé dans les escaliers anciens qui s'étendait vers le haut pour des centaines de pieds. Les chemins d'accès serait abandonné cette fois de la saison touristique a été l'année au cours, comme l'automne a
temps froid pour les centres de villégiature populaire. Les sentiers de montagne les mènerait loin du bateau.
"Vous allez adorer cet endroit, Jack," Iggy a dit, l'aviron vigoureusement. "Vous aussi, signorina, dit-il. Les Italiens avaient un temps trop difficile de se prononcer Schuyler.
Jack grogna, tirant sur sa rame, et Schuyler essayé de a! ect un air de fête. Ils étaient censés être se préparer pour un pique-nique. Schuyler remarqué couvaison Jack, regardant la mer, se prépare pour la journée, et elle attrape-mouches son bras ludique. Ce devait être un répit tant attendu de leur temps sur le navire, une chance de passer une journée à explorer.
Ils devaient ressembler à un couple heureux avec pas de soins dans le monde, pas comme deux captifs sur le point d'exécuter une prison break.

Elena : -Je viens chercher mon Damon et Stefan ne fait que m'accompagner !
Bonnie fronça les sourcils mais ne dit rien .
Elena : -J'ai bien dit ce que je crois avoir dit là ?
Bonnie : - Oui !
Elena : Va chercher le médecin je crois que je suis encore malade !

Chapitre 1 : Page 2

Elle se croyait sur le point de vomir lorsque la douleur disparut , aussi subitement qu'elle était arrivée . Poppy se redressa et considéra d'un air triomphant son reflet échevelée dans le miroir .
-fais toi confiance, ma fille , et sa ira , se murmura telle avec un clin d'oeil complice .
Elle se pencha en avant , ses iris verts écarquillées de surprise devant les 4 taches de rousseurs qu'elle venait de découvrir sur son nez . Quatre et demi , à vrai dire . Ca lui donnait un air enfantin , tout mignon . Elle se tira la langue avant de se retourner avec gràce , sans peigner ses boucle cuivrées qui tombaient en bataille sur sa nuque .

Chapitre 1 : Page 1

En ce premier jour des vacances d'été , Poppy apprit qu'elle allait mourir .
C'était le lundi , le premier jour officiel (le week-end ne comptait pas ) . Elle s'éveilla le coeur léger en savourant la fin de l'école . Le soleil brillait à la fenêtre et venait donner une teinte dorée à ses draps .
Poppy les repoussa ,posa les pieds par terre et tressaillit .
Ouille ! Encore cette douleur dans le ventre . Comme si une machoire lui déchirait les entrailles pour se frayer un chemin vers son dos . Ca allait un peu mieux quand elle se penchait en avant .
Non , se dit elle . Je refuse d'être malade pendant les vacances . Je refuse . Un peu d'entrain et tout devrait rentrer dans l'ordre .
Pliée en deux - sois positive imbécile ! - , elle traversa le couloir pour se rendre dans la salle de bain au carrelage turquoise et or .

Jamais il n'a été aussi dangereux d'aimer !

Le Night World ne se limite pas à un endroit précis . Il nous entoure . Aux yeux des humains , les créatures du Night World sont belles , mortelles et irrésistibles . Un amie proche pourrait en faire partie - la personne que vous aimez aussi.

Les lois du Night World sont très claires : sous aucun prétexte son existence ne doit être révelée à qui que ce soit d'extérieur . Et ses membres ne doivent as tomber amoureux d'un individu de la race humaine . Sous peine de conséquences terrifiantes .

Voici le récit de ceux qui enfreignent ces lois .