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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-05-02T12:04:01+02:00

– Tu devrais discuter avec George, tiens, conclus-je. Tu serais étonné de la sagesse que cet homme possède. Et j’espère que c’était juste pour tenir Moira à l’écart que tu as dit que je n’étais rien. Parce que sinon, c’est que tu es un cas encore plus désespéré que je ne le pensais.

Je n’attends pas sa réponse, me retire de l’emprise de son regard, ce mélange d’incrédulité et de tristesse. De surprise, aussi. Et je m’en vais. En courant. Luttant pour retenir mes larmes et les tremblements de mon corps.

Luttant contre ma petite voix qui me dit que j’ai été dure avec lui.

Mais ma patience a atteint ses limites, là…

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-05-02T11:51:17+02:00

– Amy ! dit-il en brandissant sa main devant lui comme pour m’empêcher de continuer, comme si je ne m’étais pas déjà tue. Je te l’ai dit, je ne peux pas aimer.

– Ah non, tu ne veux pas aimer, nuance ! Ça n’a rien à voir ! De toute façon, aimer, ça ne se décide pas, ça se vit. C’est un sentiment qui nous dépasse. Que tu le veuilles ou non !

Je crois que George a déteint sur moi…

– C’est… compliqué, Amy, ne te fâche pas, je…

– Je me fâche si je veux ! Et oui, merci, mais tu l’as déjà dit que c’était compliqué ! Mais ça ne l’est pas, en vérité, dis-je d’une voix plus basse, essoufflée. C’est toi qui compliques les choses, Alistair. C’est toi qui te complais dans ta solitude, dans ton passé, dans tes barrières de…

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-05-02T11:47:54+02:00

– Tu pourrais au moins avoir la décence de me répondre, non ? continué-je, le corps crispé.

– Amy, ce n’est pas vraiment le moment, là… lâche-t-il d’une voix lasse.

– Oh. Je vois, vociféré-je. Tu as plus important à faire que de m’expliquer, c’est ça ?

– Amy, s’il te plaît, n’en rajoute pas. C’est déjà assez compliqué comme ça.

– Ah oui ? Et qu’est-ce qui est compliqué ? Moi ? Je fais tout pour te simplifier la tâche, au contraire ! C’est toi qui compliques tout !

– Amy, je…

– Je pensais qu’on avait franchi un cap, Alistair, le coupé-je. Mais, visiblement, non. Tu m’as parlé, tu t’es confié à moi, c’était bien ! Et quoi ? Rien ! Comme ce que je suis pour toi ! Je pensais que tu tenais à moi, mais en fait, tu es un bloc de glace ! Merde, je t’aime, moi, Alistair ! Je…

Oh. Non. Je l’ai dit.

Je ne voulais pas lui dire. Il ne mérite pas de l’entendre. Il ne mérite même pas que je discute avec lui. Mais oui, je l’aime, voilà. Trop tard…

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-05-02T11:46:42+02:00

Je le fixe sans répondre. Jusqu’à ce qu’il hausse un sourcil d’un air interrogateur.

– Ah, c’est à moi que tu parles ? demandé-je d’un ton ironique. Je croyais que je n’étais rien !

Alistair lâche un long souffle. Bruyant. Détourne le regard. Bloque sur ses pieds. Prend une inspiration pour parler, ouvre la bouche, puis laisse retomber ses épaules avec un air de dépit.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-05-02T08:09:04+02:00

– Vous lui faites du bien, Amy, vous savez, affirme-t-il de but en blanc. Je ne l’ai pas vu aussi… léger depuis des années. Il rit beaucoup avec sa fille, ça oui, il est très présent pour elle, mais… il y a quelque chose en plus depuis que vous êtes arrivée.

– Oh… Non… commencé-je à me justifier, rougissante.

– Je sais ce que je dis. Et je le connais bien, le loustic. Par contre, il a peur de l’amour. Alors j’espère que vous en possédez assez pour deux, parce qu’il ne va pas vous rendre la tâche facile. Et encore moins parce que… parce qu’elle est revenue.

Il termine sa phrase par un clin d’œil et part sans demander son reste, me laissant là, interdite

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-05-02T08:07:46+02:00

– Les rêves aussi sont importants. Ce sont eux qui nous motivent. Qui nous aident à nous lever le matin. Et les rêves vont avec l’espoir. Il ne faut jamais perdre espoir, Amy, jamais, vous m’entendez ? Même si tout vous crie le contraire, il ne faut jamais perdre espoir…

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-05-02T07:31:09+02:00

– C’est ta petite amie ? La… belle-mère de ma Catriona, c’est ça ? insiste-t-elle.

– Mais non ! répond du tac au tac Alistair d’une voix ferme. On travaille ensemble. Catriona l’aime bien car elle l’a vue sur le tournage.

– Ce n’est pas ta petite amie, peut-être ?

– Bien sûr que non. Je n’ai pas de petite amie. Cette fille ne représente rien dans ma vie, je viens de te le dire.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-05-02T02:01:20+02:00

Jamais je n’ai connu cette façon de ne faire qu’un avec l’autre. Et c’est quelque chose qui me bouleverse. Je m’accroche à lui, noue mes jambes à ses hanches pour le sentir encore plus profondément. Alistair laisse tomber son visage dans mon cou, son souffle caresse ma peau.

– BlueBird… Mais qu’est-ce que tu me fais… chuchote-t-il contre ma peau électrisée par la sienne.

Je ne réponds rien. Me contente de me tenir contre lui, aussi fort que je le peux. De balancer mes hanches au rythme des siennes. En une parfaite mélodie. Celle du bonheur absolu. Qui marque les âmes et les chairs.

Éternellement…

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Extrait ajouté par DianaM 2018-01-09T21:12:37+01:00

– Vous êtes le cascadeur, j’imagine ?

– Alistair McKay, se présente-t-il en me tendant une main bronzée. Enchanté.

Je regarde sa main – une belle main large – son visage, de nouveau sa main. Puis me décide à la saisir. Une chaleur, contrastant avec la température et mon agacement, se répand dans mon corps. Sous ma peau. Sur ma peau. Partout. Et un frisson remonte le long de ma colonne vertébrale pour se loger dans le creux de ma nuque. Je lâche subitement sa main comme si ce contact venait de me brûler.

– Pas moi, maugréé-je, en tentant de cacher mon trouble – et la rougeur qui a envahi mes joues.

– Pardon ?

– Je ne suis pas enchantée, moi ! Prenez votre… canasson et allez sur le tournage, s’il vous plaît ! ordonné-je d’un ton qui signifie que son humour douteux a assez duré.

Toujours l’oreillette dans une main, je m’apprête à tourner les talons quand une poigne ferme me retient. Le souffle d’Alistair, l’homme-le-moins-drôle-du-monde, effleure ma joue, des frissons me parcourent à nouveau et une espèce d’électricité se répand dans mes veines.

– J’ai bien entendu « canasson » ? chuchote-t-il près de mon oreille en épelant chaque syllabe, la chaleur de sa paume inondant la moindre parcelle de ma peau.

Je soupire, ferme les yeux une microseconde afin de reprendre mes esprits et de virer le trouble auquel ce prétentieux me soumet.

– C’est exactement ce que j’ai dit, oui, affirmé-je, fière de ma repartie.

– Retirez !

– Non, dis-je calmement. Monsieur McKay, vous êtes attendu sur le tournage. Immédiatement.

– Avec le magnifique cheval que j’ai dressé et qui s’impatiente à côté de vous.

Oh, ça, je le sais bien que cet animal s’impatiente. Il n’arrête pas de souffler bruyamment depuis tout à l’heure ! Comme si on pouvait oublier sa présence…

– Avec le gros truc tout noir qui a failli me provoquer une crise cardiaque à cause de votre humour débile !

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