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Danny, champion du monde



Description ajoutée par Hylla 2017-06-06T15:33:12+02:00

Résumé

Danny lives in a gipsy caravan with his father, the most marvellous and exciting father any boy ever had. All the land around them belongs to Mr Victor Hazell, a rich snob with a great glistening beery face and tiny piggy eyes. Nobody likes him, not one-little bit. So one day, Danny and his father concoct a daring plot that will give the old blue-faced baboon Victor Hazell the greatest shock of his life - so long as they don't get caught...

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Classement en biblio - 202 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par JadeRanka 2016-09-18T23:03:56+02:00

L’horloge marquait sept heures et demie. Le crépuscule était en train de tomber. Mon père devait avoir atteint le bois à présent. Je l’imaginais dans son vieux chandail bleu marine, sa casquette à visière sur la tête, remontant en tapinois le chemin du bois. Il m’avait expliqué qu’il mettait ce chandail parce que le bleu marine ne se voyait pas dans l’obscurité. Selon lui, le noir était encore mieux. La casquette avait, elle aussi, son importance. Sa visière jetait, en effet, une ombre sur le visage. En cet instant même il devait être en train de se faufiler dans le bois à travers la haie. Je le voyais dans le bois, avançant avec précaution sur le sol jonché de feuilles, s’arrêtant, tendant l’oreille, repartant, cherchant sans cesse à repérer le garde, qui, le fusil sous le bras, se tenait coi quelque part contre un arbre. Les gardes ne bougent pas quand ils sont à l’affût des braconniers, m’avait-il dit. Ils se tiennent immobiles comme des statues, tout contre le tronc d’un arbre, et dans cette position ne sont guère faciles à repérer dans le crépuscule aux ombres noires comme des gueules de loup.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Mikoian 2024-01-14T23:41:54+01:00
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Comme le dit la 4ème de couverture : c'est un livre joyeux, drôle et original.

La relation entre le père et le fils est belle et je n'ai jamais lu un livre sur le braconnage comme passion avant celui-ci.

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Commentaire ajouté par jfjs 2023-11-13T15:23:33+01:00
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C'est la première fois que je lis cet auteur. Les deux personnages principaux son très attachants : Danny et son père. L'histoire est sympathique. Il y a une lutte des classes (David contre Goliath), un père et son fils qui vivent dans une roulotte (côté aventurier, ça fait envie car ça sort du lot) le père a un secret (même si on le sait tout de suite). M'a quand même un peu manqué le côté copains d'école. Pour le reste, c'est bien écrit, pétri de bons sentiments et sans être gnangnan. Je recommande donc. Par contre, il faut séparer l’œuvre de l'auteur...

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Commentaire ajouté par Bouquineuse48 2023-03-12T11:32:27+01:00
Lu aussi

J'ai lue ce livre il y a maintenant deux mois, mais je me rappelle les réflexions que je m'était faite. Je sais que c'est un livre pour enfant, mais j'ai l'impression qu'il est remplis de sous-entendus. J'ai tiqué quand le père à dit qu'il n'allait plus "chasser des faisans depuis que la mère de Danny est décédée" et qu'elle chassait tout le temps avec lui. Mais que qu'il a repris la chasse il n'y a pas longtemps. Enfin, je ne sais pas si j'ai l'esprit mal placé mais j'ai bien l'impression qu'il parle d'autre chose. En plus, on voit bien qu'il a de l'imagination et qu'il ment beaucoup à son fils donc j'imagine que c'est possible. J'ai regardé les avis et j'ai l'impression que je suis la seule à penser ça...

A part ça, ça fait du bien de lire à nouveau du Roald Dahl, c'est détendant, on à l'impression de redevenir enfant.

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Commentaire ajouté par Na09 2022-05-31T13:48:05+02:00
Lu aussi

Premier roman que je lis de Roald Dahl et que j'ai bien aimé. L'histoire est sympathique et bien drôle.

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Commentaire ajouté par Nymphee 2021-05-12T15:11:43+02:00
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Un excellent classique que j'ai redécouvert avec mon fils de 12 ans qui a vraiment beaucoup aimé.

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Commentaire ajouté par Im-a-Sassenach 2021-03-05T11:10:17+01:00
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Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un roman que j'étais fort impatiente de dévorer, j'ai nommé Danny champion du monde signé par le grand, que dis-je, l'extraordinaire Roald Dahl.

Vous ne pouvez imaginer l'état d'excitation dans lequel je me suis retrouvée lorsque je suis tombée sur ce livre lors d'une de mes excursions à la librairie du coin. Il m'attendait là, bien sagement, sur l'un des nombreux étals que j'avais déjà battu et rebattu et il me faisait ses splendides, ses irrésistibles yeux de chien battu qui me suppliaient de l'embarquer avec moi à la caisse. Comment aurais-je pu faire autrement, dites-moi ? Un titre d'un de mes auteurs favoris au monde que je ne connaissais ni d'Eve, ni d'Adam, que je découvrais ici pour la toute première fois alors que je pensais avoir tout lu ou presque de mon écrivain fétiche, cela me semblait résolument trop beau pour être vrai. J'en aurais presque eu l'envie impérieuse de me pincer pour y croire. J'aurais peut-être dû car j'ai in fine la sensation de m'être fait avoir comme une bleue...

Tout avait si bien commencé pourtant... Dès les premières pages, j'avais pris un plaisir non dissimulé à retrouver les sublimes illustrations pleines de vie et de cette insouciance et simplicité propre à l'enfance de Quentin Blake. Ce fut également un bonheur sans nom que de pouvoir à nouveau me délecter de la plume reconnaissable entre mille de Roald Dahl tant cette dernière est emplie de bienveillance, douce et mordante à la fois, la balance idéale en somme. S'ajoute à cela que mon coeur a littéralement (j'exagère à peine) bondi de joie face à la mise en abîme réalisée dans le chapitre deux faisant directement référence au BGG ou l'un des autres grands classiques de la prolifique et fabuleuse bibliographie de Roald Dahl. Sachant que Le Bon Gros Géant ne sera en réalité publié que 8 ans plus tard, cela signifiait donc que cette merveilleuse et prometteuse idée, minuscule graine d'histoire qui deviendra grande et lumineuse germait depuis longtemps dans la tête de Roald Dahl, bien avant que la publication actuelle du livre n'ait lieu et je trouve cela purement et simplement fantastique. Cet homme possédait une force d'imagination extraordinaire, tout un univers à lui tentaculaire où les intrigues se connectent et se répondent, le tout servi sur le papier par un talent de conteur définitivement exceptionnel. En bref, j'étais aux anges durant les 50 premières pages environ. Ensuite, mes agneaux... Ce fut le drame.

Très sincèrement, le postulat de départ me plaisait énormément : un père veuf et son fils menant une vie relativement ordinaire illuminée par un amour fusionnel, inconditionnel dont l'indéniable beauté et sincérité m'a d'emblée saisie et immensément émue. Je me suis de suite identifiée à ce petit garçon pas comme les autres qui voue un tel respect, une telle admiration à son père que cela m'en a fait fondre le coeur comme neige au soleil. Quant au papa, je l'ai trouvé admirable. Cela m'a fait un bien fou de constater que Roald Dahl avait choisi de nous présenter la figure du père comme une figure aimante, protectrice, attentionnée et capable de faire montre de sensibilité, d'émotivité et de faiblesse, loin du stéréotype du chef de famille autoritaire, distante et d'une virilité insultante. Là où cela a dérapé, c'est quand le lien indestructible entre ces deux-là se resserre d'autant plus par le biais d'une activité commune qui est... le braconnage. Quelle ne fut pas ma très désagréable et amère surprise, mon authentique déception, que de découvrir que le hobby favori de ce père que je m'étais mise à tout spécialement affectionner était la chasse à coure ! Je sais que, pour la mangeuse de viande que je suis, cela donne l'impression d'être l'hôpital qui se fout de la charité mais il n'empêche qu'entre consommer des animaux cuisinés pour sustenter sa faim et tuer des êtres vivants pour éprouver le simple et effroyable plaisir de les avoir piégés et de les rapporter pour ainsi dire comme trophées, il y a là un pas de géant, une différence que l'on se doit de souligner. Personnellement, j'ai horreur de la chasse, je ne vois pas quel plaisir on peut avoir à abattre des créatures sauvages de cette façon. Même les animaux eux même ne sont pas aussi cruels entre eux, c'est dire... Pour en revenir à mon propos initial, je ne comprends pas comment on peut considérer la chasse comme un "sport" et encore moins comme un moment à partager avec son enfant, comme une passion à transmettre tel un précieux héritage. Dans le cas précis de Danny champion du monde, il y aurait sans aucun doute eu mille et une autres façons de développer, expliquer la relation entre Danny et son père sans en passer par là. J'ai bien conscience que la plupart des chasseurs ont très probablement un bon fond ; c'est le cas par ailleurs de la quasi totalité des personnages de ce récit totalement barré à la sauce Roald Dahl pure souche. Mais le fait est que, n'approuvant absolument pas ce passe-temps que le père de Danny semble avoir chevillé au corps, je me suis retrouvée, lors de situations fort épineuses où celui-ci finit engoncé dans une panade pas possible, à me dire que c'était bien fait pour eux, qu'ils n'avaient qu'à pas chercher à faire preuve d'autant d'inventivité en voulant capturer des pauvres bêtes qui ne leur ont assurément rien demander. Tant de créativité pour des actions aussi ignobles m'a paru être un gâchis monstrueux qui m'a tordu l'estomac tout au long de ma lecture. Moralité de l'histoire : toujours se renseigner convenablement au sujet d'un livre avant de l'acheter, ne pas toujours se fier d'emblée à son instinct, surtout quand la quatrième de couverture est aussi peu éclairante sur le contenu de l'ouvrage que celle de la toute dernière édition, tout bonnement splendide au demeurant, de ce roman parue cette année chez Gallimard Jeunesse. Pour être tout à fait franche avec vous, ce dernier tirage n'a en tout et pour tout pour "résumé" si l'on peut appeler cela ainsi qu'une maigre citation tirée du roman. Si cette citation est celle qui a achevé de me convaincre d'acheter ce livre, je la trouve fort mal employée dans le récit dans le sens où, là où je la trouve tout ce qu'il y a de plus juste et pertinente mise à part, une fois rattachée à la folle aventure de Danny et de son père, elle ne correspond plus du tout à ma vision de la relation parents-enfants. En clair, tout ce que vous aurez à retenir de cette chronique, c'est que je voue à la chasse une inimitié farouche et que je suis bien contente qu'aujourd'hui, la situation en Angleterre ait changé avec des actions pour la diversité de la faune et de la flore notamment d'ordre gouvernementale ayant permis de relayer ces obscures traditions plus ou moins aux oubliettes.

Pour conclure, je ne vous encouragerai pas spécialement à lire Danny champion du monde. Après, cela reste une bonne lecture qui se fait à la fois visionnaire avec ce papa célibataire qui n'a pas honte de montrer ses sentiments et de protéger sa progéniture à la façon d'une maman poule tout ce qu'il y a de plus extraordinaire, preuve que les pères cachent tous en eux une maman qui s'ignore, et témoin de son temps, la chasse étant encore à la seconde moitié du XXe siècle une activité aussi noble et fédératrice de la tasse de thé du goûter chez nos amis les rosbifs. De mon côté, ce Robin des Bois contemporain mettant en avant l'art et la manière de bien braconner ses richards aura difficilement su me convaincre. J'en suis ressortie éminemment désappointée car ce n'est tout simplement pas ce que j'attendais de ce roman. Vous l'aurez compris, Danny champion du monde n'est clairement pas le meilleur Roald Dahl selon moi et c'est bien dommage !

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Commentaire ajouté par Hermione777776 2020-04-12T17:00:46+02:00
Argent

Ce livre est super, on a envie qu'il réussissent et on admire la ruse que contient ce roman.

Encore une réussite de Roald Dahl !

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Commentaire ajouté par Miaouss 2020-02-10T16:30:12+01:00
Lu aussi

Autant sur Charlie et la chocolaterie, il pouvait y avoir de la nostalgie pour les adultes, ici c’est vraiment un roman jeunesse. Comme dans Matilda, il ne prend pas les enfants pour des idiots, il le prend pour ce qu’ils sont, des petits curieux, des rêveurs, des malins. J’aime ce point de vue qui, d’après mes lectures, à tendance à se perdre.

Evidemment notre personnage principal est Danny, un petit garçon de 5 à 8 ans, on le suit sur plusieurs années et il vit avec son papa dans une roulotte. Leur quotidien est précaire mais plus que jamais soudé, ils vont arriver à se débrouiller pour vivre. Danny était curieux et débrouillard, va porter sur ses épaules toute l’intrigue.

Avant de le lire, je m’attendais à un thème écologique or il s’agit de lutte des classes, nos protagonistes dans la roulotte, chassant pour se nourrir et Monsieur Victor Hazell « était riche comme Crésus et sa propriété s’étendait sur plusieurs kilomètres de part et d’autre de la vallée. » (P47). Celui qui possède tout et ceux qui n’ont rien, David contre Goliath, la Rolce-Roys brillante contre la roulotte défraîchie. Les enfants peuvent en tirer de belles leçons d’humilité, de partage et d’être conscient de leurs possessions. En ça c’est un bon livre, sur le déroulement de l’intrigue, je trouve ça bateau mais vu le public visé et potentiellement le peu de lecteurs qu’ils ont à cet âge, ça ne posera pas vraiment de soucis.

Finissons sur une phrase qui m’a fait sourire page 21, le père dit à Danny « Tu es sans doute le meilleur mécanicien de cinq ans. », pas sûr que la concurrence soit rude.

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Commentaire ajouté par captcha 2018-03-02T14:34:05+01:00
Lu aussi

J'ai lu ce livre il y a vraiment longtemps mais si mes souvenirs sont bons j'avais plutôt bien n'accrocher sans qu'il me marque plus que ça...

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Commentaire ajouté par indra 2017-01-05T11:41:45+01:00
Lu aussi

Je l'ai lu il y a très longtemps et c'est un livre qui ne m'a pas spécialement marqué.

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Date de sortie

Danny, champion du monde

  • France : 2001-09-05 - Poche (Français)

Activité récente

Lyamna l'ajoute dans sa biblio or
2020-10-28T22:28:56+01:00

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