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La porte s’ouvrit lentement en grinçant. Ils ont même pensé aux effets d’ambiance, notai-je, sarcastique, en me préparant à vendre chèrement ma peau si c’était d’assassinat qu’il s’agissait. Je calculai qu’il me faudrait moins d’une seconde pour assener un coup du revers de ma lame. Dieux merci, ce ne fut pas nécessaire. Je clignai des paupières.

Sur le seuil se tenait un homme de grande taille à la peau dorée, sec et athlétique, vêtu d’un long manteau noir à col haut. Le revolver d’argent qu’il pointait sur ma poitrine était assez déconcertant, légèrement moins cependant que son aura de flammes sombres à la pureté de diamant. Ses cheveux de jais coupés court encadraient un visage tout à fait oubliable au milieu duquel étincelait un regard de jade, surplombant des épaules de rêve.

Super. J’ai un démon devant ma porte.

Je ne bougeai pas. C’est à peine si je respirai.

— Danny Valentine ?

Le ton employé évoquait davantage un ordre qu’une question.

— Qui la demande ? répliquai-je du tac au tac.

Le revolver d’argent n’avait pas l’air d’être un plasgun. Ça ressemblait plus à un vieux 9 mm traditionnel.

— Je souhaiterais parler à Danny Valentine, reprit calmement le démon.

Sinon, je vous tue.

— Je vous en prie, entrez. Et rangez ce truc. Votre mère ne vous a jamais appris que c’était très mal élevé de pointer une arme sur une femme ?

— Qui sait quelle créature un nécromant est capable d’invoquer pour garder sa porte ? Où est Danny Valentine ?

Je poussai un soupir intérieur.

— Ne restez pas planté comme ça sur mon paillasson. Je suis Danny Valentine, et vous êtes très mal élevé. Si vous êtes venu pour essayer de me tuer, venez-en au fait. Et si vous voulez m’embaucher, ce n’est pas du tout la bonne façon de vous y prendre.

Je crois que je n’avais jamais vu un démon arborer un air perplexe. Il rengaina son arme et pénétra dans mon vestibule en traversant mes boucliers de sécurité, qui s’écartèrent obligeamment pour le laisser passer. Quand il se retrouva face à moi après avoir refermé la porte d’un coup de botte, je l’avais sondé jusqu’à la dernière molécule.

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« Je ne réalisai même pas que je m'étais rapprochée de lui jusqu'à ce qu'il descende une marche du perron et m'entoure de ses bras, m'enveloppant dans la chaleur d'une étreinte de démon. Je laissai échapper un soupir et mes épaules se détendirent, momentanément libérées de leur fardeau d'angoisse. Dans ses bras, je pouvais respirer. Comme s'il portait autour de lui la seule sphère d'air respirable de la planète.

Il m'embrassa doucement sur le front. Une flamme bondit dans mes veines à ce seul contact.

- Si tu veux te battre contre moi, Dante, bats-toi, murmura-til. »

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Et puis, tout devient de plus en plus absurde - il s'agenouilla lentement, très lentement, sans lâcher ma main, m'entoura la taille de son autre bras, et enfouit son visage contre mon ventre. Rien, dans ma vie, ne m'avait préparée à ça.

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Il m'embrassa doucement sur le front. Une flamme bondit dans mes veines à ce seul contact. - Si tu veux te battre contre moi, Dante, bats-toi murmura-t-il. (Ses lèvres erraient sur mon nouveau visage.) Si ça peut te faire du bien, je jouerai à ce jeu. Mais nous pourrions aussi en inventer d'autre.

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Je crois que je n’avais jamais vu un démon arborer un air perplexe. Il rengaina son arme et pénétra dans mon vestibule en traversant mes boucliers de sécurité, qui s’écartèrent obligeamment pour le laisser passer. Quand il se retrouva face à moi après avoir refermé la porte d’un coup de botte, je l’avais sondé jusqu’à la dernière molécule.

Voilà qui ne me dit rien qui vaille. Qu’est-ce qu’un seigneur des Enfers fiche chez moi ?

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- Elles ont permis d'engendrer le futur, elles sont mortes pour une raison. Vous ne comprenez pas? La liberté, Dante. La liberté pour les démons et pour l'humanité. Plus de Prince des Mensonges pour tirer les ficelles en coulisse et nous forcer à nous agenouiller devant lui.

J'étais sur le point de me précipiter vers la fenêtre quand la pression de l'air se modifia brusquement. Un coup de tonnerre gronda dans le lointain, et un éclair de douleur fusa dans mon épaule gauche.

Japhrimel. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine.

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Quelqu'un m'avait un jour accusée d'être insensible. C'était faux - j'avais ressenti la douleur jusqu'au tréfonds de mes os. Je ne voyais juste pas l'intérêt de l'afficher devant autrui.

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Mes bagues crachèrent des étincelles vertes. Le fait que Gabe comprenne à quel point le démon était plus dangereux que moi ne représentait qu'une faible consolation. J'aurais espéré une attitude un peu plus compréhensive de la part de quelqu'un qui savait ce que c'était que d'être constamment montré du doigt dans la rue.

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— Eh ! l’interpellai-je en positionnant mon épée à la diagonale de mon corps, me servant du fourreau qui remontait le long de mon bras gauche comme d’un bouclier.

C’était une façon extrêmement peu orthodoxe de tenir un katana, mais le Sensei Jado avait toujours accordé plus d’importance au fait de rester en vie qu’à l’orthodoxie, et il se trouve que j’étais plutôt d’accord avec lui.

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— Il se trouve parmi les vôtres, répondit Lucifer. Votre monde est un terrain de jeu pour nous, et les siens sont cruels.

— Sans blague. Un démon qui aime faire le mal ? Je n’en crois pas mes oreilles. — Laissez-moi vous dire quelque chose, Dante Valentine, rétorqua Lucifer en fixant les flammes. J’ai vu votre espèce ramper dans la poussière à l’aube de votre temps, et j’ai eu pitié de vous. Je vous ai donné le feu. Je vous ai donné la civilisation et la technologie. Je vous ai donné les moyens de vous élever au-dessus de la boue. Je vous ai donné le secret de l’amour. Mes démons vivent parmi vous depuis des milliers d’années, ils vous ont accompagnés et ont modelé votre système nerveux pour faire de vous davantage que des animaux. Et aujourd’hui, vous me crachez dessus et m’appelez le Mal.

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