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Dans les angles morts



Description ajoutée par lelette1610 2018-01-10T13:48:40+01:00

Résumé

En rentrant chez lui un soir de tempête de neige, George Clare trouve sa femme assassinée, et leur fille de trois ans seule dans sa chambre - depuis combien de temps?

Huit mois plus tôt, engagé à l'université de Chosen, il avait acheté pour une bouchée de pain une ancienne ferme laitière, et emménagé avec sa famille dans cette petite ville étriquée et appauvrie, en passe d'être repeuplée par de riches New-Yorkais. Ce qu'il a omis de dire à sa femme, c'est que les anciens propriétaires, acculés par les dettes, s y étaient suicidés, en laissant trois orphelins, Eddy, Wade et Cole. Dans les angles morts est aussi l'histoire des frères Hale, et celle de la maison de leur enfance. Pour le shérif Travis Lawton, George est le premier suspect. Mais les secrets sont tenaces dans cette enquête où la culpabilité règne en maître.

La prose haletante d'Elizabeth Brundage explore les défaillances enfouies en chacun de nous, susceptibles de nous mener à l'impensable.

source : Editions de la Table Ronde

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Classement en biblio - 59 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Blandine1 2021-04-03T21:18:55+02:00

La vie était mystérieuse, il le savait. Les gens ne disaient jamais ce qu’ils pensaient vraiment, ce qui causait toujours plus de problèmes que ça n’en valait la peine.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par aria292 2023-05-31T22:30:43+02:00
Bronze

En rentrant du travail George Clare découvre sa femme assassinée d'un coup de hache dans son lit. 


Leur fille de trois ans se trouve aussi dans la maison, saine et sauve, mais ayant peut-être assisté au meurtre.



Qui? Quoi? Comment? Pourquoi? 



C'est ce que l'auteure essaye de nous apprendre. 


C'est donc la vie des Clare que l'on va découvrir.

Une vie loin d'être heureuse. 

George Clare, prof d'unif un peu trop volage et imbu de lui même, souhaite se rapprocher de l'université où il travaille, et décide donc de s'installer à la campagne.


Ils rachètent une ferme vendue aux enchères et à très bas prix et pour cause, elle a été lieu d'un terrible drame: le suicide du couple Hale.



On apprend donc aussi l'histoire des Hale, dont le couple laisse trois fils qui vont peu à peu prendre une certaine place dans la vie des Clare, mais surtout de Catherine. 



C'est donc ce que nous raconte ce roman, point ou peu d'enquête policière ici, et peu de suspens.



Je ne classerais pas ce roman dans la catégorie Thriller ni même dans la catégorie roman policier. 


Un roman certes noir mais plus dans le sens oppressant.



Où nous mène l'auteure dans ce long, très long roman?

Nulle part à vrai dire. 


Puisque la réponse à la question se trouve dans les quinze première pages. 


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Commentaire ajouté par ALMA001 2022-07-23T12:33:11+02:00
Argent

Après avoir eu un peu de mal à rentrer dans la lecture, brusquement les choses se mettent en place et on comprend cette histoire tragique. Finalement le style sert complètement le suspens.

Une belle découverte au final.

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Commentaire ajouté par zyumiko 2022-03-07T16:21:37+01:00
Or

roman très psychologique, parlant d'une famille et de son quotidien pour savoir ce qu'il s'est vraiment passé. On s'attache facilement aux personnages, j'ai beaucoup aimée les émotions dans cette lecture c'était très intéressant.

Une très bonne lecture que j'ai beaucoup aimée.

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Commentaire ajouté par SylveryFox 2022-03-07T13:54:29+01:00
Or

Si, comme moi, vous êtes plutôt fan de thrillers qui dépotent, avec de l'action et des rebondissements permanents (quoique "Dans les angles morts" n'en manque pas, loin de là), vous risquez d'avoir un peu de mal à entrer dans l'histoire. On est en effet assez loin des standards habituels, des enquêtes policières de haut vol menées à 100 à l'heure dès la première page. Ici, on est plutôt dans l'atmosphère, l'impalpable, le pesant, le non-dit, le suggestif. Une fois les nombreuses pièces du puzzle (personnages) disposées méticuleusement sur la table, on entame enfin l'assemblage. Et c'est un régal, la plume de l'auteure étant particulièrement soignée et agréable, le scénario solide et la galerie de personnages assez riche. Le tout avec une petite (toute petite) pointe de fantastique. Je recommande.

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Commentaire ajouté par Blandine1 2021-04-03T21:17:11+02:00
Or

Fabuleux roman ! George, en rentrant du travail trouve sa femme Catherine la tête traversée par une hache tandis que leur fille dort dans la chambre d'à coté. Il est fortement soupçonné. Retour arrière quand ils ont acheté la ferme de ce couple mort aussi dans la maison laissant trois garçons.

Bon, tout ça ne fait pas très engageant. La force de ce roman est dans la manipulation, les non-dits, le croisement des personnages et surtout par une prose et une construction relevant du génie.

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Commentaire ajouté par Granny-1 2019-07-27T07:01:50+02:00
Lu aussi

"Les angles morts" d'Elizabeth Brundage (528p)

Ed. Quai Voltaire

Bonjour l fous de lecture….

Voici un thriller psychologique avec une pointe de paranormal ( je dis une pointe car le paranormal n'étant pas ma tasse de thé, ici ça va, ce n'est pas la base de l'histoire ).

L'histoire est celle de deux familles au destin tragique.

Les Hale, fermiers ruinés. Les parents se suicideront dans la ferme laissant seuls leurs trois garçons.

Les Clare, repreneurs de la ferme bradée à un prix dérisoire.

D'entrée de jeu, on sait que Catherine Clare est morte, une hache dans la tête.

Qui a tué cette jeune femme ? Et qui était Catherine et son étrange époux suspect n° 1 ?

Le lecteur se plonge dans le destin tragique de ces deux familles dont les cicatrices resteront ouvertes à jamais

Récit sur la puissance des liens familiaux, sur le couple, sur la dérive, sur le comportement humain.

Elizabeth Brudage nous fait un récit de l'Amérique rurale des années 50/60.

Années où les femmes sont loin d'êtres toutes libérées.

Elizabeth Brudage aborde également les non-dits qui étouffent ces petites communautés où tout le monde veut savoir, tout le monde sait quelque chose, mais .. où tout le monde se tait.

Tableau finement ciselé et analysé par l'auteure dont c'est le premier roman traduit en langue française

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Commentaire ajouté par Julie-176 2019-03-27T22:30:52+01:00
Lu aussi

Ce livre fait partie de la sélection pour le mois de mars en lice au Prix des Lecteurs des éditions Le Livre de Poche dans la catégorie « Polar ». Il concourt ce mois-ci avec « Horrora Borealis » de Nicolas Feuz, que je vais très bientôt découvrir.

Habituellement, je ne prends que peu de temps avant de me lancer dans la rédaction de mes chroniques et ce, pour plusieurs raisons. D'abord, j’ai toujours une certaine excitation de mettre par écrit mon ressenti de ma lecture. Mais ensuite, aussi, afin que l’histoire et tout ce qui l’entoure me soient encore bien en mémoire. Malgré tout, je laisse décanter ma lecture, mais durant une période estimée en heures.

Pour ce bouquin « Dans les angles morts », c’est tout à fait différent. Cela va faire près d’une semaine que je l’ai terminé et j’ai l’impression que je suis vidée. Pendant plusieurs jours, j’ai eu l’impression de souffrir de la pire maladie que les écrivains peuvent endurer : celle de la page blanche. J’ai dû mûrement réfléchir à ce que ma lecture m’avait laissée comme sentiments une fois la dernière page tournée et à vrai dire, c’est difficile d’y mettre des mots.

Si je devais employer une expression bien de chez moi (de mon petit et plat pays qu’est la Belgique), je devrais dire que j’ai le derrière entre deux chaises. Je ne peux pas dire que je n’ai pas pas aimé cette lecture et en même temps, j’ai parfois dû me faire violence pour continuer à tourner les pages. Autant certains passages m’ont beaucoup plu, mélangeant fantastique, ambiance angoissante et lourde, autant parfois je me suis vraiment demandée pourquoi l’auteure, Elizabeth Brundage, avait voulu noircir autant de pages avec des paragraphes que certains considéreraient comme soporifiques. Les jours passant, je n’arrive toujours pas à faire la lumière dans mes sentiments : soit je suis face à une oeuvre devant être considérée comme un grand roman américain, soit l’histoire aurait très bien pu s’écrire en moins de 200 pages alors que le livre en compte près de 634 !

Déjà la lecture en elle-même m’a donné du fil à retordre car habituellement, je dévore au minimum deux livres par semaine. Ici, je suis restée calée près de 6 jours. C'est vrai que le Salon du livre de Paris m’a exceptionnellement fatiguée par cette escapade au Disneyland du livre pour tout bibliophile qui se respecte. Et donc les chapitres sont parfois longuets, les pages ne se tournent pas comme dans un suspens page-runner....

Un autre élément qui m’a, mais alors complètement, déboussolée est l’absence de ponctuation pour mettre en évidence les dialogues entre les personnages. Ils se confondent donc avec la mise en place des descriptifs et des décors. C’est la première fois que je m’aventurais dans un livre où l’auteure avait pris cette liberté dans l'écriture. C’est assez désarçonnant car c’est seulement après avoir lu lesdites phrases qu’on se rend compte que ce sont des protagonistes qui interviennent dans la trame. Nonobstant cela, j’ai trouvé la plume d’Elizabeth Brundage très aérienne malgré une utilisation très conséquente des détails et des ambiances.

A certains moments de l’histoire, j’ai eu l’impression de me retrouver dans un livre de Jonathan Franzen (auteur adoré au plus haut point pour son livre « Freedom », pour la chaleur de sa plume absolument poétique et non linéaire) . Alors qu’ici, on devrait se trouver en plein polar suite à la mort sanglante de Catherine Clare dans la maison des Hale, rachetée avec son époux Georges, professeur d’université, on se retrouve dans une grande saga familiale s’étendant sur plusieurs années. Parcourant l’histoire de ce couple et de leur fille mais aussi celle des anciens propriétaires, l’auteure déroule son récit en revenant aux origines qui ont mené à cet assassinat.

L’auteure sait distiller de menus détails qui ne trouveront leur importance qu’au dernier moment de son spectacle qu’est son livre, juste un peu avant le coucher de rideau final. L'autre don possèdé par Elizabeth Brundage est celui de créer et perpétuer une atmosphère tout à fait singulière. De plus, la maison des Hale qui sera ensuite celle des Clare occupe une place très importante, s’attribuant de la sorte un rôle de protagoniste à part entière. Les fantômes des lieux risquent de vous étreindre comme si vous vous retrouviez vous-même dans ces lieux.

Comme je n’ai pas encore lu le second de la sélection du mois de mars, je ne me prononcerai pas plus sur ce livre et comparerai les deux avant de voter. Mais en tout cas, « Dans les angles morts » n’est pas un livre dont on ressort indemne à la suite de sa lecture.

Chronique sur mon blog : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2019/03/dans-les-angles-morts-delizabeth.html

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Commentaire ajouté par AlwaysYour 2019-02-21T17:46:03+01:00
Or

Ce roman à été un véritable coup de coeur.

Lorsque j'ai commencé sa lecture je m'attendais à quelque chose de totalement différent, peut être ce rapprochant plus du style de Stephen King. Ma surprise fut donc total lors que je me rendis compte que ce roman n'était en aucun cas expliqué par un intervenant surnaturelle. Au contraire, tout est bien vrai.

L'auteur nous force à voir comment une superstition peu expliquer aux yeux de tout le monde une réalité invivable pour les gens concernés.

Je recommande vivement ce roman et aimerait vivement redécouvrir un roman d'Elizabeth Brundage.

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2019-01-11T09:04:09+01:00
Pas apprécié

Un angle mort, c’est la zone inaccessible au champ de vision d’un conducteur de véhicule qui ne lui permet pas de voir une partie de son environnement.

Pourtant, le danger peut y être tapi mais nous ne le voyons pas.

On peut dire que Catherine Clare ne possédait pas de rétroviseurs pour voir le danger lui tomber dessus.

Oh, il y eu bien quelques coups de klaxon timide, des appels de phares, mais elle vit les signes un peu trop tard et bardaf, ce fut l’embardée… Une hache plantée dans la tête, ça ne pardonne pas.

Non, non, je ne spolie rien du tout, dès les premières pages, le ton est donné, le crime a eu lieu, mais au contraire de la série Columbo, nous n’avons pas assisté à son déroulement. Pourtant, le nom du coupable est d’une criante évidence.

C’est ensuite que l’auteur va faire une marche arrière afin de nous présenter l’affaire sous son véritable jour, sans angles morts, parce que je peux vous dire que j’ai tout vu venir et de loin !

Catherine, elle, était une moins grande visionnaire que moi, mais c’est souvent les personnes qui sont plongés dedans qui ne voient rien venir, ni la température de l’eau monter…

Ce roman, les copinautes de blog que sont Dealer de Lignes et Blacknovel en avaient parlé en bien parce qu’ils l’avaient adoré, ce roman noir qui flirte avec la psychose car il met en scène George Clare, psychopathe qui le cache bien à sa famille, ses amis, ses collègues.

Sauf à nous, lecteurs/trices, car l’auteur ne nous laisse pas espérer que l’on se soit trompé sur son cas pathologique de pervers narcissique dominateur, genre prédateur pour tout qui ne va pas dans son sens, en plus d’être un peu pervers sexuel.

Niveau ambiance angoissante, je dois vous dire que j’ai connu mieux, ou pire, dans la montée de l’adrénaline et la distillation de la trouille. Un thriller psychologique, ça ? Même pas frémi !

Savoir que les impôts vont bientôt envoyer leurs feuillets à remplir me donne plus de sueurs froides que ce roman qui, par certains moments, m’a même profondément ennuyé, me faisait sauter allégrement des paragraphes et des pages.

Si les personnages sont très bien campés, si la petite ville est bien décrite, si la vie rurale est bien rendue, avec toutes ses emmerdes, j’ai détesté l’absence de tirets cadratins ou de guillemets pour délimiter les dialogues.

Je n’aime pas ce procédé qui consiste à économiser sur ces sigles ! Pour certains romans, ça passe très bien, alors que ici, j’ai eu une sensation d’une écriture brouillonne à laquelle je n’arrivais pas à accrocher.

La première et la dernière partie étaient, pour moi, les meilleures, celles où je n’ai pas fait des sauts de paragraphes.

La construction narrative avait du bon dans le fait de revenir en arrière, de nous présenter la même scène, mais vue sous des yeux différents, pourtant, je n’ai pas réussi à accrocher mon wagon au train et j’ai suivi en ballotage total, n’attendant qu’une seule chose : le terminer et puis basta !

Et ça me fait râler parce que j’attendais beaucoup de cette lecture et que mes deux blogueurs cités plus haut sont souvent de bons conseils lectures. L’exception confirmera la règle.

Ma deuxième lecture de l’année et bardaf, déjà une déception d’autant plus amère que je m’attendais à un coup de cœur à venir.

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Commentaire ajouté par manue14 2018-09-17T10:08:18+02:00
Diamant

J’ai eu un véritable coup de cœur pour ce roman.

L’histoire est prenante du début à la fin. Si j’ai eu envie de savoir ce qui s’était réellement passé et donc de découvrir la fin je n’avais, au contraire, pas envie de quitter ces personnages.

Elisabeth Brundage a le don de nous faire entrer dans son univers très rapidement. Sa plume est prenante et fluide à la fois !

Les idées sont intéressantes et finalement on peut même « espérer » que cette ferme existe réellement. Après tout, l’histoire pourrait être réelle.

Les retournements de situations ne sont présents que lorsque c’est nécessaire. L’auteure n’en met pas trop pour que l’histoire paraisse toujours réaliste.

Les chapitres sont assez courts mais personnellement j’avais toujours envie d’en découvrir davantage.

Les descriptions sont bien écrites et nous permettent de visualiser les scènes, les personnages et les différentes situations.

Elisabeth Brundage arrive avec peu de mots à créer une atmosphère et à nous transporter dans son univers.

J’ai apprécié les différents points de vue. Cela donne un vrai plus à l’histoire.

L’auteure alterne entre passé et présent ce qui est aussi intéressant. C’est dommage par contre que cela ne dure que pour le début du roman. Cela aurait pu être bien d’ajouter des scènes du passé tout au long de l’histoire.

Le roman est un thriller psychologique. Il n’y a pas de scène gore ou trop de sang. Il peut vraiment se lire par tout le monde et je vous le conseille sans hésitation.

Le petit bémol, mais qui n’en est pas vraiment un, c’est que l’auteure ne met pas assez en valeur les dates.

J’aurais peut-être voulu avoir plus de dates précises pour me faire une idée de la durée de certaines actions.

La fin est dans la lignée du roman et surtout comme je les aime. Je lirai donc avec grand plaisir un autre roman de cette auteure !

En résumé, un roman que je vous conseille sans hésitation avec des personnages et des familles qui ne vous laisseront pas indifférents...

http://fais-moi-peur.blogspot.com/search/label/affaire%20n%C2%B0394

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Dates de sortie

Dans les angles morts

  • France : 2018-01-11 (Français)
  • France : 2019-01-02 - Poche (Français)

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