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Dans les temps, Tome 2 : Bon timing pour un rodéo



Description ajoutée par CannL 2014-08-07T09:51:18+02:00

Résumé

Suite de Mauvais timing

Deux ans après s’être installé dans le ranch que possède Rand Holloway, Stefan Joss a réussi à trouver un équilibre dans sa nouvelle vie, il est professeur à l’université locale. Mais le grand amour n’a rien d’un long fleuve tranquille. Rand le voudrait à la maison, au ranch, tandis que Stef tient à garder son autonomie au cas où son cow-boy le flanque à la porte. Réalisant soudain que ses doutes sont injustes, il s’engage totalement, ce qui rend Rand fou de joie.

Le jour où Stef voit sa chance de prouver son dévouement, il n’hésite pas, malgré les risques qu’il court. Et Rand profite de l’occasion pour démontrer que parfois, le meilleur de la vie surgit à l’impromptu.

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Classement en biblio - 359 lecteurs

extrait

CE SOIR-LÀ, je trouvai deux voitures inconnues devant la maison quand je me garai. Je me demandai qui ça pouvait être. Après avoir récupéré mon sac de courses, j’avançai jusqu’au porche. Au moment où je m’apprêtais à pousser l’écran grillagé, la porte d’entrée s’ouvrit. Un homme que je n’avais jamais vu émergeait de chez moi. Il parlait à quelqu’un derrière lui, aussi il ne me remarqua pas tout de suite.

— Arrête, Gin, dit-il en riant et secouant la tête. Je me fous de ce qu’on raconte. Rand Holloway n’est pas gay, c’est de la connerie. Ce mec a baisé plus de…

— Glenn !

Il éclata de rire devant ce cri outré de Gin – cette femme dont j’ignorais tout – puis il ouvrit l’écran moustiquaire, ce qui m’obligea à reculer.

— Excusez-moi.

En m’entendant, il tourna vivement la tête vers moi ; ses yeux, bleus et brillants, s’écarquillèrent.

— Oh merde, désolé mec. Je ne vous avais pas vu… Désolé.

Tout en s’excusant, il grimaça et referma la porte pour ne pas me bousculer.

Je m’écartai et me plaquai aux lèvres un grand sourire tandis que le mec sortait enfin. Je lui tins le panneau ouvert et il approcha en me tendant la main.

— On va recommencer, d’accord ? proposa-t-il. Je suis Glenn Holloway, le cousin de Rand. Je présume qu’il a oublié de vous dire que nous venions.

Je m’éclaircis la voix pour pouvoir parler.

— À qui a-t-il oublié de l’annoncer ?

Là, il se passa la main dans les cheveux – aussi brillants, épais et sombres que ceux de Rand, bien qu’ils soient coupés plus courts. Il eut un sourire gêné.

— À vous et aux autres employés du ranch. Nous partirons tous après-demain pour le ranch de mon frère, Zach. En attendant, nous resterons ici.

Hum-hum.

— Vous êtes le cuistot ? s’enquit-il.

Le cuistot ?

— Vous habitez ici ou avec les autres ? continua-t-il.

— Malheureusement, je ne suis pas le cuistot, dis-je, avec un sourire forcé. Excusez-moi, pourrais-je… ?

— Oui, bien sûr. Désolé. Je me demande où sont mes manières.

J’avais quelques idées sur la question.

Quand je mis le pied dans la salle de séjour, j’y trouvai un autre homme et deux femmes.

Une des femmes m’adressa un grand sourire ; elle se leva dès que je traversai la pièce dans sa direction.

— Salut, dit-elle. Je suis Ginger Holloway, sa cousine…

Elle indiqua de la tête la porte où Glenn se trouvait toujours.

— Voici mon frère, Brent, et sa copine, Emily.

— Stefan, dis-je, en lui tendant la main.

Elle la prit et la serra, fort.

— Enchantée.

Ensuite, ce fut au tour d’Emily de me saluer.

— Alors, Stefan, reprit ensuite Ginger, ce qui attira mon attention sur elle. Depuis combien de temps travaillez-vous au ranch ?

Il me fut épargné de répondre parce qu’une autre femme émergea de la cuisine.

— Gin, il n’y a rien à boire sauf du vin, de la bière et du café. Rand doit…

Elle m’aperçut alors.

— Oh salut. Auriez-vous apporté à manger ?

— J’avais prévu un repas pour deux.

Avec son grand sourire, ses yeux bleu ciel et ses cheveux blonds coupés au bol, elle ressemblait à un lutin. Elle se précipita pour venir me tendre la main.

— Salut, je suis le test, Lisa Whitten. Enchantée de vous rencontrer.

— Stefan, dis-je en acceptant sa poignée de main. Le test ?

Elle éclata d’un rire agréable, très musical.

— Oui, apparemment, j’ai été invitée à ce que je croyais être un agréable week-end de détente sur un ranch parce que ceux-là veulent vérifier si leur cousin – votre patron – est gay ou pas. Apparemment, je suis irrésistible, aussi je ferais un bon test.

Elle mit les mains sur ses hanches et prit une pose aguichante. Toute la pièce éclata de rire.

Je hochai la tête.

Elle était adorable, pas de doute, peau dorée, longues jambes, courbes parfaites, en plus de ses traits de lutin. Une Barbie petit modèle, le genre de femme sur laquelle tout homme se retourne pour la regarder en bavant.

Elle m’adressa un sourire malicieux, puis se pencha vers moi en baissant la voix :

— Je dois vous dire, maintenant que j’ai vu le mec, ça ne me gêne pas du tout qu’on m’ait piégée dans ce genre d’aventure.

— Parce que mon cousin est à tomber ! cria Ginger depuis le canapé où elle était vautrée.

— Dites, jeunes gens ?

Une autre femme venait d’émerger de la cuisine.

— Sauriez-vous si Rand a installé la Wi-Fi ? Il faut que je vérifie mes mails.

Ce fut moi qui lui répondis :

— Non. Il a juste un routeur ; il faut un câble pour se brancher.

La femme leva les yeux vers moi avec un sourire.

— Sauriez-vous où je peux me connecter ?

— Son bureau se trouve à l’étage, la troisième porte dans le couloir.

— Vous croyez qu’il verrait un inconvénient à ce que j’aille y brancher mon portable ?

— Non. Allez-y. Vous n’aurez qu’à récupérer le câble sur son ordinateur pour y connecter le vôtre. Il ne dira rien à condition que vous rebranchiez son appareil avant de partir.

— Bien sûr, dit-elle, en me tendant la main. Kim Palmer. Enchantée de vous rencontrer.

— Stefan Joss.

Nous échangeâmes une poignée de main.

— Vous me sauvez la vie, Stefan, déclara-t-elle avec un soupir. Ginny et moi avons une affaire de traiteur à Austin, apparemment, il y a un problème et il faut que je le règle de toute urgence.

Ginger soupira et se releva, son verre de margarita à la main.

— Je viens avec toi, dit-elle. Franchement, j’espère que Rand ne va pas tarder. Boire de la tequila à jeun me trouble la cervelle.

— Comme toujours ! cria Brent derrière elle.

— Tais-toi.

Elle eut un petit rire, puis elle suivit Kim en direction des escaliers tandis que j’allai jusqu’à la cuisine. Je laissai tomber mes courses sur le comptoir, écartelé entre mon soulagement d’être de retour à la maison et mon ardent désir que ces gens n’y soient pas.

On frappa à la porte de derrière. Quand j’ouvris, je tombai sur Everett Hartline, un des hommes de Rand.

Avec un sourire, je m’écartai pour lui faire de la place.

— Hé. Tu veux entrer ?

— Non, j’étais juste censé ramener les chiens dans la maison et m’assurer qu’ils ne fassent pas peur à toute la tribu.

Je levai un sourcil en le regardant.

— Tu veux dire que la meute n’effraye pas les cousins ?

Il eut un grand sourire.

— Tu sais, avant de travailler sur ce ranch, je ne connaissais comme chiens que les Border Collies, les Texas Heelers, les bergers australiens, ce genre de bêtes. Rand Holloway est le seul homme de ma connaissance à utiliser pour son bétail des Rhodesian Ridgebacks.

J’adorais ces chiens, ce qui me sidérait encore. Je n’étais pas du genre à aimer les animaux ! Pourtant, depuis que je vivais au ranch, je m’étais découvert un faible pour les chiens, les veaux et les chevaux. Durant l’hiver, je passais d’heureux moments assis devant un feu de cheminée, à regarder la télé sous un amas de corps chauds et de fourrure. Une des femelles en particulier, Bella, m’avait revendiqué. Elle était davantage à moi qu’à Rand, ainsi qu’il l’avait souvent fait remarquer. Il comptait bien, dès qu’il en aurait le temps, aller voir son éleveur préféré, à Biloxi, pour acquérir un autre chiot à élever sur son ranch. D’après lui, Bella ne lui servait plus à rien depuis qu’elle avait choisi de m’appartenir. Apparemment, je la distrayais : elle préférait rester à mes pieds que courir derrière le bétail.

— Stef ? insista Everett.

— Désolé, dis-je avec un sourire. J’imagine que je suis fatigué. Où sont les chiens à présent ?

Au même moment, j’entendis des cris émaner du salon.

— Je dirais qu’ils sont sous le porche, grogna Everett en se détournant. Mais si tu es là, tu peux t’occuper d’eux.

— Tu veux rester et manger avec nous ?

Il bâilla en me regardant.

— Non. Je pars avec Jace, Chris et Pierce au Rooster pour baiser.

— Amusez-vous bien tous les trois ! criai-je alors qu’il s’éloignait déjà. J’espère que vous aurez de la chance.

— Quand on sait y faire, gamin, il ne s’agit pas de chance.

Je levai les yeux au ciel en refermant la porte, avant de retourner au salon. On se serait cru dans un film d’horreur à cause des grognements féroces qui émanaient de la porte d’entrée.

— Mon Dieu ! gémit Lisa qui paraissait terrifiée.

Elle regardait Glenn, posté à la fenêtre. Brent m’adressa un sourire, Emily aussi.

— Bon sang, mais pourquoi Rand a-t-il besoin de chiens aussi énormes pour garder ses troupeaux ?

— Qu’est-ce qui se passe ? demanda Ginger qui venait de redescendre la moitié des escaliers.

— Ce sont juste les chiens, dis-je.

Dépassant Glenn, j’ouvris la porte. Derrière moi, tout le monde se mit à hurler. Pourtant les aboiements avaient cessé à la seconde où j’étais apparu.

— Ça suffit, dis-je aux chiens. C’est quoi tout ce boucan ?

Six gueules canines me regardèrent, pleines d’expectative.

— Stefan, ils ne rentrent quand même pas dans la maison ? s’inquiéta Lisa.

— Si. Rand ne veut pas que ses chiens traînent la nuit sur le ranch sauf quand il est avec eux. Dans l’obscurité, on ne les voit pas et Rand craint qu’ils se fassent écraser par un visiteur inattendu.

Dès que je m’écartai, la meute m’encercla ; cinq queues battaient de façon frénétique, cinq truffes humides cherchaient ma main. Le sixième chien, Bella, dansait carrément autour de moi en gémissant pour obtenir mon attention. Elle se tordit et chercha à pousser sa tête contre ma paume.

— Allez, venez, dis-je, en les entraînant vers la cuisine.

J’entendis leurs pattes cliqueter sur le plancher de bois, le carillon des clochettes de leur collier m’indiquant aussi que les bêtes trottinaient derrière moi. Je leur maintins ouvert le battant de la porte, puis refermai derrière moi.

— Tu es vraiment accro aux caresses, tu sais, dis-je à Bella.

Dès que je m’accroupis pour m’occuper d’elle, la chienne me sauta dessus et frotta son nez dans mes yeux ; quant aux autres, ils couraient en rond autour de moi pour m’encenser tout en me léchant au visage et à la gorge.

— Beurk, c’est dégueu, dis-je en riant.

Je les caressai tous, un par un, frottant leurs oreilles, leur dos, leurs fourrures épaisses ; pour finir, je les serrai tous dans mes bras.

Quand je me relevai enfin, j’allai jusqu’au garde-manger chercher leurs gamelles ; je leur parlais tout en m’activant. Ils restèrent assis autour de moi, la queue battante, à me regarder.

Quand la porte s’ouvrit, les chiens bondirent et se placèrent devant moi en une phalange serrée, ce que je trouvai plutôt amusant. Glenn et Ginger ne partagèrent pas cet avis.

Le chef de la meute, c’était incontestablement Beau, le plus gros et le premier chien que Rand avait acquis. Il considérait de son devoir de me défendre, aussi il avait pris une attitude d’intimidation.

— Ça suffit, dis-je.

Dès que je lui touchai la tête en tapotant doucement, il cessa de grogner et leva sur moi des yeux interrogateurs.

— Ce n’est rien, mon chou.

Il me répondit par un aboiement qui était presque une semonce ; il était manifestement mécontent, il ne comprenait pas pourquoi je l’empêchais d’accomplir son devoir. Il s’aplatit sur le sol avec un dernier aboiement étouffé, qui me parut dégoûté.

— Alors, voilà votre rôle sur le ranch, Stefan ?

Ginger m’examinait, les yeux étrécis.

Je n’eus pas le temps de répondre parce que Lisa, du salon, cria alors que Rand revenait. Réalisant le retour de leur maître, les chiens devinrent fous – du moins, presque tous. Bella fut la seule à rester dans la cuisine tandis que les cinq autres se précipitaient pour accueillir Rand.

Ce fut très drôle. Ginger hurla ; Glenn abandonna sa cousine pour s’écarter de la meute en furie ; j’entendis d’abord Lisa puis Kim crier. Je terminai de remplir les gamelles de chaque chien, puis je mis de l’eau dans chaque bol avant de me laver les mains. J’avais besoin d’une douche, mais avant ça, je tenais à voir Rand.

Glenn ouvrit l’écran de moustiquaire et frissonna dans l’air glacé.

— Bon Dieu, mais pourquoi a-t-il tenu à faire des courses ? grogna-t-il. Nous aurions pu faire l’aller-retour jusqu’à Lubbock avec le temps que ça lui a pris.

J’entendis des bottes claquer sur les marches, puis Glenn reçut en pleine poitrine un sac de charbon de bois.

— Si tu m’avais prévenu à l’avance, j’aurais été mieux préparé, connard ! s’exclama Rand. Mais là… Beau, espèce d’andouille, arrête et laisse-moi entrer… Où est Bella ? Il me manque un chien.

— Ça doit être celui qui est resté avec Stefan.

Rand ne l’écouta pas ; il pénétra d’un pas rapide dans le salon, les chiens s’éparpillant devant lui.

— Bordel, mais pourquoi ne pas m’avoir téléphoné Glenn ? grommela-t-il. Dès que Stefan revient à la maison, je veux que vous…

— Hé, dis-je à mi-voix.

— Stef.

Rand prononça mon nom comme s’il avait reçu un coup dans l’estomac. Il resta planté là, figé, à me regarder.

Je lui adressai un sourire.

— Surprise.

Bella aboya un salut, sans s’écarter de moi.

— Bon Dieu ! grogna Rand.

Il avança jusqu’au canapé où il jeta ses sacs de commissions, puis traversa toute la pièce jusqu’à moi. Je relevai un sourcil interrogateur.

— Ou étais-tu parti, Monsieur Holloway ?

— La ferme, dit-il.

Il m’empoigna par le bras, les doigts fermement plantés dans mon biceps, puis il me tira derrière lui jusqu’à la cuisine.

[...]

En entendant le désir brûlant dans sa voix, tout en moi se crispa, puis Rand pencha la tête pour m’embrasser encore.

Je me dressai pour aller à sa rencontre. Le baiser devint vite passionné, nos mains s’accrochant partout, nous étions unis des pieds à la tête. Un jour, notre alchimie cessera sans doute d’être si primitive et incendiaire, nous deviendrons un peu plus calmes. Ce n’était pas encore le cas.

— Hé, Rand ?

Glenn fit irruption dans la cuisine.

— Qu’est-ce que tu fous… Oh !

En ouvrant la porte, le cousin de Rand me trouva dans les bras de mon homme, sa bouche posée sur la mienne, une de ses mains plaquée sur mon cul, l’autre dans mes cheveux. Quant à moi, j’avais les deux bras autour de son cou. Franchement, même si je lui faisais un dessin – ou que je prenais une photo – il aurait été difficile d’être plus clair. Alors sa question suivante me parut ridicule.

— Qu’est-ce que tu fous là ? insista Glenn.

Je tentai de me libérer mais Rand me serra davantage.

— Je brutalise Stef. Ça ne se voit pas ?

Même avec une preuve évidente sous les yeux, il fallut à Glenn un regard de Rand le traitant de parfait crétin, puis moi le fixant d’un œil étréci, pour comprendre enfin ce qui se passait.

— Tu as perdu ton temps en invitant cette fille à venir ici, Glenn, annonça Rand à son cousin. J’ai déjà tout ce qu’il me faut.

Ce fut alors que Glenn Holloway admit la vérité.

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Commentaires récents

Bronze

J'ai largement préféré ce tome au précédent car l'intrigue est plus prégnante, la connexion entre Rand et Stef est toujours très forte, les dialogues secondaires sont plus pertinents. La relation de Charlotte-Stef est presque absente, quel soulagement. Glenn a attisé suffisamment ma curiosité pour continuer la suite de la série.

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Or

Bon j'ai vraiment passé un super moment. Je cherchais un truc assez léger pour aéré mon esprit et j'ai trouvé. C'est vraiment une agréable histoire. Avec des personnages magnifiques, de l'humour et surtout de l'amour. Hâte de lire le dernier tome.

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Or

J'ai adoré cette suite ! L'auteure nous montre l'installation et l'adaptation de Stef et Rand à la vie de couple, et on ressent tellement la profondeur de leurs sentiments ! J'ai adoré les discours enflammés de Rand, et les actions révélatrices de Stef. Il s'est très bien débrouillé pour se mettre encore tout le monde dans la poche, j'aime comme il reste égal à lui même. (Même si j'aurai préféré qu'il remette un peu plus les gens à leur place, je l'ai trouvé un peu passif.)

J'ai aimé l'ambiance rodéo, et en découvrir un peu plus sur la famille de Rand, particulièrement Glenn, qui après un mauvais départ, à l'air assez prometteur.

On continue à découvrir leurs projets et c'est adorable.

Donc, vraiment une très bonne suite !

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Argent

Très bonne suite!! assez drôle et adorable j'adore ce couple je préfère quant même le premier tome mes la on rentre et apprend plus a connaitre les autres personnages.

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Diamant

Ce livre rassemble juste le tome 2 et 3 de la série Dans les temps. Donc j'ai déjà posté mes avis sur les fiches de ces derniers. Je ne dirais rien de plus mis à part que c'est toujours un plaisir de relire cette histoire avec ces personnages si attachants.

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Diamant

Absolument pas déçu par cette suite !!!!

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Diamant

Quel plaisir de retrouver Stef et Rand ! Ce couple est beau et attendrissant. On les retrouve donc en plein remue-ménage quand de la famille débarque. Avec ces cousins, on réalise que cette famille Holloway est plus complexe qu'on aurait pu le penser. La fierté et l'orgueil de certains de ces hommes ont créé avec le temps certaines tensions qui ne seront pas forcément évident à dénouer. Mais bien évidemment, Stefan va prendre à bras le corps ces divers défis et rassembler du mieux possible cette famille, tout en protégeant (surtout) l'homme qu'il aime et son ranch. Stefan débarque donc dans un concours de rodéo, lui qui ne connaît rien à cela va de ce fait se retrouver au centre de l'attention, sous les projecteurs et au centre de quelques coupe de sangs... Mais il en ressort plus fort et gagne le respect de beaucoup, et l'amour toujours plus fort de Rand. Pour moi, cette suite est une belle réussite, j'adore toujours autant la plume de Mary Calmes même si je regrette là encore quelques coquilles et des traductions un peu étrange. Mais on oublie ces bémols par la qualité de l'histoire, le charme des personnages.

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Bronze

Ce second tome permet de les retrouver quelques années plus tard, l'histoire est intéressante, la lecture est toujours aussi plaisante donc un bon moment de lecture.

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Argent

Oh oui je suis déçue j'aurai voulu un autre tome avec joss et Rand et aussi un peu revoir Glenn et mac...

C'est dommage....

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Or

Tout comme le premier tome c'est un délice. Ça fait plaisir de retrouver le couple après deux années de vie commune. De voir comment ils ont évolué. Comment ils gèrent le ranch qui a sacrément bougé.

Stef est toujours aussi extra dans ses démarches et dans son comportement en général. Rand est toujours aussi possessif et maladivement amoureux. Ça ne rend leur couple que plus attachant.

L'intrigue du roman est sympa et les problèmes familiaux abordés sont bien menés.

En somme, un bon moment de lecture

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Date de sortie

Dans les temps, Tome 2 : Bon timing pour un rodéo

  • France : 2014-08-12 (Français)

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  • Timing parfait - Français
  • After the Sunset (Timing #2) - Anglais

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